Archives de catégorie : Déconnexion

Creil (Oise) : brûler les chaînes technologiques


Vandalisme à Creil : les infrastructures fibre gravement touchées
Picardieweb, 18 janvier 2025

Des actes de vandalisme ont frappé la ville de Creil, provoquant une interruption significative des services internet pour de nombreux habitants. Ces incidents, survenus dans la nuit de mardi à mercredi [15 janvier], ont ciblé les armoires fibre optique de l’un des principaux opérateurs d’infrastructure. Ces équipements stratégiques, qui alimentent en fibre les différents opérateurs commerciaux, ont été gravement endommagés, perturbant les connexions Internet dans plusieurs quartiers.

L’armoire située rue Jean Biondi a été complètement détruite par un incendie criminel, impliquant ainsi des démarches complexes avant toute réparation. Selon les informations transmises par les autorités locales, les travaux de remplacement de cet équipement débuteront dès que la gendarmerie aura terminé ses investigations. Les délais de rétablissement sont estimés à une semaine, au minimum.
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Lussault-sur-Loire (Centre) : les antennes continuent de brûler…

Près d’Amboise : une panne d’Internet depuis six semaines
La Nouvelle République, 14 janvier 2025

Les abonnés Orange de Lussault-sur-Loire sont privés de réseau mobile et de téléphonie depuis début décembre 2024 à la suite d’un incendie sur une antenne relais.

« Nous n’avons aucune information et sommes tous impuissants », résume une habitante de Lussault-sur-Loire. Dans la commune, plusieurs dizaines de ménages, ainsi que la mairie, sont privés de réseau internet mobile et de téléphonie depuis début décembre. Orange, l’opérateur concerné, évoque un incident sur une antenne relais.

Contacté par la NR, Orange confirme « un incident technique sur l’antenne qui couvre la commune de Lussault-sur-Loire depuis le 2 décembre ». Si une intervention « est prévue dans les prochains jours », aucune date n’est encore précisée. « Nous attendons les autorisations du gestionnaire du château d’eau et d’avoir une nacelle suffisamment haute pour accéder aux antennes », précise l’opérateur.

Cenves (Rhône) : pas de télé ni de téléphones pour le Nouvel An [Mis à jour]

Un pylône de télécommunication incendié : 800 000 abonnés
privés de télévision et de téléphone
France3 Bourgogne-Franche-Comté/TF1, 30 décembre 2024

L’alerte a été donnée vers 3 heures 30 du matin, dans la nuit de ce 30 décembre. Un incendie, vraisemblablement allumé volontairement, a atteint le pylône de télécommunication de Cenves, commune limitrophe du Rhône et de la Saône-et-Loire, tout près de Mâcon et de Solutré. Les dégâts sont très étendus.

Contacté, TDF parle de « dégâts lourds » et indique à la mi-journée qu’environ « 800 000 personnes » sont concernées. Secteurs concernés : le réseau hertzien sur Mâcon, Bourg-en-Bresse, une partie de Villefranche-sur-Saône et une partie de Chalon-sur-Saône.

Concrètement, sont neutralisées :

  • Toutes les chaînes du groupe France Télévisions : notamment, donc, les éditions régionales de France 3,
  • Toutes les chaînes du groupe Canal+,
  • LCI et Paris Première.

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Ducos (Martinique) : pas de télé ni d’internet pour Noël

Plusieurs armoires à fibre détruites à Ducos : des abonnés
privés de moyens de communication

RCI/France Antilles, 17 décembre 2024

Plusieurs armoires abritant des relais de fibre optique ont été détruites par les flammes dans la nuit du 16 au 17 décembre 2024. Les clients Fibre de SFR desservis par ces armoires de rue sont coupés de leurs services (Internet, TV, Téléphonie). Selon nos informations, les quartiers Grande Savane et Durivage sont concernés par les conséquences de ces exactions.

Au regard de l’importance des dégâts causés, SFR estime que les travaux à réaliser sont significatifs. Des actes qualifiés d' »irresponsables » par l’entreprise dans un communiqué « car ils privent des familles martiniquaises de moyens de communication avec leurs proches en cette période de Noël… SFR Caraïbe déplore cette destruction d’infrastructures de télécommunication qui n’apporte absolument rien à personne, mais met en difficulté de nombreux martiniquais qui en ont besoin pour communiquer ou travailler. »

Vincennes : les sabotages s’immiscent dans la fan-zone des J.O. [MàJ]

Situé à deux kilomètres de la capitale, le château de Vincennes est un lieu dont chaque pierre suinte l’oppression. Villégiature par excellence de nombreux Rois de France, puis prison du XVe siècle jusqu’à 1944, ou encore forteresse et arsenal militaire, et depuis 2010 plan-bis en cas d’évacuation d’urgence du Palais présidentiel et de ses larbins (en cas de crue exceptionnelle de la Seine ou d’insurrection gilet-jaunesque), on peut dire que ses murs empestent littéralement l’ordre et la servitude.

