[Sur le fond, rappelons simplement que les vaccins actuels contre le covid (comme la plupart des autres vaccins, qui sont dits « non-stérilisants ») n’empêchent ni les personnes vaccinées d’être porteuses du virus ni d’être contagieuses.
Sans même évoquer les effets secondaires éventuels à court ou long terme de ces mixtures génétiques qui font de nous des rats de laboratoire géant, leur objectif principal tel qu’elles ont été conçues n’est pas d’empêcher le virus de toucher l’organisme des vaccinés ou que ces derniers ne le fassent circuler à d’autres, mais uniquement de jouer sur les symptômes déclenchés (la maladie), en limitant le risque de formes graves. Et si elles diminuent également en passant la probabilité d’être infecté sans la supprimer pour autant, ce n’est de toute façon que sur un temps limité, et selon les individus et les variants, à tel point qu’on parle déjà de future troisième dose à injecter ou de la nécessité de piqûres de rappel régulières. Enfin, concernant les vaccinés qui continuent de chopper le covid, ils demeurent bien sûr contaminants, avec une contagiosité variable selon l’abaissement de la charge virale (de 3 à 5 fois moins en moyenne d’après leurs études, mais là aussi sans certitude concernant la durée de cette baisse).
Ce qui signifie dans le cas italien ci-dessous, que la partie vaccinée du personnel hospitalier peut comme son homologue qui refusait obstinément de l’être (ce qui est déjà en soi une critique et un affront à la propagande institutionnelle en vigueur), toujours transmettre le virus aux patients avec lesquels elle est en contact. Mais on sait depuis longtemps que tout rapport de masse ne s’embarrasse ni des individus ni de leur libre arbitre, mais seulement de gestion des grands nombres, qui plus est dans une ignoble logique de risques/bénéfices globale et statistique.]
L’Italie va bien rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 pour les soignants
LCI, 6 avril 2021 (extrait)
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