Archives de catégorie : Sanipolice

Pontarlier (Doubs) : un autre usage des masques…

Après un défi TikTok, des ados de Pontarlier scient les
poignées du bus avec l’élastique de leur masque

Est Républicain, 5 juin 2021

Les réseaux sociaux n’en finissent pas de donner des idées toutes plus idiotes les unes que les autres. La dernière en date vaut des points. Depuis quelques semaines, les sociétés de transports scolaires de Pontarlier mais aussi du reste du Doubs ont constaté des dégradations dans les bus avec des poignées de sièges sciées.

La police a été prévenue. L’origine de ces méfaits dont le préjudice s’élève à plusieurs milliers d’euros (une poignée coûte 100 € sans la pose) se trouve sur le réseau TikTok , le plus en vogue chez les jeunes. Des tutos y montrent comment scier une poignée de bus (ou d’autres choses en plastique comme des chaises) à l’aide de l’élastique des masques. Une mode bien stupide et coûteuse qui a obligé les policiers pontissaliens à multiplier les exercices de sensibilisation dans les bus auprès des ados.

Le chiffre du jour : 27 729

27.729 contrôles pour s’assurer du respect du couvre-feu à 21 heures ont été réalisés par les forces de l’ordre le 31 mai dernier, selon les chiffres communiqués ce mardi par le ministère de l’Intérieur à BFMTV. 3072 verbalisations de tout ordre ont été relevées par les forces de l’ordre ce jour-là. Parmi celles-ci, 17 concernaient des établissements recevant du public.

Le couvre-feu doit être décalé à 23 heures le 9 juin prochain, nouvelle étape du calendrier de réouverture, , avant d’être définitivement supprimé le 30 juin selon la situation sanitaire.
[Ouest France, 2 juin 2021]

Montréal (Canada) : contre le couvre-feu ? saccage du centre-ville!

Grabuge dans le Vieux-Montréal après une manifestation contre le couvre-feu
LPC/Radio Canada, 12 avril 2021

Des centaines de manifestants se sont réunis dans le Vieux-Port de Montréal dimanche soir pour protester contre le couvre-feu. Ils voulaient ainsi défier la nouvelle directive du gouvernement Legault qui a fait repasser le couvre-feu de 21 h 30 à 20 h. Les protestataires ont bloqué complètement la rue de la Commune près de la place Jacques-Cartier.

La majorité des manifestants étaient des jeunes ne portant pas le masque. Ils ont scandé des slogans insultant le premier ministre Legault et revendiquant plus de liberté, tout en faisant exploser des feux d’artifice. L’ambiance d’abord festive s’est toutefois envenimée lorsque certains d’entre eux ont allumé un feu de déchets sur la place Jacques-Cartier.

Des dizaines de policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), certains issus des forces antiémeute, ont été envoyés sur les lieux pour disperser la foule. À l’arrivée des policiers, un peu après 20 h 30, des dizaines de manifestants se sont dispersés pour semer le chaos dans les rues pavées du quartier touristique de Montréal. Des incendies ont été allumés dans des poubelles à de nombreuses intersections. Des manifestants ont ramassé les objets qu’ils pouvaient trouver dans la rue pour ensuite les lancer et fracasser des vitrines de magasins.
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Italie/CEDH : l’obligation vaccinale au temps du covid

[Sur le fond, rappelons simplement que les vaccins actuels contre le covid (comme la plupart des autres vaccins, qui sont dits « non-stérilisants ») n’empêchent ni les personnes vaccinées d’être porteuses du virus ni d’être contagieuses.
Sans même évoquer les effets secondaires éventuels à court ou long terme de ces mixtures génétiques qui font de nous des rats de laboratoire géant, leur objectif principal tel qu’elles ont été conçues
n’est pas d’empêcher le virus de toucher l’organisme des vaccinés ou que ces derniers ne le fassent circuler à d’autres, mais uniquement de jouer sur les symptômes déclenchés (la maladie), en limitant le risque de formes graves. Et si elles diminuent également en passant la probabilité d’être infecté sans la supprimer pour autant, ce n’est de toute façon que sur un temps limité, et selon les individus et les variants, à tel point qu’on parle déjà de future troisième dose à injecter ou de la nécessité de piqûres de rappel régulières. Enfin, concernant les vaccinés qui continuent de chopper le covid, ils demeurent bien sûr contaminants, avec une contagiosité variable selon l’abaissement de la charge virale (de 3 à 5 fois moins en moyenne d’après leurs études, mais là aussi sans certitude concernant la durée de cette baisse).
Ce qui signifie dans le cas italien ci-dessous, que la partie vaccinée du personnel hospitalier peut comme son homologue qui refusait obstinément de l’être (ce qui est déjà en soi une critique et un affront à la propagande institutionnelle en vigueur),
toujours transmettre le virus aux patients avec lesquels elle est en contact. Mais on sait depuis longtemps que tout rapport de masse ne s’embarrasse ni des individus ni de leur libre arbitre, mais seulement de gestion des grands nombres, qui plus est dans une ignoble logique de risques/bénéfices globale et statistique.]