Le château de Vincennes, actuellement toujours affecté au ministère de la Défense, était donc assurément le lieu idéal pour que puissent s’exprimer les plus hautes valeurs de l’olympisme. Avec d’un côté une « fan-zone » de 3000 zombies scotchés sur deux écrans (ceux géants qui retransmettent les épreuves et celui de leur laisse électronique), et avec de l’autre l’exposition « Une armée de champions, le sport sous les drapeaux », mettant en lumière deux siècles d’activités physiques et sportives pratiquées par les militaires*. Le tout, sous la bonne garde de 45.000 policiers et 18.000 soldats qui quadrillent Paris à l’occasion de ces J.O., rassurant le monde sur le fait que les trouble-fête nocturnes ne se déplacent qu’en de lointaines provinces (ou dans les colonies comme la Kanaky, serait-on tenté d’ajouter).

Sauf que voilà, cinq jours après que des mauvais joueurs aient incendié une antenne-relais et un nœud internet en Haute-Garonne, cinq jours après qu’une délégation inattendue ait saboté les lignes de trains à grande vitesse reliant Paris aux quatre coins du pays, et moins de 24h après l’attaque coordonnée contre des artères de la fibre optique dans dix départements, les sabotages ont fini par s’immiscer aux portes de la capitale…
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A propos du sabotage coordonné contre le réseau de fibre optique en plein J.O. [MàJ]

Alors que la SNCF commence tout juste à se remettre du sabotage contre le réseau des trains à grande vitesse, les Jeux Olympiques  de Paris 2024 ne semblent pas au bout de leurs peines, puisqu‘un nouveau « sabotage massif » s’est produit la nuit de dimanche à lundi 29 juillet, en frappant cette fois le réseau longue distance de la fibre optique à haut-débit (backbone).

Concrètement, entre 1h et 3h du matin, des autoroutes numériques de la fibre optique ont été volontairement coupées dans au moins dix départements (Ain, Aude, Ardèche, Drôme, Hérault, Bouches-du-Rhône, Oise, Marne, Meuse, Vaucluse), avec de vastes conséquences, puisque la section de ces câbles du réseau longue distance de l’opérateur d’infrastructure SFR a impacté de nombreux autres opérateurs telecoms. Parmi eux, on peut citer notamment Free, Bouygues, Orange (prestataire télécoms des JO de Paris 2024), TDF, OVH, SFR, Netalis, Axione mais aussi Vodafone, British telecom et Colt (opérateur britannique desservant 28 pays européens).

Mardi 30 juillet, l’estimation officielle était ainsi de 195 antennes-relais touchées par ces sabotages, et au moins 17 départements qui avaient éprouvé des problèmes, allant de la coupure internet à une latence plus élevée que d’habitude (dont l’Oise, les Bouches-du-Rhône, la Meuse, la Drôme, l’Aude, l’Hérault, la Seine-et-Marne, l’Essonne, l’Ain, l’Allier, la Vendée, l’Ardèche, la Loire, la Creuse et le Lot-et-Garonne). Et pour illustrer ce que signifie une latence élevée, soit un fort ralentissement de la connexion internet, un geek a publié sur un site spécialisé le trajet effectué par ses paquets de données : « Pour faire Lyon (réseau Orange) <> Roubaix (data center OVH), Les données font : Lyon → Marseille → Singapour → Canada → Londres → Roubaix »…
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Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne) : contre les J.O., feu à l’antenne de téléphonie et à internet [Mis à jour]

Game-Over à Gameville
IAATA, 26 juillet 2024

Dans la nuit du 25 au 26 juillet, à Saint Orens de Gameville, nous avons incendié une antenne relais, et un nœud de raccordement de fibre optique et taggué « No J.O. » sur la tour qui hébergeait les câbles.

Il n’y a pas de trêve olympique. Le mitraillage rhétorique du gouvernement sur l’apaisement par le sport, aux niveaux géopolitique comme parlementaire, s’accompagne du bombardement militaire de par le monde et d’une guerre contre les populations.
De quelle trêve, de quel apaisement parlons-nous ? Du déplacement des populations les plus marginalisées, de la présence policière accrue dans la capitale, du développement de la surveillance panoptique tous azimuts, à base d’implantations de nouvelles caméras de vidéosurveillance et de recours répressif à l’intelligence artificielle ?
Ou encore du transfert massif d’argent public vers le privé, une situation qui en 2004 avait ruiné la Grèce et précipité son naufrage dans la crise financière et l’austérité.
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Berlin (Allemagne) : feu aux antennes-relais du progrès technologique et de la militarisation

