Archives par mot-clé : Isère

Saint-Chef et Soleymieu (Isère) : les antennes-relais partent en fumée

Isère : nouvel incendie d’une antenne relais
Le Dauphiné, 31 mai 2022

Depuis le début de l’année, la liste des antennes relais incendiées ne cesse de s’allonger en Nord-Isère. Le dernier fait en date concerne une installation sur la commune de Soleymieu.

Selon les informations du Dauphiné libéré, il était en environ 7 h 30 du matin, ce vendredi 27 mai, quand un employé du syndicat des eaux est alerté qu’un défaut électrique vient de survenir sur le réservoir d’eau situé sur les hauteurs du village. En arrivant sur place, chemin de la Roche, l’agent va rapidement comprendre que la défaillance électrique est en réalité l’incendie d’une antenne relais située sur le même site : des flammes de plusieurs mètres de haut ravagent la clôture de l’installation ainsi que le pylône. Il alerte aussitôt les sapeurs-pompiers qui interviendront alors que le feu commençait à se propager à la végétation voisine.
Les gendarmes sont également prévenus. En raison de la sensibilité du site, les gendarmes de la brigade de recherches sont également envoyés sur place, avec le concours des techniciens en identification criminelle venus de Grenoble.

Aucun doute : l’incendie est d’origine criminelle. Les dégâts occasionnés sont très conséquents : plusieurs boîtiers situés au pied du pylône ont été détruits, tout comme les câbles sur plusieurs mètres de haut de cette antenne qui est partagée par plusieurs opérateurs de téléphonie mobile. Lire la suite

Grenoble (Isère) : un utilitaire Spie en flammes

Indymedia Lille, 22 avril 2022

Peu importe qui sera élu au prochain tour des élections, l’État continuera à construire des taules pour enfermer celleux qui ne veulent et/ou peuvent pas rentrer dans ses cases. Dehors la menace de ces cages plane sur nos têtes, dedans elles blessent, torturent et tuent. C’est pour ça que la nuit du 13 avril un utilitaire Spie, entreprise constructrice des prisons, est parti en flammes.

Des pensées à Boris et Flo.
Solidarité avec les prisonnier.e.s anarchistes.

Meylan (Isère) : couper le jus du technopole numérique



Nouveau sabotage électrique : Inovallée visée à son tour ?

Le Dauphiné, 14 avril 2022

Après les grandes entreprises de haute technologie du bassin de Crolles la semaine dernière , c’est très probablement Inovallée, principal parc technologique de la région grenobloise, qui a été la cible, mercredi, d’une nouvelle action de sabotage menée sur une installation électrique . Une action de dégradation qui, selon nos informations, ne fait pas de doute, le procureur de la République de Grenoble ayant par ailleurs, deux heures après les faits, confirmé au Dauphiné Libéré que l’hypothèse d’un « acte criminel » était privilégiée.L’incendie s’est déclaré vers 15 h 30 dans l’enceinte même d’un poste source haute tension d’Enedis situé au 19, chemin du Vieux-Chêne à Meylan. Une installation placée entre des immeubles d’entreprises et l’A 41, en plein cœur d’une technopole d’environ 380 entreprises axées sur le domaine des technologies numériques.

« Certaines personnes ont entendu un bruit d’explosion », indiquait sur place Philippe Cardin, le maire de Meylan, une heure environ après le début du sinistre. Il semble que le feu ait été bref et très limité, mais il a mis hors d’usage l’un des deux groupes du site dont la fonction est de transformer la haute tension en moyenne tension (20 000 volts). Le résultat a été immédiat : environ 10 000 clients (particuliers et entreprises) ont été privés d’électricité dans six communes : Meylan et Montbonnot principalement, ainsi que Saint-Martin-d’Hères, Gières, Saint-Ismier et Biviers. Mais selon Enedis, « cette coupure n’a duré que quelques minutes, grâce à des opérations effectuées à distance » et le courant a été très vite rétabli pour tous les clients concernés.

