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Kassel (Allemagne) : feu au parc automobile de l’armée

[Mardi 19 août à Kassel (région de Hesse), vers 3h du matin, des flammes ont englouti quatre véhicules civils appartement au parc automobile de l’armée allemande (Bundeswehr), garés sur le site de l’ancienne caserne Lüttich du quartier de Marbachshöhe. Tous les quatre (un Iveco, deux Mercedes Vito et un break Volkswagen) ont été entièrement détruits par cette attaque, et les dégâts estimés à 150 000 euros par la police. Voici la traduction du communiqué paru le lendemain sur de.indymedia, et signé par « des anarchistes »…]


Jamais prêt pour la guerre ! Feu au parc automobile de la Bundeswehr à Kassel

C’est la guerre, et l’Allemagne se prépare. Une frénésie militaire, politique et économique a éclaté, et tout le monde est censé s’y rallier. L’ « Opération Allemagne » doit rendre le pays prêt pour la guerre d’ici cinq ans, et le camouflage fleurit partout : Rheinmetall, KNDS et consorts s’accaparent des sites les uns après les autres, la clause civile s’effrite dans les universités, la direction du groupe Volkswagen envisage ouvertement de se lancer dans le secteur de l’armement, les hôpitaux et les structures d’approvisionnement sont préparés à la guerre et la Bundeswehr (armée allemande) fait la promotion du service militaire dans les écoles, sur les réseaux sociaux et sur les panneaux publicitaires à travers des campagnes d’image soigneusement polies. L’investissement dans l’armement devient un principe de durabilité. Parallèlement au réarmement matériel et idéologique, on observe un glissement autoritaire à l’intérieur du pays, comme le montre la répression contre la solidarité avec la Palestine ou le mouvement antimilitariste. Ce tournant répressif historique est également en plein essor.
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Saint-André d’Argenteuil/Mirabel (Canada) : sabotage d’un oléduc d’Enbridge

Sabotage chez Enbridge : Interruption du service sur la ligne 9B
Montréal contre info, 20 août 2025

La forêt boréale brûle, l’eau est empoisonnée, les arbres sont abattus jusqu’au dernier et les traités sont trahis. Le mirage que nous appelons « démocratie libérale » plie devant les lobbys du pétrole. On parle de nouveaux pipelines qui traverserons le pays comme autant de cicatrices, de nouveaux projets gaziers qui défigurerons le territoire.

De tout temps, notre histoire aura été celle d’une colonie d’extraction fondée sur le pillage et la dépossession. C’est à nous qu’il revient de mettre un terme au désastre.

Cette nuit, nous avons attaqué la ligne 9B*. Ce tuyau de la mort serpente sur les terres volées aux peuples autochtones transportant le bitume le plus sale au monde au travers des cours d’eau, des villes et de nos vies. Nous avons frappé deux valves de contrôle, détruisant le matériel électronique avant de nous évanouir dans la nuit.
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Delémont (Suisse) : feu au collabo de la géothermie

 » Un incendie s’est déclaré dans l’enceinte de l’entreprise BKW [« Bernische Kraftwerke », important fournisseur d’électricité suisse] à Delémont, rue Emile Boéchat 83, ce jeudi matin à 1h40, indique un communiqué de police. Trois véhicules et plusieurs remorques stationnés sous un couvert ont été la proie des flammes. La police cantonale s’est rendue sur les lieux pour les besoins de l’enquête. »
(Le quotidien jurassien, 31 juillet 2025).


La BKW brûle
Quelques nouvelles du projet de fracking à Glovelier
(Renversé, 20 août 2025)

Le sujet du projet de fracking à Glovelier était quelque peu retombé dans l’oubli. Mais le chantier n’est pas encore terminé, rien n’est encore perdu, nous pouvons encore l’arrêter.

Apparemment, la BKW a pensé que ce serait une bonne idée de participer au projet et de poser son logo sur le chantier de fracking.
Presque pile à temps pour le 1er août, célébration du prétendu fédéralisme et de la soi-disant démocratie en Suisse, BKW a été punie [sic] pour ce geste ! Un feu d’artifice de résistance a illuminé le ciel nocturne de Delémont, plusieurs véhicules et un abri ont pris feu. Car ignorer la population ne restera pas impuni !

À la BKW : retirez-vous de cette saloperie. Immédiatement !

Colombie-Britannique (Canada) : attaques contre les fournisseurs d’infrastructures énergétiques

New Hazelton (Colombie-Britannique, BC), 18 août2025

Lundi 18 août , à New Hazelton, quatre véhicules de l’entreprise Gitxsan Development Corporation ont été incendiés.

Gitxsan Development Corporation travaille avec McElhaney Geomatics Engineering, dont plusieurs véhicules ont déjà été détruits par incendie à Smithers et à Terrace (voir ci-dessous) .

