Archives par mot-clé : Doubs

Grand-Charmont (Doubs) : chaque âge saccage sa cage [MàJ]

Des enfants saccagent une école primaire en pleine journée
à Grand-Charmont

Est Républicain/France Bleu, 25 février 2024

Le maire de Grand-Charmont, Jean-Paul Munnier n’en revient toujours pas. Ce samedi 24 février, il a été alerté par un riverain, interloqué par du bruit provenant de l’école primaire Daniel-Jeanney, en pleine vacances scolaires. L’édile décide alors de se rendre sur les lieux et découvre un petit groupe d’enfants « âgés d’une dizaine d’années ». « Ils sont partis comme une volée de moineaux », explique Jean-Paul Munnier.

Ici, en plein cœur du quartier sensible des Fougères à Grand-Charmont, l’établissement a été la cible des vandales , juste avant la rentrée de septembre. Les portes fracassées à l’époque venaient d’être changées mais il restait à les repeindre. C’est donc là, dans ces classes restées ainsi ouvertes, que les petits vandales ont déployé la plus grande partie de leur énergie destructrice : armoires renversées, vitres cassées, tableau blanc interactif brisé… Ils ont bien tenté de pénétrer dans la 2e partie du bâtiment où l’on compte une bonne dizaine de salles supplémentaires, mais en dépit des coups d’extincteur les vitres du sas y menant n’ont pas cédé.
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Besançon (Doubs) : sabotage du réseau internet

Coupure internet à l’est de Besançon : l’hypothèse d’un acte
malveillant

Est Républicain, 3 février 2024

Depuis vendredi soir [2 février] à 20 h, plusieurs communes de l’est de Besançon sont privées d’internet. Plusieurs témoignages concordants à Champoux, Braillans et Marchaux-Chaudefontaine font état d’une coupure totale du réseau. On ignore pour le moment combien de foyers sont impactés.

Dès samedi matin, de nombreux usagers ont contacté leurs opérateurs pour en savoir plus. La situation ne semble pas être revenue à la normale.

La thèse d’un acte malveillant serait privilégiée, comme l’explique Romain Vienet, maire de Champoux : « Vendredi soir, je travaillais en mairie sur le budget de la commune lorsque, vers 21 h, internet s’est brutalement arrêté de fonctionner. J’ai appelé ma femme à la maison, elle n’avait plus internet non plus. Je me suis alors rendu au coffret qui centralise les connexions à Marchaux. Là j’ai vu un technicien qui tentait de rétablir la situation. En remontant le câble en direction de Vieilley, nous avons constaté qu’il avait été sectionné, sans doute au couteau. » Lire la suite

Besançon (Doubs) : le fauteuil de compet’ de Boris est en route !

Début juillet, nous relancions en urgence l’appel à soutien financier destiné à l’achat d’un fauteuil électrique verticalisateur sur mesure pour Boris. Pour rappel, ce dernier est le compagnon anarchiste bisontin qui a détruit pendant le premier confinement deux antennes-relais des flics et des opérateurs de téléphonie mobile dans le Jura, avant d’être incarcéré à Nancy puis gravement blessé dans un incendie de la cellule où il était enfermé, le laissant tétraplégique.

Depuis deux mois, Boris est de retour dans la région de Besançon. Il a quitté l’hôpital de Chalon-sur-Saône où il se trouvait dans un service de SSR (Soins de suite et de réadaptation) et réside désormais dans un lieu de vie médicalisé adapté à sa situation… où il va pouvoir réceptionner le fameux fauteuil de compet’ fin septembre ! Qui plus est, l’appel à recueil de fonds a une fois de plus reçu un accueil solidaire à de nombreux endroits, et ce sont près de 11 000 euros supplémentaires qui ont été récoltés cet été. Big up à toutes celles et ceux qui ont organisé des initiatives publiques (concerts, débats, cantines), aux individus anonymes et aux caisses de solidarité qui ont permis de compléter définitivement l’achat du fauteuil de Boris : de Londres (Angleterre), d’Allemagne, de Bruxelles (Belgique), du Canada, de Lausanne (Suisse) et d’Athènes (Grèce) ; mais aussi d’Ardèche, de Besançon, des Cévennes, de Marseille, de région parisienne, de Toulouse… et d’ailleurs.
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Besançon (Doubs) : des news sur le fauteuil de compet’ pour Boris