L’Italie va bien rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 pour les soignants
LCI, 6 avril 2021 (extrait)

Dans un décret publié ce jeudi 1er avril, le gouvernement italien a rendu obligatoire la vaccination contre le Covid pour tous les travailleurs des établissements de santé dans le secteur public ou privé. Et même les pharmaciens. En cas de refus, des sanctions sont prévues. Et pas des moindres. Le décret précise que s’il s’oppose à se faire [vacciner], un salarié risque d’être suspendu au moins jusqu’à la fin de l’année 2021. Il lui est alors interdit d’exercer sa profession en lien avec le public. Le décret précise que l’employeur peut alors l’affecter à d’autres postes « qui n’impliquent pas de risque de propagation du coronavirus ». Lorsque cette solution est impossible, alors le soignant est suspendu, sans aucune rémunération. Il ne toucherait donc plus de salaire jusqu’au 31 décembre. Les sanctions seront levées à partir du moment où l’employé acceptera de se faire vacciner. Évidemment, « en cas de danger avéré pour la santé », la vaccination sera reportée ou rendue facultative.
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Et voici les vaccinodromes gérés par les assassins en uniforme

Covid-19: les armées vont ouvrir sept grands centres de
vaccination permanents

Le Figaro, 3 avril 2021

Les armées vont contribuer elles aussi à la campagne de vaccination. Le ministère a annoncé samedi soir que 7 hôpitaux d’instruction des armées (HIA), sur les 8 de métropole, allaient accueillir à partir de mardi des centres de vaccination permanents : à Saint-Mandé (Bégin) et Clamart (Percy) en région parisienne, à Marseille, Toulon, Metz, Bordeaux et Brest. Seul l’HIA de Lyon n’a pas été inclus dans le dispositif. «Ces 7 hôpitaux militaires devraient à terme être en mesure d’administrer jusqu’à 50.000 doses par semaine», a promis le ministère. Soit plus de 1000 injections quotidiennes par centre, ce qui les place au niveau des dizaines de mégacentres progressivement mis en place par le gouvernement. Jusqu’à présent, le rôle des militaires était resté plus mesuré, avec un total de 10000 civils vaccinés au sein d’HIA lors de précédents week-ends de vaccination.

Alors que les armées européennes sont fortement mobilisées face au Covid-19, les militaires français vont accentuer leurs efforts. «La ministre des Armées a également demandé aux armées de se tenir prêtes à déployer des centres militaires de vaccination en région, en fonction des besoins exprimés par le ministère de la Santé et des Solidarités», a ajouté l’état-major samedi soir dans un communiqué. «La localisation de ces centres sera définie en concertation avec les préfets et les agences régionales de santé (ARS) dans les zones où cette capacité sera la plus utile. Ces centres seront gérés et organisés par le ministère des Armées», a-t-on précisé. Il y a deux semaines encore, on assurait pourtant au ministère «ne pas avoir cette piste dans le radar».
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Le chiffre du jour : 17 000

Pour s’assurer du respect des mesures sanitaires en vigueur, la préfecture de police avait annoncé, vendredi dernier, une « opération de grande ampleur » en Île-de-France. Ce lundi, elle dresse le bilan des contrôles intensifiés de ce week-end (27-28 mars  2021).

Au total, 17.700 contrôles de personnes et 293 établissements ont été effectués. 2243 verbalisations ont été dressées pour « défaut d’attestation » et 954 verbalisations pour « non-port du masque », indique la préfecture.
(BFM, 29 mars 2021)

Rome (Italie) : attaque incendiaire contre l’Institut supérieur de la santé (ISS)

traduit de l’italien de roundrobin, 17 mars 2021

Un jour pas trop éloigné du 8 mars, l’entrée de l’ISS (Institut Supérieur de la Santé) a été incendiée.

Parce que c’est moi qui décide de mon corps.
Parce que les responsabilités des assassinats d’État dans les prisons en mars 2020 sont aussi à rechercher là-dedans*.
Parce que la médecine est une institution oppressive, un des multiples piliers sur lesquels s’appuie le système capitaliste patriarcal technoindustriel.
Parce que c’était la dernière journée avant le retour en zone rouge [et donc en confinement] et qu’il s’agissait de la passer dans la joie.
Et surtout, pourquoi pas ?

