Archives de catégorie : Nuisances industrielles

Marseille (Bouches-du-Rhône) : « Nik le béton et son monde ! »

[Reçu par mail, 26 février 2024]

Deux pelleteuses cramées à Marseille !

Dans la semaine du 12 février, dans le quartier de la Cayolle, Marseille, les carcasses de deux pelleteuses cramées sont apparues sur un chantier. Elles mangeaient la colline depuis plusieurs semaines afin de construire une nouvelle rue pour étendre la ville .

Ainsi le chantier était à l’arrêt pour quelque temps !

Nik le béton et son monde !

Chamborêt (Haute-Vienne) : incendie solidaire avec la lutte contre l’A69

Le « GIEC » revendique avoir incendié un engin de chantier
à Chamborêt, en soutien à la ZAD du Tarn

Le Populaire du Centre, 21 février 2024

Alors que nous révélions ce mardi qu’une pelleteuse à chenilles avait été incendiée et détruite par les flammes à Chamborêt, sur le chantier de la RN 147, dans la nuit de ce lundi 19 au mardi 20 février, l’enquête a pris un tout nouveau tournant.

Dans un communiqué qui nous a été envoyé ce mardi soir, le Groupe incendiaire d’engins de chantiers (GIEC) revendique cet incendie. « Lundi, tard dans la nuit, nous avons incendié une pelleteuse à chenilles du concessionnaire mortifère NGE. Cet engin sert à creuser et terrasser. Il sévissait en Haute-Vienne. Ce sont ces mêmes machines qui, en ce moment, ravagent les terres occitanes », indique le communiqué. Lire la suite

Saïx (Tarn) : affrontements et incendies d’engins de chantier contre l’A69

Manifestation contre l’A69 dans le Tarn : six interpellations
et deux engins de chantiers incendiés
La Dépêche/Voix du Midi, 18 février 2024 (extraits)

« Aucune ZAD ne sera tolérée ». Dans un tweet publié sur X cet après-midi, le message était clair pour le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, en référence à celle installée voilà plusieurs jours au lieu-dit de la Gascarié, à Saïx, dans le Tarn. L’énième rassemblement du jour contre le chantier de l’A69 entre Castres et Toulouse, présenté comme « festif » et de soutien à la Zad, a été marqué par de nouveaux affrontements entre les Zadistes et les forces de l’ordre, alors que la manifestation avait été interdite par la préfecture du Tarn.

En milieu d’après-midi, au niveau de la voie ferrée, quelques zadistes les plus déterminés (sur les 150 présents environ) sont venus au contact des gendarmes et CRS, à coups de jets de projectiles. Ces derniers ont riposté en éparpillant la foule à l’aide de gaz lacrymogène. Six manifestants… ont été interpellés et placés en garde à vue.

Alors que le calme était revenu, dans les minutes qui ont suivi, deux épaisses fumées noires flottaient au-dessus du site de l’entreprise Jougla et fils, situé à proximité. Sur place, deux engins de chantier ont été retrouvés incendiés.
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Kirchseeon (Allemagne) : sabotage incendiaire d’une usine de graviers



Moins de 24 heures
après que les flammes aient dévasté les installations d’une usine de graviers au lieu-dit de Buch sur la commune de Kirchseeon, située à une quinzaine de kilomètres à l’est de Munich, la police de Haute-Bavière s’est rendue à l’évidence mardi 6 février : il s’agit manifestement d’un incendie criminel.

Plusieurs foyers d’incendie ont en effet pu être identifiés sur le site de l’usine d’extraction de gravier (matériau qui sert principalement au béton et aux routes), détruisant ou endommageant gravement un hall et une dépendance de l’entreprise, deux chargeuses sur pneus et plusieurs tapis roulants peu avant cinq heures du matin, la nuit de dimanche à lundi 5 février.

Près de 180 pompiers s’étaient alors rendus sur place, dont de gros camions anti-incendie venus de Munich et du district de Rosenheim, en poursuivant leurs travaux d’extinction sur le site toute la matinée.

