Île-de-France : Pas de trêve pour les huissiers

[Indy Nantes, 16 avril 2025]

La nuit dernière, les vitrines de quatre études d’huissiers ont été attaquées en région parsienne, pour leur délivrer le commandement de quitter les lieux recopié ci-dessous. De Marseille à Paris, fin de la trêve hivernale pour les huissiers.

Quelle ville sera la prochaine ?

À bas l’état, la propriété privée et les huissiers.


Attendu que les expulsions locatives sont une honte et constituent une atteinte à la vie et à la dignité des personnes qui, avec la fin de la trêve hivernale, vont du jour au lendemain perdre leur logement et se faire virer de chez elles ;

Attendu que les expulsions ont par ailleurs explosé en France depuis l’ignoble loi Kasbarian-Bergé (+ 87 % de procès-verbaux d’expulsion et +23 % d’interventions de la force publique rien qu’entre 2023 et 2024) ;

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A propos de l’attaque cordonnée de ces deux dernières nuits contre la pénitentiaire

Guérite blindée des matons, dans le sas d’entrée de la prison de Toulon-La Farlède, nuit de lundi à mardi 15 avril 2025

Les nuits de dimanche à lundi 14 avril, puis de lundi à mardi 15 avril, ont été marquées par des attaques contre plusieurs structures de la pénitentiaire et de ses larbins, dans une dizaine de villes du Sud et de la banlieue parisienne. Des voitures de matons qui étaient garées sur le parking de prisons (Réau, Valence, Villepinte, Aix-Luynes, Nîmes), ou le long de l’école nationale pénitentiaire (Agen) ou encore devant leurs logements de fonction (Marseille, Nanterre) sont parties en fumée. En outre, le sas d’entrée d’une taule a été mitraillé (Toulon-La Farlède), et le portail d’une base-ERIS a été incendié (Aix-Luynes).

Cette « attaque coordonnée » au cours de deux nuits d’affilée a conduit le Parquet national antiterroriste (PNAT) à se saisir de l’enquête, puis à confier cette dernière à la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire, aux services locaux et à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’enquête comprend « trois qualifications, dont association de malfaiteurs terroriste » a précisé aujourd’hui le ministre de la Justice, parce que « la nature même de l’action » traduit une opération « concertée dont l’objectif est de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ». Quant aux matons, ils sont bien entendu dégoûtés, à l’image du secrétaire national de la CGT pénitentiaire, Damien Tripenne, qui a déclaré tout ému sur une grande radio : « J’ai des camarades, des collègues, qui sont meurtris parce que c’est leurs véhicules qui ont été ciblés, c’est leurs domiciles qui ont été visés… il va falloir que la peur change de camp » (RTL, 15/4).

De plus, les porte-voix du ministère de l’Intérieur ont précisé qu’à plusieurs endroits a été retrouvé le tag “DDPF” (interprété par les journaleux comme l’acronyme de droits [ou plutôt défense] des prisonniers français”, du nom d’un canal Telegram), mais également des « slogans anarchistes ». Ce qui les a conduit à mettre en avant dans leurs bavardages tant la piste « de groupes d’ultragauche », que celle du « narcotrafic ». Une fameuse « source proche du dossier » a ainsi affirmé à une agence de presse étatique que « selon les premiers éléments de l’enquête, la piste anarchiste semble prendre le pas dans la vaste majorité des faits » (AFP, 15/4, 15h50).
Quoi qu’il en soit, leur hypothèse est que ces attaques sont liées à la lutte des uns et des autres contre la construction de vastes quartiers de haute sécurité, c’est-à-dire de véritables tombeaux où seront enterrés vivants des centaines de prisonniers à partir de cet été… et plus généralement contre le durcissement des conditions de détention (promenades et activités réduites, tabassages et humiliations de la part des matons…) encouragé par l’arrivée de Darmanin au ministère de la Justice.

Voici donc un premier aperçu de cette série d’attaques nocturnes contre l’administration pénitentiaire et les biens de son petit personnel :

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Avis aux amateurs : Bouygues et les 3000 places de prison modulaires…

Crépy-en-Valois (Oise) : l’usine Bouygues où sont construites les prisons modulaires en kit

Vendredi 11 avril 2025, le ministre de la Justice a emmené avec lui les chefs des quatre grands syndicats de la pénitentiaire (soit la CGT, le SPS, FO-surveillants et Ufap-surveillants) dans un voyage au nord de l’Allemagne, en Basse-Saxe, au sein du complexe pénitentiaire de Meppen.
Son but, comme lors d’un précédent voyage à Rochester (Angleterre) le 28 mars, était de leur présenter un nouveau modèle de prison, dite « modulaire » ou « préfabriquée », dont voici le principe tel que décrit par son constructeur allemand : « Nous avons lancé la construction en 2021 », détaille Jürgen Thiem, qui dirige l’entreprise familiale qui porte son nom basée à Leipzig et spécialisée dans la construction carcérale. « Il ne s’est écoulé que dix mois entre la conception et la livraison finale. Une seule entreprise exécute le cahier des charges et non une multitude, avec leur délai et des approximations. D’autre part, nous ne sommes pas soumis aux risques météo, facteur de retards et de surcoûts, puisque tout est construit en usine ». Après une simulation de l’ensemble, les modules sont ensuite transportés par camion, « assemblés comme des Lego » puis branchés sur place à une dalle technique en trois jours. L’achèvement des travaux d’aménagement et la mise en service ne dépassent pas douze semaines.

