Chauny (Aisne) : plonger le quartier dans le noir

Presque six mois sans éclairage public, des habitants
de la cité Racine à Chauny s’impatientent

L’Aisne Nouvelle, 6 septembre 2021

Suite à un acte de vandalisme à Chauny sur le transformateur électrique alimentant les candélabres, le quartier reste dans le noir la nuit depuis la mi-mars.

« Quand je m’en vais certains matins à 5 h 30, je suis obligée de m’éclairer avec une lampe torche. » Depuis presque six mois le quotidien est devenu plus difficile pour cette riveraine de la résidence des prés, le matin de bonne heure et aussi la nuit. Après le coucher du soleil, les candélabres restent éteints « depuis longtemps » regrette cet autre habitant du quartier Racine.

Pour expliquer cette panne, les habitants pointent le transformateur électrique installé plus loin dans la rue, touché par un incendie mi-mars. Déplorant un acte de vandalisme, l’Opal, propriétaire des terrains, a porté plainte le 23 mars et effectué une déclaration auprès de son assurance.
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Bure (Meuse) : ANDRA dégage – Vive le bricolage !

Indymedia Lille, 6 septembre 2021

Beaucoup de choses se sont passées autour des journées d’action contre CIGEO aux abords du camp des Rayonnantes à la gare de Luméville en août 2021. Un bref bilan des événements et un appel de quelques brigan*des à intensifier notre résistance.

Actions en amont

Déjà avant le camp des Rayonnantes, il y avait eu des interventions du groupe B.O.R.I.S..
Dans le cadre d’une action coordonnée, des attaques à Bar-le-Duc et à Nancy avec de la peinture et des vitres défoncées ont visé la SAFER. La compagnie d’assurance Groupama, qui s’était portée partie civile avec la commune de Bure durant les 1·2·3-procès, a également subi des dommages matériels. Sur la voie ferrée à rénover entre Ligny et Gondrecourt, des militant*es ont saboté des parties de la voie avec des crics.
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Grenoble (Isère) : incendie solidaire d’un véhicule d’Orange

En solidarité avec Boris
Indymedia Lille, 6 septembre 2021

En solidarité avec Boris, dans le coma depuis maintenant un mois suite à un incendie dans sa cellule, un véhicule d’Orange a été incendié devant les bureaux d’Orange dans le centre de Grenoble la nuit de dimanche à lundi.

Pourquoi Orange ? Simplement parce que nous avons lu le compte rendu du procès de Boris, et nous avons vu qu’Orange, par le biais de son avocate, a tenté d’enfoncer au maximum notre compagnon. Bien sûr les juges, procureurs et matons sont tout aussi responsables de sa situation, mais nous avions envie de démarrer une campagne contre Orange, car facilement à notre portée un peu partout : pneus crevés, vitrines de boutiques brisées, tags, bagnoles cramées, antennes cramées, etc., il y en a pour tous les goûts pour qui a envie de prendre part à cette petite campagne, pour montrer qu’on n’oublie pas Boris et qu’on pense à lui, la tête haute, le coeur ardent !
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Rennes : les services municipaux partent en fumée

Rennes : un incendie détruit en grande partie un bâtiment
accueillant des services de la ville

France 3/Ouest France, 6 septembre 2021 (extrait)

Il est 1h23 ce lundi 6 septembre lorsque les pompiers sont appelés pour un feu de poubelles qui se propagerait à un bâtiment en structure modulaire au 187 rue de Châtillon, le centre Alain Savary. Sur place, les soldats du feu découvrent que les flammes ont bien attaqué le bâtiment. Au final, ce sont 100 m² du rez-de-chaussée et 100 m² de l’étage qui sont touchés par l’incendie, mais les 400 m² du bâtiment sont bien impactés par les fumées et donc hors d’usage. Les pompiers ont du découper les cloisons, le feu se propageant dans la structure par les matériaux d’isolation.

Ce lundi midi, l’odeur de fumée âcre était toujours très présente dans le bâtiment. Aussi les murs noircis et les plafonds éventrés d’où pendent les matériaux d’isolation. Un bâtiment qui outre plusieurs associations dont les Petits Débrouillards, abritait aussi des services de la ville de Rennes : la Direction sud des sports, le service recensement de la Direction des prestations administratives à la population, la Chambre régionale de l’économie sociale. Également un espace de stockage affecté à la Direction des systèmes Informatiques et un espace dédié au syndicat CGT. Une cinquantaine de personnes y travaillaient.