McElhaney Geomatics Engineering est chargé de la construction des routes du gazoduc de Prince Rupert (PRGT). Plus d’informations sont disponibles sur leur implication par ici (en anglais, 9 juillet 2025) : Against Extractivism: PRGT and its Actor.


Smithers (BC), 10 août2025

Le 10 août 2025 vers 4h du matin, deux camionnettes appartenant à McElhanney on été incendiées à Smithers, dans la province de Colombie-Britannique, au Canada.

McElhanney est une entreprise qui fournit des services de conseil au projet PRGT. Le Prince Rupert Gas Transmission (PRGT) est un projet de gazoduc allant de Hudson’s Hope jusqu’à un futur terminal flottant sur la côte Nisga’a.

Vous pouvez en savoir plus sur leur implication par ici (en anglais, 9 juillet 2025) : Against Extractivism: PRGT and its Actor.

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Viviers (Ardèche) : voisins vigilants vs Lafarge

Ardèche. Engins incendiés, tag inscrit… Ce que l’on sait après l’attaque de l’usine Lafarge
Le Dauphiné, 21 août 2025 (extrait)

La cimenterie Lafarge du Teil, située sur la commune voisine de Viviers, a été la cible d’une attaque inédite dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 août. Deux individus ont, entre 23 heures et minuit, incendié les cabines de deux chargeuses se trouvant dans la carrière. Une chargeuse est un imposant engin de chantier, une sorte de bulldozer.

Afin de pénétrer dans la « zone interdite » du cimentier dont l’entrée principale est gardée, et dont les autres accès sont barrés par des panneaux et du grillage, les deux complices ont vraisemblablement dû s’enfoncer dans les bois en empruntant un sentier escarpé et caillouteux.

Avant de quitter le site, les deux incendiaires ont inscrit un tag sur le mur d’un local technique se trouvant à proximité des engins : « voisins vigilants #10Septembre ». Une inscription qui fait référence aux appels à « tout bloquer » en France à cette date qui se multiplient sur les réseaux sociaux et qui sont relayés par certains syndicats et partis politiques.
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Thio (Kanaky) : maintenir la pression

Une voiture de gendarmes en stationnement visée par des tirs
à Thio

Nouvelle-Calédonie La1ere, 16 août 2025

Le procureur de la République de Nouméa, Yves Dupas, a retenu le chef d’accusation de “tentative de meurtre sur gendarme”, après des tirs sur un véhicule stationné et sans occupant survenus dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août à Thio.

Il était 2h50 du matin lorsque les gendarmes mobiles logés dans une maison située à 50 mètres de la brigade ont été réveillés par quatre tirs d’arme à feu. Des tirs qui ont visé un pick-up garé le long de la villa et facilement identifiable, puisqu’“équipé d’un gyrophare” et portant “l’inscription gendarmerie sur les portes latérales”, précise Yves Dupas dans un communiqué diffusé samedi 16 août. Aucun blessé n’est à déplorer.

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[Brochure] La Guerre se fabrique…

Cliquer sur l’image pour ouvrir le PDF de la brochure (48 pages A5)

La guerre se fabrique…, mars 2025 (1ere version), Saint-Etienne., 48 p. A5


L’atmosphère militariste monte en pression. La guerre en Ukraine, en cours depuis l’hiver 2022, fait planer la menace du retour d’une « guerre de haute intensité » (termes de l’état-major) sur le sol de pays de l’OTAN. En France, comme ailleurs, bidasses, politiciens et bureaucrates s’y préparent et remodèlent, selon le familier schéma de la « gestion de crise », le cadre dans lequel ils voudraient nous contraindre à vivre. Après une succession d’états d’urgence, voilà que nous assistons en ce moment à l’instauration d’un état de guerre. La propagande médiatique surfe sur le nationalisme des plus fétides, nous bombardant d’images choc qui nous enjoignent à « choisir notre camp » face à l’ennemi censé mettre en péril « nos valeurs ». L’état-major n’hésite plus à évoquer le « potentiel sacrificiel national », des pubs pour l’armée tapissent les rues, des stratégies qui cherchent à enrôler la jeunesse s’étoffent. Lire la suite de la présentation de la brochure

Potsdam (Allemagne) : ni télévision, ni téléphone, ni internet

Traduit de l’allemand de switchoff, 7 août 2025 (extrait)

Pas de télévision, pas de téléphone, pas d’Internet. Depuis jeudi matin 7 août, des milliers de clients Vodafone de la ville de Potsdam [en proche banlieue de Berlin] sont privés de ces services. La raison : un incendie criminel !

