Archives de catégorie : Agro-industrie

Tréguennec (Finistère) : L’eau restera dans l’étang cette année !

[Reçu par mail, 26 mars 2025, publié pour infos]

Communiqué sur le désarmement de la pompe
de l’étang de Saint Vio

Des militants des Soulèvements de la Terre ont désarmé la pompe de l’exploitation Kandoorp, qui a permis de pomper allègrement et illégalement dans l’étang de St Vio pendant de nombreuses années.

C’est avec joie que nous annonçons le démontage de la pompe de l’exploitation Kaandorp qui prélevait depuis plusieurs années pour arroser les serres et les champs du bulbiculteur.

Voyant que suite à la décision du préfet en octobre 2024 d’interdire le pompage et d’astreindre l’exploitant à désinstaller son matériel (cf. source(1)), le démontage de la pompe tardait, des militants des soulèvements de la Terre ont avancé les travaux.
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Mellac (Finistère) : Soirée frites chez Eureden !

[Reçu par mail, 25 février 2025]


La recette des frite est un art à ne pas sous-estimer. Nos amis Belges nous l’ont assez répété, il est capital d’avoir DEUX cuissons pour les frites !

SOIRÉE FRITES : 2nd CUISSON

La soirée frites précédente nous a beaucoup inspirées, agrémentée de sa sauce, elle fut savoureuse pour touts ceux ayant subies la malvaillance des industriels qui ne veulent nous fournir que des patates chaudes…

C’est pour ça que cette nuit, à Quimperlé, les FRITES (Front Révolté et Impitoyable des Totos En Sauce) viennent ajouter du goût à Eureden avec leurs fameuse sauce piment. Hé oui, la deuxième cuisson, ça pique !

Pour cette grande coopérative en situation de quasi-monopole, qui devient le seul fournisseur pour beaucoup d’agriculteurs. Celles qui impose des prix de rachats aux producteurs sans que ces derniers puissent négocier. Pour ces grands démocrates dont l’organisme vient directement du régime de Vichy. Pour ces écologistes radicaux qui continuent de soutenir une système alimentaire ultra destructeur, qui se voue lui-même à sa propre fin.

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San Floriano (Italie) : ruiner la recherche sur les nouveaux OGM

En plein mois de juillet 2024, paraissait un article titré Grise mine dans les labos de la plaine du Pô…, qui revenait à la fois sur lesdites « Nouvelles techniques génomiques » (NTG) en cours de développement, et sur un fait promis à un bel avenir : le premier sabotage d’un essai à l’air libre de ces nouveaux OGMs. Un bel avenir de faulx et de pinces coupantes en effet, car pourquoi ce genre de sabotages s’arrêteraient-il en aussi bon chemin, alors que les mains qui manipulent les fameux ciseaux génétiques Crispr/Cas9 continuent, elles, à faire du vivant leur laboratoire à ciel ouvert ? Après les deux-cents plants de riz OGM 2.0 saccagés en juin à Mezzana Bigli (province de Pavie), nous voici donc face à une seconde bonne nouvelle en provenance d’Italie – ce qui n’est pas si courant.

Depuis le 30 septembre dernier, les blouses blanches du département de biotechnologie de l’Université de Vérone cultivaient avec amour une variété très spéciale de Chardonnay, plantée dans la Valpolicella, petite zone viticole située à l’est du lac de Garde. L’institution était plutôt fière de sa parcelle expérimentale au milieu des autres cultures de San Floriano, puisqu’il s’agissait rien moins que de « la première plantation en plein champ en Europe de vignes obtenues grâce aux technologies d’évolution assistée (TEA)*, confirmant l’avant-garde internationale de la recherche dans le secteur vitivinicole menée par [notre] groupe de génétique agricole » et bla bla bla. Oui, bla bla bla, parce qu’il faut peut-être parler de tout cela au passé, suite à la visite ravageuse rendue par un petit groupe d’inconnus à la parcelle universitaire, la nuit de mercredi à jeudi 12 février.