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Tract : Pass sanitaire ? Tout bloquer

Green pass ? Tout bloquer
traduit de l’italien de finimondo, 1er septembre 2021

S’abstenir de ce qui a la tête sur les épaules, régler son pas sur celui des tempêtes disait un adage d’il y a quelques temps.

Aujourd’hui, mercredi 1er septembre, une invitation à bloquer les trains a été lancée dans différentes gares du pays pour critiquer l’obligation du green pass*, nécessaire pour ceux qui veulent voyager sur certains moyens de transport. Que pourrait-il  se passer lorsque le train de la résignation à la coercition s’arrêtera, sur la vague du « si je ne peux pas me déplacer, personne ne se déplace » ?

Quand une antenne-relais du contrôle télématique est attaquée, quand un centre vaccinal est saboté, quand un virologue qui demande le confinement de ceux qui ne se vaccinent pas est bousculé dans la rue, quand une table de parti est renversée, quand on a la brillante idée de commencer à bloquer le déplacement des humains-marchandises, combien d’autres possibilités peuvent émerger ? Quand une protestation naissante contre le green pass et la disciplinarisation de la circulation des personnes ouvre des espaces à chacun, sans leadership ni services d’ordre, pouvons-nous commencer à développer des contenus qui mettent en évidence les contradictions sociales, en réponse aux contrôles toujours plus asphyxiants sur nos vies ?

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Montreuil (93) : Egis s’est (encore) refait faire la façade !

Indymedia Lille, 4 septembre 2021

En me balladant dans le bas montreuil vers le 4 rue Dolorès j’ai pu constaté que la facade d’Egis a été redécoré. En plus des nombreux tags, reproduit ci dessous, on peut voir des taches de peintures sur les étages superieurs.

« Solidarité avec les enfermé.es / Crève Egis Crève la taule / Antennes, barreaux A bas ce monde prison / Egis construit des prisons / Solidarité / Egis crève / On ne veut pas croupir dans vos taules / Feu aux prisons / Emeutes, Vive la belle ! / 3g,4g,5g, brule les antennes / Crève la taule ! / Solidarité avec Boris / Evasion / Vive le feu / Constructeur de la ville prison/ Egis collabos »

Egis est en effet connue comme société d’ingénierie faisant notamment les études préalables à la construction d’une nouvelle prison dans le 93, a côté de celle de Villepinte. Boris est un compagnon anarchiste aujourd’hui dans le coma suite à l’incendie de sa cellule. Il est incarcéré pour l’incendie de deux antennes-relais durant le 1er confinement.

Voilà un ravalement de façade coloré, qui change du gris de la ville prison !
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Tract : À quoi sert le QR code sanitaire ?

[Reçu par mail]

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Tract distribué dans quelques manifs « covid » à Paris depuis le 25 juillet 2021 (modifié d’un mot le 2 septembre).

À quoi sert le QR code sanitaire ?

Usage moral. Le QR code sanitaire incite tous les habitants à contribuer à diviser la société en deux. Les titulaires étant censés vertueusement se soucier d’autrui tandis que les récalcitrants sont marqués, par défaut, comme des mauvais citoyens irresponsables qui refusent volontairement de s’adapter à la marche de l’Histoire. Cette arriération imposée, ce débit social, est forgée par l’amalgame incontournable qu’implique le chantage entre liberté de circulation et vaccination.

C’est ainsi que la majorité qualitative des adaptés est sommée de se dégager de la minorité qualitative des inadaptés. La majorité dont il est question ici n’est pas à estimer comme nombre — bien qu’elle soit mise en courbes par les gestionnaires pour qu’ils évaluent l’efficience de leurs ordres. Il s’agit d’une capture de la liberté, censée relever de choix subjectifs : de celle de l’individu majeur ayant dépassé son statut mineur antérieur d’enfant social — qui, lui, est renvoyé au tout-à-l’ego des « antivax » et autres « complotistes ».
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Hambourg (Allemagne) : une analyse du dossier des « Trois du banc public »

Espionnages et autres désagréments
traduit de l’allemand de de.indymedia, 29 août 2021

Une analyse de la mise sous observation et de la surveillance des trois anarchistes condamné-e-s dans le dit « Procès du banc-public ».

Dans le texte qui suit nous voulons essayer de résumer les surveillances et les mesures d’investigation autour de la « procédure du banc-public » ainsi que d’expliciter certains points qui peuvent être importants pour des personnes grandement intéressées à préserver leur sphère privée.