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Berlin (Allemagne) : destruction de Teslas et de leurs bornes de recharge

Feu contre Tesla
Traduit de l’allemand de de.indymedia, 8 février 2024

Le 7 février, deux Tesla ont été incendiées dans le quartier de Rummelsburg, et le 8 février deux stations de recharge Tesla ont été incendiées dans la Vulkanstraße [quartier de Lichtenberg].

Nous pensons que Tesla est une cible idéale pour nos attaques.

Parce que :

* Plusieurs armées utilisent le système de satellites Starlink de Tesla dans leurs guerres. Y compris Israël à Gaza. L’Ukraine aussi. L’infrastructure Starlink de Tesla est un acteur militaire important et les attaques contre Tesla peuvent être un signe partout : contre toute guerre !

* Tesla est un symbole du « capitalisme vert ». Mais celui-ci est tout sauf vert : les batteries au lithium proviennent des mines toxiques du Chili et engloutissent d’autres métaux rares, ce qui signifie misère et destruction pour les zones d’extraction. Le « capitalisme vert » est synonyme de colonialisme et d’accaparement des terres !
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Soual (Tarn) : tentative de sabotage contre le chantier de l’A69

Autoroute Castres-Toulouse : une enquête ouverte après
un acte de sabotage sur le chantier de l’A69
La Voix du Midi, 31 janvier 2023

C’est la préfecture du Tarn qui l’annonce dans un communiqué de presse, ce mercredi 31 janvier 2024. Un engin de chantier utilisé pour les travaux de construction de l’autoroute A69 entre Castres et Toulouse a fait l’objet de dégradations. Les faits se sont déroulés dans la commune de Soual, à proximité du supermarché de l’enseigne Super U.

C’est un bulldozer qui a été pris pour cible. « Les auteurs ont brisé la vitre et aspergé d’hydrocarbure l’intérieur du véhicule pour y mettre le feu. Mais leur tentative à échoué », précise le préfet en indiquant condamner cet acte. Le représentant de l’État dans le Tarn ajoute qu’une enquête à été ouverte à la suite de ce méfait.

Saint-Basile-le-Grand (Québec) : saboter la coupe d’arbres pour l’usine de batteries

[Le 8 janvier 2024, le Québec a donné son autorisation à la destruction de dizaines de milieux humides (13 hectares), mais aussi à la coupe de 14000 arbres, pour que la multinationale suédoise Northvolt puisse construire en Montégérie une giga-usine de batteries lithium-ion destinées à l’industrie automobile nord-américaine. Alors que ces coupes d’arbres doivent être réalisées avant le printemps (début de période de nidification des oiseaux migrateurs) et qu’elles avaient commencé sur le site de la future usine à McMasterville et Saint-Basile-le-Grand… des saboteureuses ont planté deux semaines plus tard des barres d’acier et des clous dans « plusieurs centaines d’arbres » pour empêcher leur abattage.]


Sabotage sur le terrain de Northvolt : donner des armes à la forêt
Montréal contre-information, 22 janvier 2024

Un des derniers milieux naturels de la Montéregie est mis en péril ! La construction planifiée de l’usine de batteries Northvolt à Saint-Basile-le-Grand est un affront écocidaire. Si ce projet a lieu, 1,4 kilomètres carrés de milieux humides et de zones boisées vont être rasés, servant la stratégie de greenwashing de nos gouvernements, et ce, en puisant à même les fonds publics. Lire la suite

Berlin (Allemagne) : attaque incendiaire contre le géant mondial du béton Cemex

La nuit du 26 au 27 décembre 2023 à Berlin, le site du bétonneur Cemex a subi une attaque destructive en règle. Pour rappel, la multinationale d’origine mexicaine Cemex est l’un des trois plus gros producteur mondiaux de béton et de ciment (aux côtés de Lafarge-Holcim et du chinois CNBM), en exploitant notamment près de 120 usines et carrières en Allemagne.