Deux jours plus tard, dimanche 13 avril 2025 dans un entretien accordé au Figaro, le même ministre de la Justice a continué de dérouler son plan de bataille, en annonçant la création de 3000 nouvelles places de prison d’ici à 2027-28 à l’aide de ces infrastructures pénitentiaires modulaires. Ces dernières seront installées sur des terrains déjà détenus par l’administration pénitentiaire, et a priori à l’extérieur de l’enceinte principale : il s’agira de quinze quartiers de semi-liberté – soit 1 500 places – (appel d’offre fin mai) et de dix quartiers dédiés aux courtes peines – soit également 1 500 places (appel d’offre début juin).

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Valence (Drôme) : à trottinette…

Après l’ENAP, plusieurs véhicules brûlés à la prison de Valence
un site policier, 14 avril 2025

Un nouvel acte de malveillance a frappé l’administration pénitentiaire ce lundi. En fin de journée, deux véhicules ont été incendiés sur le parking du centre pénitentiaire de Valence, dans la Drôme. D’après le syndicat FO Justice, un individu circulant à trottinette aurait mis volontairement le feu avant de prendre la fuite. Les pompiers et les forces de l’ordre sont intervenus rapidement pour circonscrire les flammes et sécuriser la zone.

Cet incident intervient dans un climat de tension grandissante autour de l’institution pénitentiaire. La nuit dernière déjà, plusieurs individus avaient pénétré dans l’enceinte de l’École nationale d’administration pénitentiaire (ENAP), à Agen, pour y allumer un incendie.

Si les motivations de ces actes restent inconnues, leur proximité dans le temps et la nature ciblée des établissements interrogent les syndicats comme les autorités. Une enquête a été ouverte pour identifier l’auteur de l’incendie à Valence. Les investigations devront également déterminer s’il existe un lien entre les deux événements.

Agen (Lot-et-Garonne) : l’école des matons sous le feu [MàJ]

« Ils ont crié avant de mettre le feu » : l’école des surveillants
de prison incendiée, 1000 élèves évacués

Le Parisien/Sud Ouest, 14 avril 2025

« C’est une première dans l’histoire de l’École nationale d’administration pénitentiaire » (Enap), regrette le syndicat FO Justice sur ses réseaux. Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 23h30, des incendiaires ont enflammé des véhicules garés sur le parking de ce centre de formation des gardiens de prison, basé à Agen (Lot-et-Garonne). Résultat : plus de 1000 élèves ont dû être évacués de bâtiments situés proches du sinistre, le temps de l’intervention.. Tous ont pu réintégrer leurs bâtiments dans la nuit.

Sur place, les dix-huit sapeurs pompiers mobilisés ont réussi à éviter une propagation à dix véhicules stationnés à proximité. Deux lances ont été nécessaires. Ce lundi matin, les investigations débutent du côté des policiers agenais. Selon les premiers éléments recueillis, la piste criminelle est envisagée. Ufap Unsa Justice dénonce quant à lui l’utilisation de cocktails molotov.

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Le « capitalisme vert » à la conquête de la Tunisie

Décembre 2024, Gabès (Tunisie) : protestation contre le projet d’usine d’hydrogène et d’ammoniac « verts »

À Gabès, la révolte gronde contre un projet d’usine
d’hydrogène vert

Courrier International (Nawaat), 13 mars 2025

“On a réclamé plus d’oxygène, ils nous ont envoyé de l’ammoniac et de l’hydrogène”, peut-on lire sur une banderole brandie par un groupe de jeunes ultras (des supporteurs de football) de Gabès [ville portuaire du sud-est de la Tunisie]. Ils étaient une vingtaine rassemblés à proximité du Groupe chimique tunisien (GCT) alors que l’usine crachait derrière eux son habituelle fumée toxique. Épaisse et dense.

Quelques jours auparavant, ils s’étaient retrouvés dans le centre-ville, munis de pancartes sur lesquelles était inscrit “Non à l’hydrogène vert à Gabès”, “Gwabseya Lives Matter”, “Loading : Chernobyl 2 in Gabes”. Dans un communiqué publié sur leur page Facebook, ils affirment qu’“après toutes les catastrophes environnementales dont [fut] victime Gabès, un nouveau projet colonial, sous le nom d’‘hydrogène vert’, va détruire des milliers d’hectares de terre […] et puiser dans nos ressources hydriques déjà rares”. Mais de quoi s’agit-il précisément ?