Nous voulons d’abord souligner que tout ce qui suit est basé sur les dossiers des keufs et sur les conclusions que nous en avons tirées. De par sa nature même, l’appareil sécuritaire ne montre pas volontiers son jeu et même dans les procédures criminelles, il ne présente ouvertement que les éléments de ses rapports qu’il croit absolument indispensables. La publication de tous les procès-verbaux de surveillances demandée par les avocat-e-s a été, comme attendu, refusée. Par conséquent, nos comptes-rendus sont aussi incomplets. Tirez en vos conclusions et vos enseignements, mais ne considérez rien comme des vérités établies – nous racontons ici une histoire que les keufs ont compilée dans un dossier !
Dans un souci de simplification nous caractériserons les accusé-e-s comme personne 1, 2 et 3, dans leur ordre d’apparition en scène.
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La poulaille armée prendra le train gratos

Les voyages en train gratuits pour les policiers à partir
de 2022, annonce Darmanin

Le Parisien, 3 septembre 2021 (extrait)

C’était une vieille demande des fonctionnaires de police. S’il l’avait déjà promis lors d’un déplacement en Moselle au printemps dernier, le ministre de l’Intérieur a annoncé, ce vendredi, que les policiers pourront voyager gratuitement dans les trains du réseau SNCF à partir du 1er janvier 2022. L’accord a été conclu cette semaine avec l’entreprise de transport ferroviaire.

Le ministre s’est félicité sur Twitter d’un « partenariat gagnant/gagnant permettant de mieux sécuriser les trains et faciliter la vie de nos policiers ». L’accord conclu avec la SNCF prévoit que « le trajet domicile-travail soit gratuit pour les policiers, s’ils sont armés et s’ils se signalent au chef de bord », a détaillé l’entourage de Gérald Darmanin. Le prix du billet sera pris en charge par le ministère, a-t-on poursuivi de même source.
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Belgique : Retour sur le jugement contre des anarchistes en novembre 2020

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(avec un peu de retard : Bulletin #3 – Avril 2021)

À partir de 2008, l’État belge a mené une vaste enquête visant les luttes multi-formes – mais toujours sans concessions – qui s’attaquaient aux centres fermés, aux frontières, aux prisons et ce monde basé sur l’autorité et l’exploitation. Dans son collimateur : la bibliothèque anarchiste Acrata, des publications anarchistes et anti-autoritaires (Hors Service, La Cavale et Tout doit partir), des dizaines de tracts et affiches, une bonne centaine d’actions, d’attaques et de sabotages… bref, la lutte contre le pouvoir sous ses différentes expressions.

Dans un premier temps, une douzaine de compagnons étaient poursuivis pour « participation à un groupe terroriste ». Après des années d’errance dans le vide juridique, c’est finalement en 2020 que la Cour d’Appel a condamné 8 inculpés à des peines de prison avec sursis et des suspensions des peines. Un autre procès est en suspens. Il concerne 7 compagnons et l’inculpation principale est « incitation à commettre des crimes et des délits ».

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Petite-Île (La Réunion) : pneus enflammés pour l’antenne-relais

Une antenne-relais détruite à Petite-Île
Clicanoo, 3 septembre 2021

L’antenne-relais 4G SFR a été incendiée à Petit-île, occasionnant une coupure de connexion. L’équipement servait également à relier le quartier à la fibre et les dommages sont estimés à 130 000 euros.

C’est un technicien, intervenu sur les lieux suite au signalement de la coupure qui a prévenu les gendarmes, des pneus brûlés ayant été retrouvés à proximité. Une enquête a été ouverte afin de déterminer la cause de cet incendie, la piste criminelle étant envisagée. Les réparations devraient occasionner une coupure d’une semaine.

Quelques photos supplémentaires

Vernaison (Rhône) : la caméra part en fumée

Un mat de vidéosurveillance incendié dans le centre-ville de Vernaison
Le Progrès, 31 août 2021

C’est dans la nuit de samedi à dimanche que sapeurs pompiers et gendarmes ont été appelés pour un incendie sur la place du 11 novembre, en plein centre-ville. Arrivés sur les lieux, ils constataient la mise à feu d’un poteau sur lequel surplombe une caméra de vidéo surveillance.