Solidarité avec ceux qui luttent dans les prisons, contre elles et contre tout type de cage.
Une pensée pour les virus opprimés du monde entier.
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Acceptable

Nous nous sommes trompés, nous l’admettons. Mais c’était un réflexe conditionné qui a la peau dure. Ce matin, en lisant les nouvelles, nous n’avons pas pu contenir un élan de joie en apprenant que la nuit dernière, la porte d’entrée de l’Istituto Superiore di Sanità [équivalent de l‘Inserm] a été incendiée à Rome. Quelqu’un l’a aspergée de liquide inflammable et y a mis le feu, avant de disparaître. Les gardes sont aussitôt intervenus en donnant l’alerte et les dégâts sont limités, mais…

Mais ensuite, l’honorable ministre de la Santé Speranza a pensé à nous ramener les pieds sur terre, avec ses paroles admirables : «Les actes d’intimidation contre l’Institut Supérieur de la Santé sont inacceptables. L’ennemi est le virus. Pas ceux qui s’ingénient à le combattre ». Oui, c’est vrai, comment avons-nous pu l’oublier? L’ennemi est le virus – et dire que nous le savions ! Nous faisons donc amende honorable en public, et en guise de pénitence nous rappelons à nos lecteurs que :
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Agde (Hérault) : trois mois ferme pour non respect du couvre-eu

Béziers : un homme condamné à trois mois de prison pour avoir enfreint quatre fois le couvre-feu
AFP, 11 mars 2021

Interpellé à quatre reprises en moins d’un mois, un jeune homme a été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir enfreint le couvre-feu, a indiqué jeudi le procureur de Béziers (Hérault), Raphaël Balland.

L’homme de 25 ans, qui se trouvait en voiture à Adge dans l’Hérault après l’heure du couvre-feu imposé en France depuis plusieurs mois en raison de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, a été interpellé par la police et placé en garde à vue mardi, selon un communiqué du procureur de Béziers. « Il avait donné aux policiers des explications fantaisistes alors même qu’il avait déjà été verbalisé à trois reprises courant février et mars 2021 pour avoir violé le couvre-feu », ajoute le parquet.

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Affiche : Ils nous ont volé la nuit

traduit de l’italien de infernourbano, 20 février 2021

Ils nous ont volé la nuit.
Nous avons oublié la date du début du couvre-feu, et nous sommes peut-être en train d’oublier lentement nos nuits en compagnie de la lune, des amis, des amants, des étoiles. Quelqu’un d’autre nous dit comment les passer entre les murs de chez soi. Ils tentent à présent de tout discipliner avec l’excuse du virus : comment nous relationner les uns aux autres, qui voir, où aller, les horaires… Et nous nous retrouvons à vivre des journées rythmées par le travail, la télé, l’ordinateur, le supermarché et la famille. Ils choisissent la couleur des lieux où nous vivons, et sur cette base construisent sur notre dos l’une ou l’autre cage. Et chaque jour ils inventent une nouvelle incohérence qui finit par nous façonner l’existence.

Depuis des mois, nous sommes enfermés à domicile, des dizaines de millions de personnes enfermées par peur ou résignation. Et même la police ne semble plus nécessaire pour dompter ces peurs. Nous nous découvrons silencieux et obéissants.
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Tripoli (Liban) : quatrième nuit d’émeute, les bâtiments des autorités incendiés

Tripoli, 29 janvier 2021 : Les ruines de la mairie après son incendie par des émeutiers.

Tollé après l’incendie de la municipalité de Tripoli
par des manifestants

L’Orient-Le Jour, 29 janvier 2021

L’incendie du siège de la municipalité de Tripoli jeudi soir par des manifestants en colère contre la situation socio-économique a provoqué un tollé au Liban, poussant les responsables politiques à condamner cet acte et à réclamer une reddition des comptes, alors que la grande ville du Nord est le théâtre de heurts violents depuis lundi entre protestataires et forces de l’ordre. Ces violences ont déjà fait un mort parmi les manifestants, et plus de 300 blessés dans les deux camps. La police affirmé que trois grenades et près de 300 molotovs avaient été lancés par les manifestants depuis le début des émeutes lundi.