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Plouédern (Finistère) : Soirée FRITES chez EVEL’UP [mis à jour]

[Reçu par mail, 25 janvier 2025]

Soirée FRITES chez EVEL’UP

Cette nuit à Plouédern, un message a été adressé à l’entreprise EVEL’UP.
En effet, ses locaux ont été vandalisés, et la cible d’un incendie.

N’y voyez pas un acte malveillant, il s’agit de l’expression d’un amour flamboyant pour la paysannerie. Évidemment, EVEL’UP marche sur la tête et va a l’encontre des intérêts du monde paysan.
La question que l’on se pose : Qui engraisse qui ?
Un des enjeux primordiaux, qui a causé la colère de nombreux travailleurs agricoles, est la question du revenu.

Nous souhaitions saluer Philippe Bizien, patron d’EVEL’UP, engraisseur de paraît-il bientôt 26 000 porcs par an. Nous lui présentons nos félicitations pour s’être émancipé de la condition paysanne en s’élevant au rang de négociant. D’après www.pappers.fr il perçoit déjà des sommes astronomiques en cumulant les mandats dans différents organes de la filière porcine.
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La Motte-d’Aveillans (Isère) : saboter l’industrie du tourisme

Près de Grenoble : cette station de ski victime de dégradations
ne peut pas ouvrir

ActuGrenoble/France Bleu, 17 décembre 2024

C’est un immense coup dur. La station de ski des Signaraux, située sur la commune de La Motte-d’Aveillans (Isère) a été victime de dégradations lors de la semaine du lundi 9 au dimanche 15 décembre 2024.  Un des bénévoles a découvert il y a une semaine que l’armoire électrique qui alimente l’unique téléski de la station, située au sud de Grenoble, a été détruite.

Conséquence directe de cet acte de vandalisme, la station de ski ne peut pas ouvrir en cette période hivernale. La station, gérée par des bénévoles depuis des décennies, ne peut donner de date d’ouverture tant les travaux nécessaires seront importants. « Personne ne comprend ce genre d’acte. Soit il revendique quelque chose au niveau de l’environnement, ou du territoire, ou c’est simplement de la jeune délinquance » confie Angélique Rossi, maire de La Motte-d’Aveillans. La mairie a déposé plainte, une enquête a été ouverte par la gendarmerie de La Mure.

Villars (Suisse) : sabotage de canons à neige

Des perches à neige et des câbles sectionnés à Villars. Dégâts sur les pistes
24H/Le Temps/20Minutes (Suisse), 12 décembre 2024


« Ils ont opéré sur le bas des pistes, parfois à des endroits difficiles d’accès. Des perches à neige ont été démontées, certaines n’ont carrément pas été retrouvées. Des câbles ont en outre été sectionnés. » Martin Deburaux, directeur de Télé Villars-Gryon-Diablerets (TVGD), est toujours consterné par ce qui s’est produit sur les pistes villardoues dans la nuit de samedi à dimanche.

Les dégâts se chiffrent en « dizaines de milliers de francs » [suisses] sur les installations du réseau d’enneigement. Les responsables du domaine skiable de Villars-Gryon-Diablerets indiquent qu’une plainte pénale sera déposée « dans les prochains jours » et que la surveillance des installations du domaine a été « renforcée. » Si aucun blessé n’est à déplorer parmi les auteurs ou les employés de l’entreprise, c’est la nature des actes qui interroge : « Nous comprenons que la production de neige de culture puisse déranger certaines personnes, mais la violence et la déprédation ne sont jamais acceptables », affirme Martin Deburaux, directeur des remontées mécaniques.

Début 2023 déjà, des installations d’enneigement artificiel avaient été vandalisées à Villars. Des déprédations similaires avaient également été constatées à cette période, notamment en France voisine et à Verbier.

