Note critique : En parlant dégoût

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D’autres anarchistes de Marseille, En parlant dégoût.  A propos de la brochure « Mouchard ! » publiée l’imprimerie anarchiste l’Impatience il y a quelques jours, novembre 2021, 3 pages A4

Note : la brochure à laquelle il est fait référence dans le texte ci-contre, Mouchard ! des égouts de Marseille…, est disponible ici depuis le 27 octobre sur notre site.

Extraits :

« C’était important qu’un texte sorte [la brochure en question], de rendre publiques des informations et des réflexions autour des discours dangereux sur les potentiel.le.s auteur.e.s de faits illégaux. Ce genre de bavardages inconsidérés sur les pratiques supposées des un.e.s et des autres ne sont malheureusement que trop fréquents dans des milieux pourtant dits radicaux.

De mettre à disposition de qui veut bien s’en saisir des informations concernant les positions de Lou Marin/ Reinhart ; membre du centre international de recherches sur l’anarchisme (C.I.R.A) et du cercle libertaire et non violent de Marseille (C.L.N.M) ; rédacteur d’un article infâme sur le site Graswurzelrevolution fin octobre 2020 (…) [puis d’une] lettre ouverte dégueulasse qu’il écrit à « une militante de l’impatience » après que celle-ci lui ait fait savoir le dégoût que lui inspirait son article.

(…) Faisant partie de ceux et celles qui « considèrent que la révolte a besoin de tout, de revues et de livres, de fusils et d’explosifs, de délibérations et de blasphèmes, de poisons, de poignards et d’incendie » et que « la seule question importante est de savoir comment les combiner » nous aurions eu envie de pouvoir partager cette brochure, de nous appuyer dessus pour aller brancher des membres du C.I.RA, la faire tourner à des potes susceptibles de fréquenter ce lieu, etc. sans avoir à nous distancier d’une partie du texte d’introduction (qui fait aussi 4è de couverture) et qui fait référence à l’une des chansons les plus misogynes (carrément pro-viol) de Brassens. Ce dernier va jusqu’à se demander qui il violerait s’il était obligé de violer quelqu’un. Quelle question de merde ! Personne n’est jamais obligé de violer personne. »