Indymedia Lille, 23 novembre 2021
Contrairement à ce que nous pouvions espérer, l’arrêt de la sédation il y a environ un mois et demi [soit la sortie de la mise en coma artificiel] n’a pas été le début d’un franc rétablissement.
Boris est encore dans le service des grands brûlés de l’hôpital de Metz, au service de réanimation en soins intensifs. Son état est fragile et instable. Il n’est toujours pas en état de parler ou d’écrire. On ne sait pas dans combien de temps il pourrait retrouver ses capacités.
Par ailleurs, ses affaires ne peuvent pas être récupérées en prison. On peut donc imaginer que l’enquête sur l’incendie de la cellule reste en cours.
Des nouvelles seront données en fonction de l’évolution de la situation.
Des anarchistes complices et solidaires