[La nuit de samedi à dimanche 7 juillet, deux antennes-relais sont parties en fumée à Berlin. L’une d’elles était située dans le quartier de Tempelhof, et plus précisément dans la bien nommée Attilastraße, où l’incendie a été signalé vers 2h du matin. Ce pylône se trouvait sur le site d’un opérateur de téléphonie mobile, et c’est le service de Protection de l’Etat (Staatsschutz) qui a été chargé de l’enquête. Le lendemain, un communiqué a été publié sur de.indymedia, dont nous livrons ici une traduction de l’allemand,]


Attaque contre la militarisation et le spectacle / Attaque contre deux antennes-relais

Hier, des antennes-relais ont été incendiées à deux endroits différents à Berlin.

Cette action est une contribution aux luttes contre la technologie, la militarisation et la domination.

Ces dernières années, nous nous sommes habitués à être entourés de plus en plus d’antennes, qui font désormais partie de notre environnement. Ces antennes et le réseau de téléphonie mobile sont indispensables pour permettre la numérisation de nos vies, pour réaliser la Smart City et pour développer la technologie (militaire) et le contrôle social en général.
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Privas (Ardèche) : internet ne tient qu’à un fil

Acte de vandalisme : une dizaine de communes impactées
par une grosse panne internet d’Orange

Le Dauphiné/France Bleu, 31 mai 2024

Dans la nuit du 30 au 31 mai, un câble important du réseau d’Orange en Ardèche a été endommagé suite à un acte de vandalisme , lorsque des fils ont été sectionnés, causant une importante panne internet pour l’ADSL et la fibre. Idem pour le réseau téléphonique y compris cuivre. Toutes les communes des cantons de Privas et du  Pouzin ont été concernées totalement ou partiellement. « Les zones de Privas, Alissas, Cruas, Rochemaure, Meysse et le Teil ont aussi été touchées », a précisé Orange.

Toute la journée, l’opérateur est intervenu pour réparer. En début de soirée, les usagers impactés ont retrouvé leur connexion. Une plainte a été déposée par Orange.

Lacanau (Gironde) : l’antenne-relais incendiée… la veille de son installation

Lacanau : une antenne téléphonique incendiée
Sud Ouest, 25 mai 2024

L’endroit est isolé. Dans la nuit de jeudi 23 à vendredi 24 mai, une antenne téléphonique qui doit être installée à Longarisse, dans la commune de Lacanau, a été détruite par un incendie. Seule la partie supérieure a brûlé. Elle devait être érigée le jour même par l’opérateur Free.

La gendarmerie a procédé aux constatations et ouvert une enquête.

L’Union (Haute-Garonne) : petite lumière pour une nuit pluvieuse

(Indymedia Lille, 24 mai 2024)

Dans la nuit du 22 au 23 mai, une antenne relais 5G a brûlé à l’Union au nord de Toulouse.

La conquête capitaliste de toujours plus de territoires est loin d’atteindre sa fin. Colonisation des terres, colonisation des corps et des esprits, le maillage de la digitalisation se densifie de plus en plus afin d’aboutir à un contrôle totalisant de nos vies.

On essaye de nous vendre la transition écologique pour sauver un monde à la dérive. La crise perpétuelle comme instrument de gouvernance n’est pas nouveau. Ce qui change c’est le rythme de plus en plus frénétique de la succession de ces crises, pour justifier des nouvelles transformations, pour conquérir de nouveaux terrains, de nouveaux marchés. La réalité est que pour les gagnants, ce monde se porte à merveille malgré la ferveur des mouvements sociaux ces derniers temps.
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Lleida (Catalogne) : À propos de l’incendie de câbles de fibre optique

(Traduit du catalan de barcelona.indymedia, 28 avril 2024)

Le 17 avril des câbles de fibre optique ont brûlé près de Lleida [ndt : une ville à l’ouest de la Catalogne]. Cela a privé d’internet et, dans beaucoup de cas, de téléphones portables quelques 60 000 personnes réparties sur 25 municipalités de la province de Lleida. La presse parle aussi d’un « incident » simultané à Bell-lloc d’Urgell, à 15 km a l’est en suivant l’autoroute de Barcelone, sans donner plus de détails. Quant à l’origine du feu, la presse et la police annoncent qu’il est intentionnel. Deux jours après l’incendie, celui-ci n’a pas été revendiqué.