Vers huit heures du matin, la police a reçu un appel d’urgence : un incendie faisait rage près du pont Nuthebrücke, dans la rue Friedrich-Engels de Potsdam. Les flammes jaillissaient d’un puits de câbles. Depuis, quatre antennes relais Vodafone sont hors service. 6422 clients câblés de l’entreprise ne peuvent plus accéder à Internet chez eux, ni téléphoner, ni regarder la télévision.

La police soupçonne un incendie criminel sur la voie ferrée voisine. Il y a deux ans, un incendie s’était déjà déclaré près du pont. Après les pompiers, les enquêteurs du Landeskriminalamt (LKA, office régional de police criminelle) se sont rendus sur place. Ils ont examiné les lieux à la recherche d’indices et interrogé les riverains et les passants.
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Hohenmölsen (Allemagne) : sabotage de la ligne de transport de charbon

Dans la nuit de vendredi à samedi 2 août, des inconnus ont délibérément mis le feu à des câbles le long d’une ligne de fret destinée au transport de charbon. Une section d’une longueur d’environ 100 mètres a été touchée, sur des câbles faisant 40 centimètres de diamètre. L’enquête a été confiée à la sécurité de l’État (Staatsschutz).

Cela s’est produit dans le quartier de Webau de la ville de Hohenmölsen (région de Saxe-Anhalt). Un porte-parole de la Deutsche Bahn a déclaré que le transport de passagers n’était pas affecté, parce qu’il s’agit d’une ligne non électrifiée. Cette dernière a été rouverte après la fin des investigations, mais « les travaux visant à rétablir complètement le fonctionnement devraient se poursuivre jusqu’à lundi. »

[Synthèse de la presse allemande (Tagesschau), 2 août 2025]

La Peyratte (Deux-Sèvres) : sabotage du projet d’éoliennes industrielles


Projet éolien contesté à La Peyratte : le mât de mesures mis à terre
Courrier de l’Ouest, 11 août 2025 (extrait)

Un projet éolien est loin de faire l’unanimité à La Peyratte, près de Parthenay, comme en témoigne un acte de malveillance constaté ce week-end. En effet, un mât de mesure de 110 m a été démoli et mis à terre à l’aide d’un engin de manutention appartenant à l’entreprise Vlok.

Les faits évoqués se sont vraisemblablement déroulés dans la nuit de vendredi 8 à samedi 9 août 2025. La gendarmerie s’est déplacée samedi matin sur le site pour constater les dégradations. Elle a ouvert une enquête.

Ce mât avait été installé il y a peu pour une durée de 12 à 18 mois dans le cadre d’un projet de construction d’un nouveau parc éolien
sur le secteur. C’est la société H2air qui est chargée d’étudier ce projet d’installation d’éoliennes dans la commune de La Peyratte dans le secteur de La Goutte- Le Sable-La Pionnière, en limite des communes de Lhoumois et Oroux.

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Rome (Italie) : un micro-espion trouvé dans une voiture

Traduit de l’italien de Brughiere, 9 août 2025

Un mouchard composé de deux micros, avec carte SIM de l’opérateur de téléphonie Vodafone, carte SD de 32 gigas et un GPS, a été retrouvé dans une voiture.

Il semble qu’il ait commencé à enregistrer et émettre le 14 février 2025, ayant peut-être été installé fin janvier. Le mouchard se trouvait côté conducteur, en bas, à côté du siège, à gauche. Il tirait son jus par des câbles passant sous le volant, et l’emplacement de chacun  des micros était le suivant : un sous le siège conducteur et un près de la ceinture de sécurité, toujours du même côté.

Fin des transmissions, sales merdes !
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[Archives] 2024 : Ce jour où…


Ce jour où le plus gros sabotage jamais vécu par la SNCF
a failli faire dérailler les JO
Les Echos, 11 août 2025

CELLULE DE CRISE (1/4) – Des attaques coordonnées sur le réseau TGV ont mis la SNCF sous tension le 26 juillet 2024, en pleine ouverture des Jeux Olympiques. Malgré des efforts énormes du transporteur, 800.000 voyageurs ont été impactés durant tout le week-end. La menace sur les infrastructures critiques inquiète toujours.

La journée du 26 juillet 2024 s’annonçait depuis longtemps particulièrement délicate, mais à la SNCF, elle le fut à la puissance 1.000. Côté transports, elle marquait rituellement l’un des plus grands chassés-croisés de l’année, pour les voyageurs partant ou rentrant de leurs congés. A cela s’ajoutait, de manière exceptionnelle, la soirée d’ouverture des Jeux Olympiques, à partir de 19 h 30, une très ambitieuse parade de navires sur la Seine : ce soir-là, le monde entier aura les yeux braqués sur la capitale, et nombre de spectateurs ont choisi de longue date le train pour y assister.

