Indymedia Lille, 29 septembre 2021
[Le procès] du 20 septembre, qui devait porter sur l’appel de la condamnation à 4 ans de prison dont 2 fermes de Boris, toujours en coma artificiel, n’a pu avoir lieu en raison de l’état de santé toujours critique de notre compagnon.
Les juges ont décidé de le « remettre en liberté » sans contrôle judiciaire, et de reporter son procès sine die.
Si l’on ne peut que se réjouir dans l’immédiat qu’il ne soit plus sous la main de l’administration pénitentiaire, il n’en a malheureusement pas fini avec la justice, vu que la fin de sa peine [jusque-là purgée en préventive] comme son procès en appel ne sont que suspendus.
Les mots et les actes qui se multiplient en solidarité avec Boris font exister le désir de vivre hors de toute autorité.
Des anarchistes complices et solidaires,
Le 28 septembre 2021