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Troyes (Aube) : la permanence des fachos perd ses vitres

Troyes : la permanence du député RN Jordan Guitton vandalisée
L’Est éclair, 11 avril 2025 (extrait)

La permanence du député RN Jordan Guitton, située rue Clemenceau au centre-ville de Troyes, a été vandalisée dans la nuit de jeudi à vendredi (11 avril). La vitre de la porte a été brisée et les fenêtres caillassées.

Ce n’est pas la première fois que le siège du parlementaire du Rassemblement national est visé par des dégradations. « Cela fait au moins quatre ou cinq fois », confiait un riverain vendredi matin. La permanence troyenne de la seconde députée RN de l’Aube, Angélique Ranc, a également déjà connu des actes de vandalisme.

Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) : sabotage du chantier du TGV Lyon-Turin

[Reçu par mail, 9 avril 2025]

Parce que c’est beau

La montagne n’a ni bouche ni bras pour se défendre.

En ce début de printemps 2025 à Saint Jean de Maurienne, des dégradations lourdes ont été occasionnées sur un convoyeur transportant les entrailles sacagées de la montagne, ainsi que des engins de chantier, pour les mettre hors d’état de nuire. Ces dégradations étaient accompagnées des messages « TELT casse toi »* et « Projet Inutile ».

Nous sommes opposé.e.s à la nouvelle ligne TGV Lyon Turin et revendiquons ces dégradations dont le but est clair : ralentir les chantiers, décourager les maitres d’oeuvre et encourager les oppositions.

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Le chiffre du jour : 2 millions

Déjà énergivores, les centres de données [data center] ont redoublé en appétit avec le développement récent de l’IA générative, qui nécessite des capacités de calcul colossales pour traiter les informations accumulées dans des bases de données gigantesques. En 2024, ces infrastructures ne représentaient qu’environ 1,5 % de la consommation électrique mondiale (415 térawattheures, TWh), mais celle-ci a déjà augmenté de 12 % par an dans les cinq dernières années. Et ce n’est pas fini.

« La demande d’électricité des centres de données dans le monde devrait plus que doubler d’ici à 2030 pour atteindre environ 945 TWh, soit un peu plus que la consommation totale d’électricité du Japon aujourd’hui », selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi 10 avril. Localement, « un centre de données de 100 mégawatts peut consommer autant d’électricité que 100 000 ménages » annuellement, mais demain, « les plus grands centres en construction aujourd’hui consommeront vingt fois plus », l’équivalent de la consommation de deux millions de foyers.
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Athènes (Grèce) : Lettre de Marianna depuis la prison pour femmes

[Cette lettre de prison de la compagnonne anarchiste Marianna M. a été publiée en grec le 30 mars 2025 sur Indy Athènes, puis traduite en français sur Indy Nantes le 7 avril]


Ce qui donne du sens à la vie donne aussi du sens à la mort

Le 31 octobre, au troisième étage d’un appartement situé rue Arkadias, alors que mon compagnon et combattant Kyriakos Xymitiris manipulait des matières explosives, une explosion a eu lieu, entraînant tragiquement sa mort. En quelques minutes, alors que je me trouvais par hasard dans la pièce voisine, le temps s’est figé, tout est devenu noir, et j’étais incapable de bouger. La situation était incompréhensible, l’évolution inimaginable. Ensevelie sous les décombres, j’essayais de comprendre ce qui s’était passé. Je demandais de l’aide, cherchant du regard mon compagnon. Peu à peu, je réalisais que, bien que le fil de l’action de mon compagnon ait été brutalement coupé, sa vie et ses choix de lutte constitueraient une lueur historique de résistance déterminée, de cohérence et de dévouement, un tremplin et une inspiration pour le combat. Deux silhouettes sont apparues, offrant leur aide, tandis que je leur indiquais l’endroit où j’avais vu mon compagnon pour la dernière fois, cet endroit où nos regards coupables s’étaient croisés, des regards remplis de colère contre le monde dans lequel nous vivons, pleins de foi et d’élan dans les moments de véritable liberté. Lire la suite

Marseille (Bouches-du-Rhône) : quintuple évasion du centre de rétention

Marseille : 5 étrangers en situation irrégulière se sont échappés du centre de rétention administrative du Canet
La Provence, 5 avril 2025

Le matériel d’évasion jeté par-dessus les barbelés dans le centre de rétention administrative du Canet dans la nuit du mercredi 2 au jeudi 3 avril, a manifestement rapidement trouvé usage. Plusieurs paquets contenant des lames de scie à métaux, des tournevis et une tenaille avaient été saisis par la police aussitôt après les jets d’objets. Mais l’évasion de plusieurs étrangers retenus au CRA dans l’attente de leur expulsion du territoire français, peut laisser penser que quelques outils avaient quand même pu être récupérés par leurs destinataires avant l’intervention des forces de l’ordre.