Chez le transporteur national, Alain Krakovitch, le directeur des TGV et Intercités, entame ce matin-là sa semaine d’astreinte, une rotation qu’effectuent à tour de rôle onze dirigeants, pour gérer tous les sujets sensibles le cas échéant. Dès 5 h 40 du matin, son téléphone sonne : trois lignes de TGV différentes ont été attaquées par des inconnus [qui ont revendiqué leur sabotage sous le nom de Une délégation inattendue] pendant la nuit de jeudi à vendredi, entre 1 h 00 et 5 h 30, à des points très sensibles du réseau : les grandes bifurcations des voies, sur les réseaux Atlantique, Nord et Est Europe.

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Munich (Allemagne) : lettre de la compagnonne N. depuis la prison d’Aichach (mai 2025)

Sur la vie d’une prisonnière

Tout ce qui rend cette société, dans laquelle nous sommes contraints de vivre, si hostile et si réfractaire à la vie, transparaît dans le lieu qu’elle a inventé pour rappeler à tous les êtres humains – ceux qui s’écartent de la norme comme ceux qui semblent pleinement s’y intégrer – ce qui attend quiconque franchit les limites ou sort de cet ordre : la prison. Un lieu qui, à la place ou en plus des condamnations à mort d’autrefois et d’aujourd’hui, met en œuvre une autre forme d’exécution : la mort suspendue. Enterrés vivants dans un tombeau jusqu’au jour de la résurrection, coupés de nos proches, du monde vivant et de l’impulsion naturelle de notre corps à se déplacer librement dans le monde, réduits à un numéro dans une machine parfaitement fonctionnelle, pour être gérés, observés, éduqués.

Lorsqu’on se retrouve pour la première fois dans les griffes de cette machine, on est surpris de voir à quel point tout nous semble familier. Certains diront même : « Ce n’est pas une punition. C’est un internat de rééducation. » Et ils ont raison. Mais ils oublient que nous ne découvrons pas la prison le jour de notre incarcération ; elle fait partie de notre vie depuis notre plus jeune âge : au jardin d’enfants, à l’école, à l’hôpital, puis plus tard au bureau, à l’usine, à la caserne, à la maison de retraite. Triés et rangés, habitués dès le plus jeune âge au tic-tac de l’horloge et au rythme des machines, enfermés dans des cavernes de béton, coupés du rythme pulsatoire du devenir et du déclin, réduits à une fonction dans le système, conditionnés à considérer le pays et ses habitants en fonction de la valeur monétaire que l’on peut en tirer, pleins d’ignorance, voire de mépris arrogant envers toutes les activités et compétences liées à la subsistance et à l’auto-organisation. Lire la suite de la lettre de N.

Hambourg (Allemagne) : sabotage du trafic portuaire de marchandises

Saboter le bellicisme et le réarmement ! «Quoi qu’il en coûte. »
Traduit de l’allemand de de.indymedia, 8 août 2025

La nuit du 7 au 8 août 2025, nous avons saboté une ligne ferroviaire de fret dans le port de Hambourg, au sud de Wilhelmsburg. Nous avons délibérément choisi cette portion car nous ne voulions pas frapper les passagers, déjà en difficulté, mais plutôt l’industrie de l’armement et les fauteurs de guerre.

Le port de Hambourg est un important point de transbordement de matériel militaire. Des tonnes d’armes, de munitions, d’équipements et de composants militaires en partent chaque jour.
Nombre de ces équipements militaires sont produits à Hambourg. Diverses entreprises hambourgeoises fabriquent elles-mêmes les instruments de guerre ou fournissent sciemment des composants particuliers, qu’ils soient optiques, électroniques ou mécaniques. Ceux qui profitent de la guerre fournissent aussi bien la Bundeswehr [armée allemande] que les forces armées d’autres pays.

Des transports nucléaires transitent également régulièrement par le port de Hambourg, malgré la sortie de l’Allemagne du nucléaire. Les navires des compagnies maritimes MACS, OOCL et Hapag-Lloyd sont particulièrement impliqués dans ces opérations. En 2024, 154 transports nucléaires ont été recensés.
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La Côte-Saint-André (Isère) : Feu à France Travail !

L’agence France Travail de La Côte-Saint-André fermée une semaine à la suite d’un incendie volontaire
France Bleu/Le Dauphiné, 4-5 août 2025

Les faits se sont produits dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 août. Un véhicule de service de France Travail stationné sur le parking de l’agence, rue du commandant Julhiet, à La Côte-Saint-André, a été incendié avant de toucher ensuite le bâtiment.

Le sinistre a provoqué des dégâts. Outre la façade qui a été noircie par les flammes, des fenêtres ont éclaté sous la chaleur et l’intérieur du bâtiment a été touché par la fumée et la suie. Ce sinistre, qui a tout d’un incendie volontaire, a nécessité la fermeture de l’agence au public jusqu‘à la fin de la semaine.
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