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Grenoble (Isère) : agitation anti-électorale

Indymedia Lille, 9 avril 2022

On a vu des affiches anti-électorales collées dans la rue ces dernières semaines, et ça nous a donné envie de contribuer très modestement à perpétuer la tradition anti-électorale. On s’est inspiré des slogans qui avaient été écrits lors de la dernière présidentielle par des anars de Besançon, et on a donc écrit ça sur les murs de la ville de Grenoble (et sur trois lieux de vote) :
- feu aux urnes
- à bas les maîtres
- contre toute autorité
- Ni Dieu ni président
- 24 avril : émeutes partout
- à bas tous les pouvoirs
- feu au pouvoir
- un pavé dans l’urne
- je ne vote pas
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Isère : Ces saboteurs insaisissables depuis cinq ans

Ces saboteurs de l’ultra-gauche insaisissables depuis
cinq ans

Le Dauphiné, 8 avril 2022

Suspectées d’une trentaine d’opérations de destruction dans la région grenobloise depuis 2017, les équipes d’activistes de la mouvance libertaire tiennent en échec les services d’enquête. Pourquoi ces derniers éprouvent-ils les pires difficultés à les identifier ? Éléments de réponse.

Quand, le 26 novembre 2019, 350 policiers et gendarmes investissent les squats libertaires de l’agglomération grenobloise et la ZAD de Roybon, l’objectif est clairement affiché : donner un coup de pied dans la fourmilière de la nébuleuse anarchiste et voir ce qu’il ressortira de l’opération. Il faut dire que dans les semaines qui ont précédé cette démonstration de force, la tension est montée d’un cran dans les bureaux de l’hôtel de la préfecture, place de Verdun : le 30 septembre 2019, la salle du conseil municipal de la mairie de Grenoble a été incendiée , l’attaque ayant été revendiquée sur les habituels canaux de l’ultra-gauche libertaire et anticapitaliste

Cette nuit-là, c’est le symbole de la démocratie (que la doxa libertaire estime définitivement vendue au capitalisme et aux élus de la République, fussent-ils écologistes et [/ou] d’extrême-gauche) qui a été clairement visé. Au mois de janvier de la même année, les studios de France Bleu Isère et l’église Saint-Jacques ont été totalement détruits par les flammes : autant dire qu’il y a urgence à agir. Lire la suite

Crolles/Bernin (Isère) : pas de retour immédiat à la normale

Unité de fabrication des semi-conducteurs de ST-Microelectronics

[Suite au double sabotage des nuits du 4 puis du 5 avril contre les lignes à haute-tension, qui ont mis temporairement à l’arrêt les usines de semi-conducteurs ST-Micro et Soitec, il semble que le retour à la normale ne soit pas aussi simple que cela. Petit aperçu à travers quelques articles tirés de la presse économique.]

La Silicon Valley grenobloise de nouveau « rebranchée »
après un incendie sur ses lignes électriques

La Tribune Auvergne-Rhône Alpes, 6 avril 2022 (extrait)

La coupure de courant, provoquée par l’incendie de plusieurs lignes à haute tension qui transitaient par le pont de Brignoud (Isère) dans la nuit de lundi à mardi, aura été à la fois inédite, mais aussi particulièrement impactante pour le bassin du Grésivaudan, un secteur proche de Grenoble, qui accueille plusieurs grands industriels de la microélectronique comme STMicroelectronics et Soitec.

« Ces deux entreprises ont pu commencer à redémarrer, mais en mode dégradé, car hormis les pertes de fabrication dont il faudra probablement reparler plus tard, on sait que ce secteur dispose d’équipements qui n’aime pas les coupures de courant intempestives », traduit le vice-président délégué en charge de la promotion économique pour la communauté de communes du Grésivaudan, Jean-François Clappaz.