Dans la nuit du vendredi 4 au samedi 5 avril dernier, cinq ressortissants algériens sont en effet parvenus à s’échapper du CRA du Canet, dans le 5e arrondissement de Marseille. Deux d’entre eux ont été interceptés alors qu’ils avaient à peine mis un pied dehors. Un troisième a réussi à rejoindre le centre-ville, avant d’être repéré par une patrouille et interpellé. Mais deux des cinq fuyards manquaient toujours à l’appel ce samedi soir 5 avril. Les deux hommes sont activement recherchés par la police.

2018 : En lutte contre les frontières !

[Affiche couleur (A3) collée à partir juin 2018 sur les murs de différentes villes du sud. Initialement mise en ligne le 16 juin 2018 sur le site Vallées en lutte.]


En lutte contre les frontières !

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Surfant sur l’apathie du plus grand nombre, le fond de l’air xénophobe et les agissements de groupes fascistes, le pouvoir étend son arsenal répressif (doublement de la durée maximale de rétention, agrandissement des CRA, assignations à résidence, PRADHA etc.), et multiplie les coups de pression envers des individus solidaires afin de dissuader toute velléité d’entraide et de révolte.

L’armée est déployée dans les Alpes depuis plusieurs années, en renfort des patrouilles de la PAF et de la gendarmerie. Ces sales uniformes quadrillent les zones frontalières à grands renforts de drônes et d’hélicoptères pour traquer les indésirables. Ils multiplient les contrôles sur les routes et dans les gares, les perquisitions aux domiciles hébergeant des personnes migrantes, poussant celles-ci à emprunter des chemins toujours plus périlleux.

Ces charognes sont responsables de la mort de milliers de personnes, que ce soit lors du passage de frontières soi-disant « naturelles » (Méditerranée, Alpes, Manche), de leur enfermement ou de leur expulsion.

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Douzy (Ardennes) : feu au chantier de la centrale photovoltaïque

Le futur Parc Photovoltaïque de Douzy vandalisé, des engins
de chantier incendiés
Radio8Ardennes/L’union, 2 avril 2025

Prestataire sur le chantier du futur Parc photovoltaïque de Douzy, l’entreprise RLT Terrassement, basée à Epiez-sur-Chiers, en Meurthe-et-Moselle, a fait les frais de vandales, dans la nuit de mardi à mercredi. Peu après minuit, cinq individus cagoulés se sont introduits sur le chantier et ont incendié une pelleteuse et un compacteur de l’entreprise RLT Terrassement. Préjudice estimé : 150 000 euros.

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Le Malesherbois (Loiret) : sabotage de la ligne à haute-tension

« La base a été sciée » : un pylône électrique s’effondre
dans le Loiret

France3, 2 avril 2025

Il faut imaginer la violence du choc. Un pylône, de plusieurs dizaines de mètres et tonnes, s’écrasant sur le sol. Un incident rarissime qui a pourtant eu lieu ce mardi 1er avril vers 18 heures, sur la commune du Malesherbois, près de Pithiviers.

Le genre de « poisson d’avril » dont se serait bien passé le gestionnaire du réseau. Ce mercredi, ce sont encore une vingtaine de techniciens du Réseau de Transport d’Electricité (RTE) déployés sur place pour réparer le pylône. Les gendarmes ont également procédé aux constatations. RTE suspecte en effet « un acte de malveillance : le vent n’est pas une explication. La base du pylône a été sciée ».
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Saint-Ferréol-d’Auroure (Haute-Loire) : feu au profiteur de guerre « Hexadrone »

[Reçu par mail, 1er avril 2025]

Hexadrone se fait de la maille grâce à l’armée française.
Le budget des armées explose, Hexadrone aussi…

Contre les guerres et les profits qu’elles génèrent
Contre les industries militaires et leurs sous-traitants
Contre les start up hyper chics et modernes à la Hexadrone et tous ceux qui construisent des armes de pointe Made in France pour mieux tuer loin d’ici
Contre l’europe forteresse et la militarisation des frontières
Contre tous les conflits que la France abreuve en armes
Contre contre contre… tellement d’acteurs de ce monde de merde qui sèment la guerre et la mort
En solidarité avec la lutte palestinienne et toutes les populations sous les bombes

Avec les moyens du bord, l’alimentation électrique de l’entreprise Hexadrone à Saint-Ferréol-d’Auroure a été cramée dans la nuit du 30 au 31 mars 2025.
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