L’Oie (Vendée) : Stop Megabassines – Action Charpentier

[Reçu par mail, 25 novembre 2024]

Tôt ce matin, le 25 novembre 2024, nous avons mis le feu aux engins de chantiers du groupe Charpentier, plus particulièrement ceux de sa filiale de travaux publics. Le désarmement de ces machines sur le site de l’Oie dans la Charente, est une réponse directe à la participation de cette entreprise dans les chantiers de Méga-Bassines. En effet, TP Charpentier est la plus impliquée, que ce soit en Vendée, Charente-Maritime et bien sûr dans les Deux-Sèvres. Mettre hors d’état de nuire ces machines, permet de stopper concrètement les chantiers en cours et de rappeler qu’aucun responsable de ceux-ci n’est inatteignable.

Ce désarmement n’est pas le premier. Il intervient dans un contexte où l’opposition contre les Méga-Bassines, son modèle d’accaparement de l’eau et sa promotion de l’agro-industrie, n’a fait que s’intensifier et s’approfondir depuis plus de trois ans. Cette lutte historique a pris un tournant en multipliant et diversifiant les formes de luttes contre ces projets. Dès lors, le mouvement ne cesse de s’étendre et de montrer des possibilités d’enrayer le désastre en cours. Lire la suite

Grise mine dans les labos de la plaine du Pô…

Sans remonter au vieux débat entre marxistes et anarchistes pour savoir si « les individus sont le simple produit de l’histoire » ou si ce sont à l’inverse « les individus qui font l’histoire », il est un petit jeu de l’esprit auquel certains se sont peut-être déjà adonnés. Non pas celui –certes plaisant– consistant à se demander quel super-pouvoir on choisirait si on pouvait n’en adopter qu’un, mais celui –qui l’est tout autant– de savoir quelle figure du passé on supprimerait volontiers de la surface de la terre grâce à une machine à remonter le temps. Beaucoup citeraient alors probablement le nom de Staline ou de Hitler, tandis que d’autres, plus iconoclastes, n’hésiteraient pas à prononcer celui de nucléaristes prestigieux comme Albert Einstein ou Marie Curie. Sauf que si la catastrophe n’est pas réservée au passé ou cantonnée au futur, mais est bien cet éternel présent où tout devrait continuer de la sorte, on pourrait aussi s’intéresser à quelques êtres humains nés il n’y a pas si longtemps que cela. Question de responsabilités individuelles oblige.

Il y a quatre ans, en pleine pandémie de confinements liés au covid-19, un journal anarchiste publiait un article passé un peu inaperçu, titré « Le Prix Nobel est une ordure » (1), et qui n’est pas sans rapport avec le petit jeu évoqué ci-dessus. Il mettait en avant les co-lauréates du trophée de chimie décerné à Stockholm en octobre 2020, pour la mise au point en 2012 d’un système universel d’édition du génome (« Crispr-Cas9 »), soit rien moins qu’un « outil pour réécrire le code de la vie » dont « seule l’imagination peut fixer la limite de l’utilisation », selon le jury du prix Nobel lui-même. Appelé plus prosaïquement « le couteau suisse du génome », ce Crispr-Cas9 élaboré par Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna permet en effet de tailler aisément dans le vif de l’ADN de toutes les espèces vivantes, afin d’en supprimer une portion ou d’en rajouter d’autres, c’est-à-dire de modifier à volonté le patrimoine génétique de n’importe quelle cellule végétale ou animale (2).
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Trémentines (Maine-et-Loire) : sabotage d’une bassine par la FNSEA !

Une réserve d’eau agricole dégradée par des opposants
aux « bassines 
»

Courrier de l’Ouest, 20 juin 2024 (extrait)

Une réserve d’eau de 40 000 m³ destinée à l’irrigation agricole a été dégradée volontairement à Trémentines près de Cholet, probablement au cours de la nuit de lundi à mardi, a-t-on appris auprès du procureur de la République d’Angers et des propriétaires de l’équipement. Le ou les auteurs, qui ont adressé un mail anonyme de revendication à la presse mardi soir, ont d’abord arraché la clôture entourant la réserve en trois endroits, avant de taillader la bâche au niveau de l’eau sur la totalité de son périmètre.