Début mars, sortait un quatre pages détaillant l’histoire de l’anarchiste bisontin Boris, de son attaque en 2020 dans le Jura contre deux antennes-relais de flics et des opérateurs de téléphonie jusqu’à son incarcération à la prison de Nancy, de sa condamnation à quatre ans de taule dont deux fermes et sa lettre publique écrite depuis l’intérieur dans laquelle il défendra son acte, jusqu’à sa longue hospitalisation suite à un incendie de cellule qui l’a laissé tétraplégique. Et enfin le combat pour sortir du service des soins palliatifs de l’hosto où il avait été enterré. Depuis, la procédure de mise sous tutelle du compagnon lancée contre lui par la médecin de ce service a été annulée suite à des recours juridiques, et Boris a passé ces six derniers mois dans un centre de soin et de réadaptation (SSR) qui lui ont permis d’aller un peu mieux.

Dans ce texte, nous lancions alors un appel à soutien financier, afin d’envisager un retour vers la rue et le soleil pour Boris, loin du lit et des appareillages qui le clouent depuis trop longtemps sous les néons d’une chambre d’hôpital, destiné à l’achat d’un fauteuil électrique verticalisateur sur mesure.
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Montbéliard (Doubs) : pendant que la prof fait ses devoirs

La voiture d’une enseignante incendiée : les profs débrayent
au lycée Tillion
Est Républicain, 7 décembre 2022 (extrait)

L’enseignante était en cours de droit mardi vers 17 h quand elle est prévenue par des personnels du lycée. Sa voiture brûle sur le parking situé face au site du Grand-Chênois du lycée Germaine Tillion. Les sapeurs-pompiers sont déjà à l’œuvre au moyen d’une lance pour circonscrire les flammes. Pour autant, le véhicule est détruit. À tout le moins, l’origine du sinistre n’est pas accidentelle. La vitre côté conducteur a été volontairement brisée puis la voiture incendiée. La police est saisie.

Ce mercredi matin, dès 8 h, pour protester contre pareils agissements visant délibérément une professeure, les syndicats enseignants appellent au débrayage dans ce lycée polyvalent accueillant plus d’un millier d’élèves en bac et post-bac. « On s’attaque aux biens, demain aux personnes ? » interrogent des professeurs sous le choc. « Ça n’est plus tolérable, acceptable ».

Besançon (Doubs) : Qu’il soit de prison ou d’hôpital, à bas le pouvoir !

[Après un premier tract synthétique sur la situation actuelle de Boris sorti le 28 juillet dernier Besançon (Doubs) : Les pouvoirs médicaux et judiciaires s’acharnent contre Boris, un second texte vient de sortir, en insistant plus spécifiquement sur le pouvoir médical auquel le compagnon est confronté…]


Qu’il soit de prison ou d’hôpital, à bas le pouvoir !
Solidarité avec Boris

Indymedia Lille, 13 août 2022

Le camarade anarchiste Boris a été en prison à nancy maxéville depuis septembre 2020 pour le sabotage de deux antennes relais 5G** pendant le premier confinement. Il était en prison depuis près d’un an quand, le matin du 7 août 2021, un incendie s’est déclaré dans sa cellule. Boris a été hospitalisé à l’hôpital de metz, puis au service de réanimation de l’hôpital de besançon. Il est actuellement au service des soins palliatifs du même hôpital.

Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé (en italiques, des extraits du serment d’Hippocrate)

Depuis le début de son hospitalisation, et malgré les rechutes, l’état de santé global de Boris ne cesse de s’améliorer. Cela n’a pas empêché le « collège médical » de l’hôpital de besançon de décider que ça ne valait pas la peine de le réanimer en cas de nouvelle sepsis, d’arrêter tout soin thérapeutique qui lui donnerait une chance de guérison et de le balancer au mouroir qu’est le service des soins palliatifs. Son « médecin » actuel, Elisabeth Batit, a « évalué » son état de santé et a décrété qu’il avait « peu de chances de guérir », malgré le fait que ses évolutions positives ne cessent de la démentir. Est-ce que les médecins se trompent ? C’est bien plus grave. Les médecins se basent, pour établir leurs diagnostics, sur de l’imagerie, des examens, des analyses, sans jamais tenir compte de son image clinique qui est bien différente de ce qui résulte des appareils. L’image mécanisée a plus de valeur diagnostique que l’image réelle. Donc puisque les machines le disent, Boris n’est pas « guérissable » et donc pas la peine d’essayer d’améliorer son état !
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Besançon (Doubs) : Les pouvoirs médicaux et judiciaires s’acharnent contre Boris

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En avril 2020, notre compagnon et ami Boris a incendié sur le Mont Poupet (Jura) les antennes-relais des quatre opérateurs de téléphonie mobile, ainsi que celles des flics et des gendarmes. Confondu par de l’ADN présent sur un bouchon de bouteille, il a été incarcéré en septembre 2020 à la prison de Nancy, puis condamné en avril 2021 à quatre ans de prison dont deux fermes. Dans une lettre publique écrite depuis la taule *, il a défendu haut et fort son acte par sa volonté de s’opposer à travers l’action directe à la numérisation croissante de nos vies, avec tout le contrôle, les ravages environnementaux et sociaux qu’elle implique. En août 2021, il a été grièvement blessé dans un incendie de cellule, et se trouve depuis aux mains du pouvoir médical. Du côté judiciaire, son écrou a été levé lors du procès en appel de septembre suivant (reporté quant à lui sine die), tandis qu’une instruction, toujours en cours, était confiée à une juge nancéienne afin de déterminer les causes de l’incendie et d’enquêter sur la promptitude des matons à laisser suffoquer notre compagnon en cellule.

Alternant entre le coma artificiel et la semi-conscience pendant quelques mois, Boris n’a pas pu faire ses choix. Les médecins n’ont pas manqué de se tromper sur les diagnostics, mais toujours avec une assurance sans faille. Début mars 2022, Boris a été transféré de l’aile « Grands Brûlés » de l’hôpital de Metz vers le CHRU de Besançon au service de réanimation qui, en avril, a décidé de se débarrasser de lui en l’envoyant dans un autre service peu adapté à sa situation, sans que son avis ait une quelconque importance. Cette décision lourde de conséquence qui a signifié l’abandon de soins actifs, a été essentiellement motivée par le fait de ne pas constater d’évolution favorable de son état de santé en suivant de misérables critères statistiques. De manière évidente, ces critères ne tiennent absolument aucun compte de l’individu particulier auxquels ils sont appliqués de façon absolue et glaçante, même si celui-ci exprime sa volonté farouche de continuer à vivre et à se battre pour aller mieux. Profitant de sa tétraplégie actuelle, et malgré le fait qu’il est en état de parler, lucide et combatif, les médecins ont décidé de ne pas le réanimer si une nouvelle infection grave survenait. Ce n’est alors qu’en protestant et en faisant écrire des lettres qu’ils ont dû prendre en compte sa volonté de survivre et reprendre un minimum de soins actifs.
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Besançon (Doubs) : et voici venu… le « fraudomètre »

Transports et fraude : Ginko met en place son
« fraudomètre »,
une première en France
France3 BFC/Ma Commune/Est Républicain, 9 mai 2022

Lier technologie et sciences comportementales pour réduire la fraude. À compter de ce lundi 9 mai et jusqu’en juillet 2022, est mis en place un fraudomètre sur le réseau Ginko de transports en commun de Besançon.