Sur son site berlinois situé au bord de l’écluse de Kreuzberg, c’est vers 3h20 que des riverains ont constaté des incendies allumés à différents endroits et ont alerté les pompiers. A leur arrivée, ces derniers ont constaté que cinq camions toupie, la ligne de convoyage des matériaux en vrac (soit le tapis-roulant) ainsi que des parties d’un bâtiment technique près des silos étaient en flammes. Ils ont mis près de deux heures pour parvenir à éteindre les différents foyers allumés sur le site industriel, en restant sur place jusqu’à huit du matin pour éviter toute reprise des incendies.

Quelques heures plus tard, cette attaque « contre la destruction de l’environnement, l’oppression et la guerre » a été revendiquée sur le site allemand indymedia, un communiqué dont on trouvera ci-dessous la traduction.

Lire le communiqué de revendication traduit de l’allemand

Loire : les autorités s’inquiètent des sabotages contre le réseau électrique

Un pylône électrique scié, le maire de Roche-la-Molière s’inquiète de « l’écoterrorisme »
Le Progrès, 26 décembre 2023

Depuis le 1er novembre et l’incendie déclenché sur le poste RTE de Volvon à Saint-Bonnet-les-Oules, le département de la Loire fait face à une nouvelle forme de menace. Si ce jour-là, l’incident n’a causé aucun tort immédiat, l’enquête de la gendarmerie a rapidement confirmé la piste criminelle, puisque des traces de produit accélérant ont été retrouvées sur place.

À peine trois semaines plus tard, le 20 novembre, un pylône très haute tension géré par RTE sur le plateau du Bessy, à Roche-la-Molière, est scié. Alors que la police s’empare des premières formalités, l’événement est mis en lien avec l’incendie du début du mois et un autre méfait constaté dans le Puy-de-Dôme. C’est alors la section de recherches de la gendarmerie, à Lyon, qui prend le dossier en main.

De son côté, Éric Berlivet, le maire de Roche-la-Molière, prend la chose au sérieux et « soupçonne de l’écoterrorisme », bien qu’il n’y ait eu aucune revendication particulière jusque-là. Le parquet de Saint-Étienne, lui, se contente d’évoquer « des actes politiques par cette volonté de couper le courant », sans aller plus loin. Pourtant, ce deuxième acte représente une menace plus immédiate selon l’édile : « Ces pylônes, ce sont des mini-Tour Eiffel et l’une d’elles menace de tomber » affirme-t-il.
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Marin-Epagnier (Suisse) : Plage et sabotage contre Lafarge-Holcim

Mission « Dans les réservoirs : LA PLAGE »
Renversé (Suisse romande), 11 décembre 2023
(avec le post scriptum du communiqué original)

Dans le cadre des Journées d’Actions internationales contre le béton initiées par les Soulèvements de la Terre, nous avons décidé de viser le leader régional qui se trouve à l’origine de très nombreuses constructions bétonneuses : E. Bühler & Fils à Marin-Epagnier (Neuchâtel, Suisse). Leur immense gravière pilotée par Lafarge-Holcim, exploite et prépare le composant principal du béton : le granulat. En paralysant leurs outils qui alimentent le premier maillon de la chaîne de l’artificialisation, nous espérons engendrer des répercussions sur tout le reste du processus.