Les salles blanches, utilisées notamment dans le processus de production de l’industrie de semi-conducteurs, dépendent notamment de systèmes de ventilation filtrés et de différents capteurs (température, humidité, etc) en vue de garantir un niveau de concentration très faible de particules et de poussières en suspension dans l’air, qu’il faut pouvoir recalibrer notamment lors de leur remise en route. Sans compter les réglages des équipements de production eux-mêmes, qui sont chargés de combiner un haut niveau de qualité et une production en volume, tout en produisant à une échelle très petite, de l’ordre du namomètre. Lire la suite

Villard-Bonnot (Isère) : sabotage de la production de deux géants des semi-conducteurs [mis à jour]

Incendie de plusieurs lignes électriques en Isère :
l’hypothèse d’un nouveau sabotage

Le Dauphiné/France bleu, 5 avril 2022

Ce mardi 5 avril 2022, à 1h44, un incendie de câbles électriques sous le pont de Brignoud qui enjambe l’Isère entre Villard-Bonnot et Crolles s’est déclaré. Huit lignes 20.000 volts et une ligne 225.000 volts ont pris feu. Un périmètre de sécurité a été instauré afin de prévenir tout risque pour les populations ou l’environnement. Les services de sécurité sont sur place. Le feu a été complètement éteint dans le courant de la journée.

L’incendie rappelle celui ayant touché la société ST Micro à Crolles, ce lundi 4 avril. Le lien entre les deux événements a été fait, annonce Eric Vaillant, le procureur de Grenoble. La section de recherches de la gendarmerie a été saisie. Ce mardi matin, de la fumée se dégageait encore des câblages incendiés, le pont de Brignoud étant fermé à la circulation. La gendarmerie a bouclé tout le secteur et interdit les accès au pont, d’importants bouchons étant enregistrés dans tout le secteur.

Parmi les neuf câbles visés par les incendiaires, on compte un câble très haute-tension de 225 000 volts de RTE. Au plus fort de l’incendie, 5539 clients ont été privés d’électricité. La plupart ont pu être raccordés avant 6h30. 350 clients restaient sans électricité à 14h30, ce mardi 5 avril, a annoncé la préfecture de l’Isère. Le courant a été coupé dans les villes de Crolles et Bernin et sur la zone industrielle qui rassemble notamment ST Micro et Soitec deux entreprises majeures du Grésivaudan, et plus largement du bassin Grenoblois. La production de semiconducteurs a été stoppée en pleine nuit chez ces deux société qui emploient plusieurs milliers de personnes.

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Froges (Isère) : couper le jus au producteur de puces électroniques [mis à jour]



Incendie à Froges sur un site de RTE : la société ST Micro
visée, l’ultra-gauche suspectée
Le Dauphiné, 4 avril 2022

L’hypothèse d’un acte commis par des activistes de l’ultra-gauche est privilégiée par les enquêteurs de la gendarmerie, a appris le Dauphiné Libéré ce lundi auprès du parquet de Grenoble après les dégradations par incendie commises dans l’enceinte d’un site de transformation de RTE à Froges.

Comme nous le révélions ce lundi matin, ce site a été visé dans la nuit de dimanche à lundi par des incendiaires : des inconnus sont parvenus à entrer dans les lieux et à communiquer le feu à des câblages sur un transformateur. Les dégâts seraient importants sur ce site mais n’impacteraient pas à l’heure actuelle la distribution d’électricité dans le secteur.

Des inscriptions parmi lesquelles figure le symbole de l’anarchie ont été relevées, qui ciblent la société ST Microelectronics basée à Crolles, accusée par ces mêmes tags d’être un trop important consommateur d’électricité. Selon le parquet, l’alimentation électrique du site de ST Micro n’a pas été perturbée de façon importante par cette action. La brigade de recherches de la compagnie de Meylan a été saisie de l’enquête.

Mise à jour (Le Dauphiné, 4 avril, 19h25) : « L’entreprise STMicroelectronics basée à Crolles a confirmé avoir enregistré une coupure temporaire d’alimentation électrique après l’incendie volontaire sur un poste de RTE à Froges. L’alimentation de secours a été enclenchée. »

STMicroelectronics est une multinationale franco -italienne  qui conçoit, fabrique et commercialise des puces électroniques (semi-conducteurs). Elle est l’un des tout premiers acteurs mondiaux du secteur économique de la production de semi-conducteurs, et a réintégré le CAC 40 en septembre 2017.
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Grenoble (Isère) : le véhicule d’un collabo du nucléaire perd ses vitres

Quand POMA décide de se garer près de Grenoble…
Indymedia Lille, 7 mars 2022

Une nuit de mars, une voiture arborant ostensiblement le logo de l’entreprise POMA a eu l’audace de se garer boulevard Joliot-Curie à Fontaine, dans l’agglo grenobloise.