C’est une première en France assure Kéolis Besançon Mobilité (une filiale de la SNCF) qui a développé ce système avec l’aide d’un cabinet spécialisé en sciences comportementales à Lyon, et de la direction innovation du groupe Keolis au niveau national. Dans le jargon des sciences comportementales, on appelle ça le « nudge ». Une méthode douce destinée à faire adopter aux individus un comportement plus vertueux, sans les contraindre. En attendant, petite précision : le « nudge » n’empêche pas les contrôles dans les bus, et est même couplé à leur renforcement. Dans le monde des transports, c’est une petite révolution.
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Besançon (Doubs) : la permanence des Républicains à la pavasse

La permanence du parti Les Républicains vandalisée de nuit
Est républicain, 16 avril 2022 (extrait)

Les permanences de partis ou de personnalités politiques sont parfois cibles de malveillance, à Besançon comme ailleurs. Le local départemental du parti Les Républicains, situé place Victor-Hugo à Besançon, n’a pas échappé à cette triste règle ce vendredi vers 22 h 30. Deux gros impacts sont visibles sur la vitrine, à côté de l’affiche de campagne d’une Valérie Pécresse encore souriante, image antérieure aux résultats du premier tour… Les dégâts ont été causés par deux pavés retrouvés sur le sol, devant le local.

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Besançon (Doubs) : la caméra n’a pas passé la journée

Ils s’attaquent à la caméra de vidéosurveillance le jour
de son installation à Planoise

Est Républicain, 16 novembre 2021 (extrait)

C’est une caméra qui aura eu une durée de vie éclair dans le quartier de Planoise à Besançon. Quelques heures après son installation ce mardi, le mât qui soutenait l’appareil a été attaqué à la disqueuse par deux personnes. Les policiers municipaux sont arrivés à temps mais le pylône métallique a dû être démonté.

L’installation par les services techniques a été effectuée ce mardi, au petit matin. Il était 5 h 30 quand des ouvriers sont venus fixer cet outil de vidéosurveillance à l’aide d’une nacelle, au sommet d’un lampadaire. Après quelques réglages, les techniciens ont déserté les lieux et laissé la caméra à son nouvel emplacement, rue de Fribourg.
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Besançon (Doubs) : Y a pas que leurs outils de techno-surveillance dans nos vies, y a les poukaves aussi

Indymedia Lille, 15 septembre 2021

A l’heure du déploiement de la 5G, la lutte contre cette société de contrôle continue de plus belle. Les attaques contre les antennes de télécommunication ou les entreprises qui y participent aussi : en France, plus d’une centaine de sabotages ont été recensés depuis mars 2020.
De quoi foutre en rogne cette société capitaliste et l’Etat qui la protège. La vague répressive ne connaît pas de trêve, et les flics utilisent tous les outils de surveillance technologique à leur disposition pour tenter de réprimer et étouffer tout soupçon de révolte.

Depuis l’année dernière, une trentaine de personnes ont été perquisitionnées, mises en examen ou incarcérées pour des sabotages d’antennes-relais. C’est le cas de Boris, un compagnon anarchiste qui a été envoyé en taule à Nancy en septembre 2020 pour l’incendie de deux d’entre-elles dans le Jura, et se trouve aujourd’hui à l’hôpital suite à un incendie dans sa cellule. Dans une lettre écrite depuis la prison, il évoque les dispositifs utilisés par les flics et les gendarmes pour épier son quotidien lors de l’enquête : valises imsi catcher, cameras devant un domicile, gps sous les voitures de ses proches, écoutes et géolocalisation en direct, civils du GIGN (venus de Versailles) en filature et en planque, demandes de poses de micro dans un domicile et dans le muret d’un parc où il retrouvait régulièrement des amis, saisies discrètes de capsules de bière laissées dans l’espace public,…

A Besançon, quelques mois après l’incarcération de Boris, au moins deux personnes ont été approchées par les flics depuis le début de l’année 2021. Si on ne sait pas ce qu’il en est de la première, la seconde a en tout cas été sollicitée plusieurs fois. Coup classique, un chantage aux papiers combiné comme souvent à l’isolement, la précarité, d’éventuelles casseroles judiciaires, ou simplement le fait que ces personnes gravitent en périphérie des cercles militants anarchistes.
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Pontarlier (Doubs) : un autre usage des masques…

Après un défi TikTok, des ados de Pontarlier scient les
poignées du bus avec l’élastique de leur masque

Est Républicain, 5 juin 2021

Les réseaux sociaux n’en finissent pas de donner des idées toutes plus idiotes les unes que les autres. La dernière en date vaut des points. Depuis quelques semaines, les sociétés de transports scolaires de Pontarlier mais aussi du reste du Doubs ont constaté des dégradations dans les bus avec des poignées de sièges sciées.