Le tag « No Bassaran » a été retrouvé sur une cabane abritant la pompe de relevage de la réserve. Le préjudice total des dégradations s’élèverait à 150 000 €.  Dans un mail transmis mardi soir à plusieurs rédactions dont celle du Courrier de l’Ouest, un collectif rebaptisé FNSEA (Foule nombreuse solidaire des écosystèmes abîmés), en référence ironique au syndicat agricole majoritaire, a revendiqué l’action. « L’eau n’a pas vocation à croupir dans une bassine, mais bien à courir dans les ruisseaux qui font les grands fleuves, à s’infiltrer et nourrir les nappes phréatiques », justifient les auteurs.

Laval-sur-Luzège (Corrèze) : surprise champêtre pour l’exploiteur des forêts

Une pelle vandalisée sur un chantier forestier en Corrèze
La Montagne, 15 avril 2024

Le responsable d’une entreprise forestière a découvert, ce lundi matin 15 avril, au moment de reprendre un chantier à Laval-sur-Luzège, en Corrèze, sa pelle mécanique dégradée et taguée de multiples écritures : « arrêtez », « stop », « honte », « les arbres nous aident à respirer » mais aussi de dessins d’animaux et champignons. Les vitres ont été brisées et des câbles sectionnés.

L’exploitant avait quitté son engin samedi à 16 h 30 après avoir travaillé sur ce chantier forestier. Il a décidé de porter plainte auprès de la gendarmerie. Ce n’est pas la première fois en Corrèze que sont commis des dégradations de ce type.

Munich (Allemagne) : encore deux engins forestiers en fumée

Encore une fois, des engins forestiers partent en flammes : lundi matin 18 décembre, la police de Munich a de nouveau été informée de l’incendie de machines forestières dans sa zone de responsabilité, cette fois dans la forêt de Hofoldinger, au sud de Brunnthal . Il s’agissait d’une abatteuse et d’un porteur. Selon les premières estimations, les dégâts s’élèvent à plusieurs centaines de milliers d’euros.

Le commissariat de police n°43, responsable « des crimes de gauche à motivation politique », examine les liens possibles avec des incendies criminels antérieurs. Il y a à peine une semaine, lundi 12 décembre, des engins forestiers similaires étaient en feu dans la forêt de Perlach et dans le parc Forstenrieder, également tôt le matin, et un incendie s’est également déclaré la nuit dans un regard de câbles sur le pont Ludwigsbrücke. Vendredi matin 15 décembre, la police avait de nouveau enregistré deux engins forestiers en flammes, cette fois dans le quartier Pullach du parc Forstenrieder.
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Munich (Allemagne) : deux nouvelles abatteuses réduites en cendres

Quelques jours après l’incendie dominical de deux abatteuses, une dans le parc Forstenrieder et l’autre dans la forêt de Perlach, les exploiteurs de forêts au sud de Munich ne sont pas au bout de leurs peines, tant il semble que les diablotins qui peuplent ces bois ne soient pas prêts d’hiberner.

La nuit du 14 au 15 décembre, au beau milieu du parc Forstenrieder près de Pullach, entre l’autoroute A95 et la Wolfratshauser Straße, deux nouveaux engins forestiers garés à 30 mètres l’un de l’autre sont en effet partis en fumée. L’attaque s’est produite dans la nuit, et les pompiers n’ont plus eu qu’à éteindre des restes de carcasses fumantes au petit matin.

Les dégâts sont évalués à au moins 500  000 euros, et c’est le groupe d’enquête spécial « Raute » de la police criminelle qui est chargé de l’affaire, vu que « les auteurs sont vraisemblablement issus de milieux extrémistes », comme on dit peu élégamment dans la presse locale.