Pour cette occasion, et en vue de la situation, il nous est paru davantage pertinent de privilégier une action directe de désarmement, discrète, ciblée, plutôt qu’une action symbolique inoffensive. Nous avons donc effectué un petit service nocturne aux nombreuses machines qui se trouvaient sur le site : notamment en leurs offrant un peu d’abrasif fin dans leurs réservoirs d’huile et de carburant. Nous avons aussi utilisé des pompes à graisse customisée avec 1/4 d’abrasif afin de donner un petit coup de pouce à différents points de graissage critiques. Cette petite escapade a été réalisée quelques jours avant les Journées d’Action afin de laisser les substances s’épanouir un maximum dans les blocs moteurs et les articulations de ces gros monstres. Nous avons été rempli de joie d’avoir pu réaliser ce geste défensif en sachant que ces machines sont les armes des saccageurs avec lesquelles ils attaquent tous les jours la possibilité même de vie sur terre. Il est temps, pour les militant.exs qui se sentent prêt.exs, de s’organiser afin de commencer à rendre les coups. Tout engin et infrastructure qui transforme d’une manière ou d’une autre des écosystèmes naturels en produits morts mérite d’être mis hors d’état de nuire. Que l’obscurité deviennent notre complice dans nos luttes futures !
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Val-de-Reuil (Eure) : « détruire l’outil industriel » | (MàJ)

Dans l’Eure, le site industriel Lafarge a été attaqué à Val-de-Reuil
Ouest France/Paris Normandie/France3, 10 décembre 2023

Plusieurs sites industriels du groupe Lafarge ont été occupés et tagués par des groupes écologistes dans toute la France à l’occasion d’une « journée d’action contre Lafarge et le monde du béton ».  Ce dimanche 10 décembre 2023 à 12h30, le site Lafarge situé à Val-de-Reuil dans l’Eure, n’a pas fait exception, annonce la préfecture du département sur X (anciennement Twitter) : « Le site Lafarge vient d’être l’objet d’une violente attaque de militants écologistes destinée à détruire l’outil industriel ».

Sur place, les militants ont dégradé les installations de manière « extrêmement importante » selon le sous-préfet de Bernay, Philippe Fournier-Montgieux, sur place. Des produits ont été introduits dans les silos à béton pour empêcher le site de fonctionner. Le montant des dégâts pourrait s’élever à plusieurs centaines de milliers d’euros. Au total, 18 salariés sont au chômage technique. Le site ne sera pas en mesure de reprendre une activité normale ce lundi 11 décembre.
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Saint-Égrève (Isère) : sabotage nocturne contre le bétonneur Vicat

Rebellyon, 5 décembre 2023

Dans la nuit du 3 au 4 décembre, dans le cadre des journées d’actions contre Lafarge et le monde du béton, nous avons décidé d’agir pour mettre un coup d’arrêt à la production de la cimenterie Vicat de Saint Egrève.

Si, à travers cette action, c’est toute l’industrie du béton que nous attaquons, le choix du groupe Vicat n’est pas un hasard. Loin de l’image de petite entreprise locale qu’il tente de promouvoir, Vicat est un géant du béton qui produit chaque année près de 23 millions de tonnes de matériaux, pour un chiffre d’affaire de plus de 3 milliards d’euros. Le groupe possède une douzaine de filiales dans le monde, dont une partie en Afrique de l’Ouest où, dans une logique néo-coloniale dramatique, il pollue massivement les eaux et les airs.

Le groupe tente de faire croire à des intentions écologistes, en mettant par exemple en avant le transport des matières premières par le téléphérique du site de Saint-Egrève – fabriqué par POMA, le fossoyeur du nucléaire à Bure. Pourtant, ses activités restent parmi les plus émétrices au monde avec 20 méga tonnes de CO2 par an relachées dans l’atmosphère, et il n’a pas diminué ses émissions au cours des dernières années malgré ses promesses. Au delà de ces émissions, l’entreprise contribue à la destruction du vivant de bien d’autres manières. Après avoir vendu du béton pour la construction d’EPR, pris part à l’artificialisation des sols dans le cadre du Grand Paris, le groupe a récemment fait l’acquisition de l’entreprise de transport SATM afin de pouvoir participer directement au chantier abberant du Lyon-Turin.