La police a été prévenue. L’origine de ces méfaits dont le préjudice s’élève à plusieurs milliers d’euros (une poignée coûte 100 € sans la pose) se trouve sur le réseau TikTok , le plus en vogue chez les jeunes. Des tutos y montrent comment scier une poignée de bus (ou d’autres choses en plastique comme des chaises) à l’aide de l’élastique des masques. Une mode bien stupide et coûteuse qui a obligé les policiers pontissaliens à multiplier les exercices de sensibilisation dans les bus auprès des ados.

Montbéliard (Doubs) : crever les yeux de l’Etat à l’engin de chantier (mis à jour)

Montbéliard : les violences urbaines reprennent dans le quartier de la Petite-Hollande
Est Républicain, 22 novembre 2020 (extrait)

Ce dimanche à la nuit tombée, le quartier de la Petite-Hollande a replongé dans les exactions. Un engin de chantier a été dérobé et utilisé pour détruire les nouvelles caméras de surveillance installées dans la semaine. Le « dumper » en question a ensuite été incendié.
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Montbéliard (Doubs) : Vinci n’est pas bienvenue dans le quartier

Engin de chantier incendié à la Petite Hollande : les travaux arrêtés
Est Républicain, 9 novembre 2020 (extrait)

Ce lundi, vers 13 h 45, à Montbéliard, dans le quartier de la Petite-Hollande, un engin de chantier a pris feu. Les ouvriers de l’entreprise baumoise [SOGEA, filiale du constructeur de prisons Vinci] s’affairaient rue Debussy au tirage d’une ligne haute tension pour le compte d’Enedis. Le sinistre les a tous surpris. Un tronçon de cet axe – situé juste en face d’un centre de contrôle technique ravagé par les flammes le 9 octobre dernier– avait été fermé à la circulation en raison des travaux sur le réseau

L’intervention des pompiers a permis de limiter les dégâts : « Nous avons rapidement éteint le sinistre au moyen d’une lance. Il n’y a pas de victime », souligne le lieutenant Pierre Gessier, responsable des opérations de secours, face à la cabine calcinée et sur un bitume ruisselant suite aux opérations d’arrosage. Une armada de policiers a été mobilisée pour éviter, sans doute, des attroupements, un acte volontaire étant privilégié.
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Besançon (Doubs) : deux textes sur l’arrestation d’un compagnon

Besançon : sur l’incarcération d’un compagnon anarchiste
Indymedia Nantes, 5 octobre 2020

Le 27 mars 2020, une antenne-relais était incendiée au Fort de Brégille à Besançon, dans le Doubs. Le 10 avril, deux autres antennes distantes de plusieurs dizaines de mètres et implantées sur le Mont Poupet au-dessus de Salins-les-Bains, dans le Jura, partaient en fumée. Ce ne sont pas les premières à connaître une fin chaleureuse, puisque plus d’une centaine de ces structures de la domination ont déjà été sabotées depuis deux ans, dont plus d’une vingtaine rien que pendant le confinement de printemps -soit quasi une tous les deux jours- et une soixantaine au total depuis le début de l’année. Et ce ne sont pas les dernières, puisque la lutte contre les cages technologiques continue de plus belle, sans attendre l’arrivée de la 5G pour s’en prendre aux relais de téléphonie mobile ou à la fibre optique, tant leur nuisance en terme de contrôle, de surveillance, d’aliénation, de dépossession ou de restructuration de l’économie a déjà été identifiée par beaucoup.

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