[Synthèse des médias régionaux allemands (Merkur), 15 décembre 2023]

Munich (Allemagne) : une nuit dominicale agitée

Lundi dernier, les zélés porte-voix de la préfecture de Bavière ont été un peu déboussolés dans leurs comptes-rendus de l’actualité dominicale. Alors que le premier week-end de décembre avait été marqué par des chutes de neige bloquant temporairement le trafic ferroviaire et aérien de Munich, le suivant a en effet connu des pics de chaleur aussi soudains qu’inhabituels. En cause, des incendies tout sauf fortuits qui sont venus s’inviter aux prémices de l’hiver, mettant ainsi hors d’état de nuire plusieurs structures de la domination.

Sans image, sans un mot, et en trois endroits différents : dans la forêt de Forstenrieder au sud-ouest de la ville, dans la forêt de Perlach située plus au sud, mais aussi en plein centre de Munich, sous un pont qui enjambe le fleuve Isar. Dans les deux premiers cas un peu plus champêtres, comme le dit un grand quotidien régional, « ce serait une énorme coïncidence que deux machines forestières lourdes, volumineuses et coûteuses, mais très éloignées l’une de l’autre, prennent feu en même temps en raison de défauts techniques ». A chaque fois,  c’est une abatteuse, cette machine à 500 000 euros pièce servant à couper, ébrancher et débiter les arbres en un rien de temps, qui est partie en fumée sous les étoiles.
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Bernard (Vendée) : le sabotage de méga-bassines continue (2)

Une nouvelle réserve de substitution d’eau dégradée en Vendée
France Bleu, 26 octobre 2023 (extrait)

Une nouvelle réserve de substitution d’eau, autrement appelées bassines, a été dégradée en Vendée, au Bernard près de La Tranche-sur-Mer. Les faits ont été signalés mardi. Le monde agricole dans son ensemble condamne ce geste. Déjà, lors de l’été 2022, deux réserves avaient été saccagées dans le sud du département, à Pouillé et Nalliers.

« Il y a des dégâts importants, réagit le président de la chambre d’agriculture de Vendée Eric Coutand, c’est de la colère et il faut qu’on arrive à coincer ceux qui détruisent nos outils de production. En faisant cela, on détruit notre alimentation au profit d’une alimentation qui vient d’ailleurs ». « C’est encore de la haine envers nous, renchérit le président des Jeunes Agriculteurs de Vendée Flavien Martineau, la bâche a été coupée au cutter sur tout un pan. »

Mise à jour (Ouest France, 28/10) : « La réserve, d’une capacité de 692 000 m³, n’est plus étanche et donc inutilisable en l’état, affirme Jannick Rabillé, président du syndicat mixte du bassin du Lay, l’organisme propriétaire de l’installation. Le délai de réparation est au minimum de trois mois. Ça chiffre entre 300 et 400 000 €. »

Tusson (Charente) : le sabotage de méga-bassines continue (1) -MàJ


Tusson : une plainte déposée après la dégradation d’une bassine
au cours du week-end

Charente Libre, 25 octobre 2023

C’est un nouvel épisode dans la guerre de l’eau… La préfecture de la Charente rapporte que les bâches d’une réserve de substitution ont été lacérées ce week-end à Tusson. Une plainte a été déposée par l’association syndicale autorisée (ASA) de l’Aume-Couture, gestionnaire de cette réserve. La bassine visée a une contenance de 290 000 mètres cubes. Elle alimentait six exploitations et avait été mise en service en 2011, après le rejet d’un recours devant le tribunal administratif de Poitiers.
Rappelons qu’en mars dernier, une bassine avait également été dégradée par des lacérations. Cela s’était produit aux Gours.

Selon nos informations, les dégâts sont importants sur cette réserve. La bâche a en effet été découpée sur une quarantaine de mètres de long de haut en bas ce qui suggère la présence de plusieurs individus. Guillaume Chamouleau, président d’Aquanide, l’association des irrigants de Poitou-Charentes, précise qu’avec les pluies actuelles, la période de remplissage des réserves pourrait débuter d’ici dix jours. Ce qui s’avère compromis pour celle qui a été dégradée à Tusson.
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