Il ne s’agit pas de parler à la place des incendiaires, mais commenter les faits et leurs conséquences semble intéressant. Pour commencer, même si la presse et la police admettent que le feu est intentionnel, elles semblent réticentes à annoncer qu’il s’agit d’un sabotage et suggèrent que cela pourrait être une tentative de vol de cuivre. Cette idée semble un peu surprenante, puisque les câbles de cuivre et la fibre optique sont deux choses différentes, et il semble étrange de mettre le feu à ce qu’on veut voler. De plus, il y a eu deux « incidents » la même nuit dans des endroits différents. On peut plutôt supposer (et on veut croire) que celle/celui qui a mis le feu savait ce qu’iel faisait, car les premières photos de el Segre [ndt : un journal local] et d’autres journaux montrent que le lieu de l’incendie est à l’extérieur de la ville et qu’il faut soulever un couvercle pour voir les câbles. De plus, en cherchant dans les archives de la presse locale, on peut lire qu’au mois de juillet [2023] une armoire de fibre optique a brûlé à Lleida, avec des conséquences plus réduites que celles d’avril.
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Pößneck (Allemagne) : « mieux vaut commettre un désordre… »

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la petite bourgade de Pößneck, située à une trentaine de kilomètres au sud de la ville de Jena (dans la région de Thuringe), n’est pas connue pour ses frasques.

A l’inverse de sa petite sœur, les murs de Jena ont par exemple subi au fil des siècles la fureur des paysans révoltés qui, entre 1524 et 1526, détruisirent et pillèrent des centaines de châteaux et d’édifices religieux au sein du Saint-Empire romain germanique. Cette insurrection, nommée « Soulèvement de l’homme ordinaire » (Erhebung des gemeinen Mannes) ou plus simplement « Guerre des paysans » à la suite de l’étude de Engels, déchaîna jusque l’ire du pape du protestantisme, Martin Luther, qui conseilla à la noblesse de massacrer les 300 000 gueux insurgés jusqu’au dernier. Ce qui donne pour tout remède dans son pamphlet, titré Contre les hordes de paysans voleurs et assassins (mai 1525) : « Que tous ceux qui le peuvent frappent, tuent et poignardent, secrètement ou ouvertement, en se rappelant qu’il n’y a rien de plus empoisonné, de plus nuisible ou de plus diabolique qu’un rebelle. C’est comme lorsqu’il faut tuer un chien enragé : si vous ne le frappez pas, il vous frappera, et tout un pays avec vous. »

Mais de nos jours, la bonne ville de Jena est surtout connue dans les manuels de la domination comme ayant été l’un des berceaux du romantisme allemand, dont l’université a vu passer Goethe et de prestigieux enseignants comme Fichte, Schiller ou Hegel, sans parler d’un célèbre étudiant, Karl Marx, qui y a terminé son doctorat de philosophie en 1841. Un peu plus tard, c’est aussi là que Ernst Haeckel, eugéniste patenté et inventeur du terme « écologie » en 1866 (auquel l’anarchiste Elisée Reclus lui préférait celui de « mésologie ») fit toute sa carrière. Sauf qu’il serait dommage d’en rester au ciel universitaire des idées bourgeoises de la Jena du 19e siècle, sans évoquer une autre révolte plus méconnue qui a fait redescendre la ville sur terre.
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Caen (Calvados) : attaque incendiaire contre l’Autorité de Sûreté Nucléaire

[Reçu par mail, 18 avril 2024]

Le 15 avril 2024, le placard internet de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) de Caen a été incendié pour lutter concrètement contre le nucléaire.

C’est une institution bidon : il n’y a pas de nucléaire sûr. L’intensification du nucléaire va débuter par le démarrage de l’EPR de Flamanville, autorisé par l’ASN, pour toujours plus de production destructrice et de contrôle social.

Des mines aux déchets, crève la société nucléaire.

De toute façon, on aime ni le nucléaire, ni les gendarmes, alors autant attaquer le soi-disant « gendarme du nucléaire ».

Bisous

Labège (Haute-Garonne) : incendie d’une antenne 5G – Bring the war home !

Incendie criminel sur une antenne 5G à l’est de Toulouse
La Dépêche, 12 avril 2024 (extrait)

Un nouvel incendie d’antenne 5G s’est déclaré, dans la nuit de jeudi à vendredi à Labège, au sud-est de Toulouse. Le feu s’est déclaré dans une zone regroupant notamment des concessions automobiles. Le ou les auteurs ont pris la fuite.

Une enquête est ouverte, elle a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie de Villefranche-de-Lauragais. Des relevés et constatations ont été réalisés sur place afin de mettre la main sur les traces et indices. Ce n’est pas la première fois qu’un incendie criminel vise une antenne relais à Labège.


Bring the war home
(Indymedia Lille, 13 avril 2024)

Incendie d’une antenne relaie dans une zone commerciale de Labège (Toulouse).

Le discours belliqueux et la course au réarmement s’accentuent de plus en plus. La guerre est totale. Guerre d’occupation, guerre sociale, génocide et dévastation. Macron vibre de jouissance à l’idée de continuer ce chemin tapissé de sang et de misère. Industrie de guerre réarmement et austérité.
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