Jeudi, tard en soirée, plusieurs manifestants ont lancé des engins incendiaires, notamment des cocktails Molotov, provoquant un incendie qui a ravagé le siège de la municipalité de la ville. Les équipes de la Défense civile sont intervenues afin de venir à bout des flammes qui ont dévoré tous les étages du bâtiment, alors que les forces de l’ordre tentaient de pourchasser les manifestants. Des liasses de papiers administratifs étaient visibles dans la rue après l’incident, rapporte le Daily Star. D’autres manifestants avaient incendié l’entrée du Sérail gouvernemental, ainsi que le siège du tribunal religieux de cette ville à majorité sunnite, alors qu’un autre groupe avait vandalisé le centre Azm, propriété du milliardaire et ancien Premier ministre Nagib Mikati. Ce dernier a prévenu vendredi, dans un entretien à la chaîne al-Jadeed, qu’il pourrait avoir recours aux armes pour se défendre et défendre ses biens. « Si l’armée échoue à contenir la situation à Tripoli dans les heures qui viennent, (…) je pourrais recourir aux armes pour me protéger et protéger mes biens« , a-t-il menacé.
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Tripoli (Liban) : un mort et trois cents blessés en trois jours d’émeute

Décès d’un manifestant blessé lors des violences à Tripoli
L’Orient-Le Jour, 28 janvier 2021 (extrait)

Un jeune homme est décédé jeudi matin de ses blessures, après les affrontements de la veille à Tripoli entre des manifestants protestant contre les restrictions sanitaires et leurs difficiles conditions de vie et les forces de l’ordre. Il s’agit du premier décès annoncé depuis le début des violences qui ont fait jusque-là plus de 300 blessés dans la capitale du Nord, l’une des villes les plus pauvres du Liban.

Omar Tayba, 29 ans, a été blessé par balle alors qu’il observait les manifestations et les heurts, a déclaré à l’AFP son frère Ahmad Tayba. Le jeune homme était hospitalisé à l’hôpital al-Nini, à Tripoli.
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Tripoli (Liban) : émeutes de la faim contre le confinement [mis à jour]

Liban : mourir de faim ou du Covid-19, la colère gronde
face à un confinement synonyme de pauvreté

Euronews/La Presse (Canada), 27 janvier 2021

C’est un confinement synonyme d’agonie. A Tripoli au Liban, les forces de l’ordre font de nouveau face à des manifestants en colère. Deuxième nuit d’affrontements qui ont fait au moins 45 blessés selon la Croix-Rouge libanaise, par des tirs de balles en caoutchouc de l’armée, déployée en masse. Dans un communiqué, l’armée libanaise a indiqué que 31 soldats avaient aussi été blessés lors des affrontements. L’armée a par ailleurs arrêté cinq personnes soupçonnées d’avoir « vandalisé des propriétés publiques et privées, incité à des émeutes et attaqué les forces de sécurité », indique le communiqué. Lundi 25 janvier déjà, au moins 30 autres personnes avaient été blessées dans des affrontements similaires dans cette ville.

Mardi 26 janvier, des jeunes ont lancé des cocktails Molotov, d’autres ont tenté de prendre d’assaut le principal bâtiment administratif de la ville (le Sérail), et  la voiture personnelle d’un membre des Forces de Sécurité Intérieure a été incendiée. Ailleurs dans le pays, des routes ont été bloquées par des protestataires.
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Guyane : carnaval contre confinement

Depuis ce week-end, en plus du couvre-feu comme dans tous les autres départements, un reconfinement a été décrété le 21 janvier 2021 dans la colonie française de Guyane par le préfet pour tous les dimanches : une partie du territoire est ainsi confinée à partir de samedi soir 19 heures jusqu’au lundi à 5 heures du matin.

Cela n’a pas empêché des centaines d’habitants des quartiers pauvres de braver d’abord interdiction de rassemblements festifs et couvre-feu, puis désormais confinement dominical, pour maintenir un défilé de carnaval parfois contestataire pour la troisième fois d’affilée malgré les flics.

Dimanche 10 janvier à Cayenne, en fin de rassemblement carnavalesque, des affrontements ont éclaté avec pétards et fumigènes contre lacrymogènes, et la brigade canine a même lâché un chien démuselé contre des carnavaliers qui refusaient de se disperser (mordant l’un d’eux profondément au bras), provoquant une forte indignation dans cette colonie historiquement marquée par l’esclavage et la chasse aux neg’marrons. Dimanche 17 janvier à Cayenne, un millier de personnes a riposté en participant à deux grands défilés carnavalesques non autorisés, dans les quartiers de la ZAC Hibiscus et aux Chaînes Brisées dès l’aube, tandis que dimanche dernier 24 janvier, près de 250 autres ont repris le flambeau à Rémire-Montjoly dans le quartier des Âmes Claires, malgré les gendarmes déployés sur place et le nouveau confinement dominical décrété deux jours plus tôt par les autorités. Il y a eu quelques affrontements vers 17 heures (heure locale), avec jets de pierre contre gaz lacrymogène, et plusieurs interpellations.

[synthèse de la presse locale, 25 janvier 2021]