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A propos des projets d’extraction de lithium dans l’Hexagone


Avec le boom des batteries électriques, le nouvel âge d’or

des mines en France
Le Parisien, 2 novembre 2023

Solidement maintenus à la verticale, le tube en acier et son foret laissent échapper un raclement métallique et continu venu des entrailles de la terre. « On descend jusqu’à 250-300 mètres de profondeur, explique Patrick Fullenwarth, géologue en charge de la campagne de sondages souterrains. On en retire ces carottes de granit pour les analyser très précisément, tous les 10 cm, et valider la concentration de lithium dans le gisement. » Tout autour de nous, le décor est à couper le souffle. La carrière à ciel ouvert de Beauvoir, au cœur du Bourbonnais, sur la commune d’Échassières (Allier), aligne à 360 degrés ses rampes d’extractions en escaliers blancs, façonnés depuis plus d’un siècle. Au loin, des excavatrices chargent les bennes de gros camions avec des blocs de pierre de bonnes tailles.

Ici on extrait depuis le XIXe siècle des millions de tonnes de kaolin, une roche d’une blancheur remarquable qui permet de fabriquer de la vaisselle en porcelaine, notamment celle de Limoges, célèbre dans le monde entier. Le site de Beauvoir s’offre un second souffle minier. La colline de la Bosse, désormais largement étêtée, sera bientôt transpercée de l’intérieur pour en extraire un filon totalement inexploité jusqu’à aujourd’hui mais promis à un avenir radieux : le lithium.
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Saint-Bonnet-les-Oules (Loire) : Toujours rien ?! A propos …

[Communiqué paru sur Indymedia Lille le 7 novembre 2023, suite au sabotage d’un poste de transformation de lignes à très haute tension survenu la nuit du 31 au 1er novembre, dont nous avions reproduit ici l’écho paru dans la presse.]


Toujours rien ?!
A propos d’un sabotage de transformateur.

Début novembre, quelques jours après l’attaque, nous apprenions par la presse qu’un des deux bâtiments techniques du site, d’une surface de 400 m2, avait été sérieusement endommagé.Le journal rassurait son lectorat en s’empressant d’ajouter que l’incendie n’avait occasionné aucune panne sur le réseau. Ces allégations nous laissent perplexes. Nous connaissons de longue date la propension des médias à la désinformation. Occultations et falsifications des faits s’égrènent au gré des diktats commerciaux, policiers et politiques. Ces temps-ci, taire ou minimiser la portée des sabotage sur les infrastructures électriques sont en vogue. Nous ne pouvons hélas contredire factuellement leurs versions et rétablir la vérité sur les conséquences de ces actes parcequ’ils nous échappent.

Cette nuit là nous avons placé des dispositifs incendiaires sur les faisceaux de câbles aux pieds des bâtiments techniques, sur une ligne plongeant sous terre et sur un pîlone situé à l’extérieur de l’enceinte dont les câbles passaient de l’aérien au souterrain.

Nous esperions suspendre provisoirement et simultanément les activités industrielles de production de plastique de l’entreprise SNF, les flux aériens de l’aéroport de saint Etienne ainsi que des usines alentours enlaidissant encore cette ignoble plaine.

Pour la prolifération de l’action directe.

Amour et Anarchie

Cambounet-le-Sor (Tarn) : la cimenterie de l’A69 sous le feu

Manifestation contre l’autoroute A69 : pourquoi les entreprises vandalisées n’ont pas été choisies au hasard
La Dépêche, 21 octobre 2023

Si la manifestation contre l’autoroute A69 Castres-Toulouse s’est globalement déroulée dans le calme, ce samedi 21 octobre, plusieurs incidents notables sont survenus en marge du cortège officiel. Deux entreprises ont notamment été prises pour cible: une cimenterie et un promoteur immobilier, filiale d’une entreprise locale de travaux publics.

Alors que le cortège officiel s’élançait, plusieurs centaines de manifestants ont emprunté un autre itinéraire que celui validé par la Préfecture. En traversant la réserve naturelle régionale, au départ de la Crémade, ils ont débouché sur la RN126, au niveau de Cambounet-le-Sor, commune où sont implantées plusieurs entreprises.
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