Après que le pick up tout blanc se soit fait taguer « nik le nuk», l’une des vitres a tristement volé en éclat d’elle-même, de honte, face à la relance du nucléaire et à l’implication de POMA dans le projet CIGEO. En effet POMA participe activement à ce système de mort en construisant le funiculaire qui pourrait acheminer les déchets radioactifs à Bure.

Si de telles voitures continuent de traîner par ici ou par ailleurs, les vitres continueront d’éclater ou de s’enflammer de ci de là.

Plus d’informations sur POMA ici.

Flachères (Isère) : re-cramer les chaînes technologiques

Flachères. L’antenne-relais incendiée une seconde fois
Le Dauphiné, 18 février 2022 (extrait)

Elle avait été incendiée une première fois le 25 janvier. Réparée depuis, l’antenne-relais partagée par deux opérateurs de téléphonie mobile a été de nouveau la cible d’un incendie volontaire.

Et de trois. Depuis le 25 janvier, c’est le troisième incendie visant une antenne-relais dans le secteur des Terres Froides. Le dernier en date a partiellement détruit les installations électriques de l’antenne de Flachères, celle-là même qui avait déjà subi un premier incendie, dans la nuit du 25 au 26 janvier. Si le nouveau sinistre a été signalé aux forces de l’ordre mardi 15 février, à la mi-journée, il pourrait remonter à la soirée du samedi 12 février, date à laquelle un signal d’erreur a été transmis.

En fin de matinée, ce 15 février, et alors que le relais 3G et 4G était hors service, c’est un responsable de maintenance qui a constaté les dégâts sur cette installation partagée par deux opérateurs, Free et SFR, située montée du Château-d’Eau. Les gendarmes ont été avertis. La brigade de recherches de La Tour-du-Pin et les experts en identification criminelle de Grenoble se sont rendus sur place afin de procéder aux constatations et à des prélèvements. Le portillon de l’enceinte grillagée a été fracturé. Une chaîne a été sectionnée. Une fois au pied de l’antenne, le ou les auteurs ont mis le feu au boîtier abritant les connexions et l’alimentation électrique. Un mode opératoire très similaire à celui qui avait été mis en œuvre lors du premier incendie, le 25 janvier.
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Paladru (Isère) : doser le feu contre le virus technologique

Une nouvelle antenne-relais  incendiée en Isère
Le Dauphiné, 2 février 2022

Une antenne de l’opérateur Free a été incendiée à l’aide d’un pneu, sur les hauteurs du lac de Paladru. C’est la seconde installation visée en moins d’une semaine sur ce territoire des Terres froides.

Une première antenne-relais incendiée dans la soirée du 25 janvier, à Flachères. Une seconde dans la nuit du dimanche 30 janvier sur les hauteurs du lac de Paladru. Soit deux incendies criminels en moins d’une semaine alors que des faits de même nature ont été constatés dans le département voisin de la Savoie selon les informations du Dauphiné libéré.Cette succession de faits, établissant un phénomène sériel, a de quoi inquiéter les opérateurs de téléphonie ainsi que les pouvoirs publics car il semblerait probable que ces incendies très ciblés soient à mettre à l’actif de groupuscules agissant de façon concertée.
Aux alentours de 2 heures du matin, dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 janvier, l’opérateur Free reçoit un message : l’antenne située au pied de la chapelle des Trois-Croix, dans la commune des Villages-du-lac-de-Paladru, est en « erreur ». Dans la matinée du lundi 31 janvier, un technicien est envoyé en mission sur site. C’est lui qui va constater que l’antenne-relais a été incendiée : un pneu, partiellement carbonisé, gît encore au pied de l’installation accessible depuis le chemin. Et l’ensemble des câbles alimentant cette antenne 5G ainsi que la bande FM ont fondu sous l’effet de la chaleur, sur plusieurs mètres.

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Flachères (Isère) : cramer les chaînes technologiques

Flachères : un incendie met à l’arrêt une antenne-relais
Le Dauphiné, 28 janvier 2022

Une enquête pour “destruction par moyen dangereux” a été ouverte par le parquet de Bourgoin-Jallieu après l’incendie d’une antenne-relais sur les hauteurs de Flachères.

L’incendie a été constaté mercredi 26 janvier en début d’après-midi, par des techniciens venus effectuer des travaux. Alertés, les gendarmes de la communauté de brigades du Grand-Lemps/Virieu sont venus constater les faits. L’intention criminelle ne faisant guère de doute, la brigade de recherches de La Tour-du-Pin et la section de recherches de Grenoble ont été co-saisis.

Sur place, montée du Château-d’Eau, les enquêteurs ont procédé aux premières investigations avec le concours des techniciens en identification criminelle de Grenoble. Selon les premiers éléments, le ou les auteurs auraient agi dans la soirée du mardi 25 janvier, en mettant le feu à l’armoire abritant l’ensemble de la connexion et l’alimentation électrique de cette antenne partagée entre les opérateurs Free et SFR. Pour accéder à l’intérieur du site, les auteurs ont sectionné une chaîne disposant d’un cadenas. Quant aux réseaux de téléphonie mobile, ils resteront hors service dans le secteur, le temps que les réparations requises soient réalisées. Le préjudice total pourrait dépasser les 100 000 euros.

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Échirolles (Isère) : visite hostile au chantier d’autoroute

Grenoble. Du matériel dégradé et des tags sur un chantier de l’A480 : « Piolle dégage »
actuGrenoble, 17 janvier 2022

Les faits se sont déroulés entre 2 heures et 5 heures du matin, dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 janvier, sur le chantier de l’élargissement de l’A480 au niveau de l’échangeur du Rondeau, à Échirolles (Isère).

Plusieurs engins de chantier ont été retrouvés dégradés. Du matériel a été taggué, notamment deux véhicules et des cabanes de chantier, à la peinture verte. Selon le compte rendu fait par les policiers, des inscriptions comme « Non à l’A80 », « Piolle dégage » et « Avertissement » ont été relevées.

Par ailleurs, une caméra de vidéo-surveillance a été arrachée. Une autre caméra s’est déclenchée et a filmé l’auteur, un homme vêtu d’une tenue de chantier. Aucun vol de matériel n’a en revanche été constaté.

Grenoble (Isère) : vengeance contre la machine à expulser, la mairie raciste et ses collabos

[reçu par mail le 18 décembre, illustration comprise]

En réponse à l’expulsion du campement du parc alliance et à la fermeture du site du campement rue des alliés, dans la nuit du 16 au 17, une voiture eiffage a pris des coups dans son pare prise et une voiture citiz en autopartage a été incendiée.

Au parc alliance, la mairie, la préfecture et leurs flics de merde n’ont pas hésité à mettre à la rue et dans des situations encore plus précaires des dizaines de personnes en détruisant au passage leurs tentes avec leurs affaires et leurs papiers à l’intérieur. Alors qu’il fait moins de 0 degrés toutes les nuits.
C’est pas quelques pauvres nuits à l’hotel pour les gen.tes qui vont vous racheter une image bande de crevures.
La politique de non accueil des exilé.es en france et en europe se resserre de plus en plus.
Combien de mort.es encore ?
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Grenoble (Isère) : « Sale bourgeois, je ne pourrai jamais me payer un costume comme le tien ! »

Sursis pour les agresseurs du procureur de Grenoble
Le Dauphiné, 11 décembre 2021

Le 23 juin à 22 h 45, entre le palais de justice, qu’il quitte, et son domicile, le procureur de la République de Grenoble, Éric Vaillant, est cerné, place Grenette, à Grenoble, par quatre individus. Deux se détachent du groupe et l’apostrophent. « Sale bourgeois, je ne pourrai jamais me payer un costume comme le tien ! Alors donne-moi de l’argent ! »

Ils l’insultent et le pressent en le suivant pour le « faire chier ». La marche est agressive et menaçante. Le procureur prend son téléphone et commence à filmer les deux personnes pour conserver une trace et une identification. Le voyant faire, l’un des deux individus avance et lui réclame le mobile. Le magistrat tourne le dos pour partir et c’est à ce moment-là qu’il reçoit un coup de pied dans les lombaires. Sans qu’il ne résulte de dommage corporel.

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