Le sinistre a été rapidement maîtrisé mais la camera est désormais hors d’usage. Une plainte a été déposée auprès des services de gendarmerie. Dans la nuit du 14 au 15 mai dernier, c’est aussi une caméra de vidéosurveillance qui avait été ciblée par un incendie dans le quartier du Péronnet.

Albi (Tarn) : une nouvelle antenne-relais met fin à ses jours [mis à jour]

Le nombre de choses dérisoires qu’on peut  apprendre dans les flash-infos des petites stations locales entre deux tubes à la mode, un spot gouvernemental et une réclame pour la grande surface du coin, a généralement de quoi nous faire regretter le silence.

Tenez, mardi 24 août par exemple, dans le journal régional de 16h de la dénommée 100% radio, qui sévit au sein du triangle Pau-Cahors-Perpignan, on y parlait encore de l’hypermarché Géant Casino. Mais surprise, il ne s’agissait plus de promouvoir le dernier gadget flambant neuf en mode rentrée scolaire. Oh, bien sûr, il a certes encore été question de flambant… mais cette fois plutôt en mode pylône de téléphonie mobile. Car voici la dépêche succincte que le présentateur a débité à ses auditeurs pressés en ouverture du point-info régional, avec quelques jours de retard : « A la Une de l’actualité dans le Tarn, les pompiers mobilisés dans la nuit de samedi à dimanche pour un feu sur une antenne-relais à Albi, route de Millau, près du Géant Casino. L’origine du sinistre serait accidentelle. » Quant au concurrent papier de La Dépêche du Midi, il s’est contenté de rajouter dans un petit entrefilet que l’incendie s’était déclenché « vers 3h du matin ».
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Saint-Pierre (La Réunion) : bien préparer la rentrée scolaire

Un incendie détruit plusieurs bus scolaires dans un dépôt
de Grand Bois à Saint-Pierre

Réunion la 1ere, 29 août 2021

Un violent incendie a ravagé un entrepôt de bus scolaire dans le quartier de Grand Bois à Saint-Pierre. Le feu s’est déclaré samedi 28 août aux alentours de 18 heures. Au total, 15 véhicules ont été détruits par les flammes.

Des riverains ont dû être évacués le temps de l’intervention des pompiers qui a duré près de deux heures. Pour le propriétaire des véhicules brûlés, cet incendie est un coup dur. Selon lui, le préjudice s’élève à environ trois millions d’euros. Demain, lundi, certains enfants ne retrouveront pas leur bus habituel pour aller à l’école [à La Réunion, la rentrée a commencé le 16 août dernier].
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Montreuil : Des chaînes technologiques aux barreaux des prisons

Montreuil 3/09 discussion : Des chaînes technologiques aux barreaux des prisons
Indymedia Lille, 31 août 2021

Notre compagnon Boris, incarcéré à la taule de Nancy-Maxéville depuis septembre 2020 pour l’incendie de deux antennes-relais dans le Jura pendant le premier confinement, est actuellement plongé en coma artificiel au service des grands brûlés de l’hôpital de Metz suite à un incendie de cellule le 7 août dernier.

Que la prison soit un système de torture institutionnalisée, et que l’État – de la police à la justice jusqu’à la taule –, est directement responsable de cette situation ne fait aucun doute. Un incendie de cellule est toujours une conséquence de sa violence, qu’il soit accidentel, un moment de désespoir, ou un acte de révolte. Si toutes les cages qui nous enferment doivent être définitivement rasées au sol, c’est à la fois parce qu’elles sont le reflet d’une société carcérale, et parce qu’aucun horizon de liberté ne pourra s’ouvrir tant qu’une seule d’entre elles restera debout. Ainsi, des architectes qui les conçoivent aux entreprises qui les bâtissent (comme Bouygues, Vinci et Eiffage) ou qui exploitent les prisonniers à l’intérieur ; des syndicats de matons (comme FO, l’UNSA ou la CGT) aux journalistes et intellectuels de tous bords qui en défendent et justifient l’existence ; des démocrates qui veulent perfectionner davantage leur fonctionnement au prétexte de les rendre plus « humaines » jusqu’aux belles âmes qui poussent vers un enfermement et un contrôle toujours plus diffus hors des murs… tous participent à renforcer cet ordre mortifère basé sur le profit, la domestication et la normalisation.

En juin dernier, dans une lettre écrite depuis la prison de Nancy suite à sa condamnation à quatre ans de prison dont deux avec sursis plus une centaine de milliers de dommages et intérêts destinés à Orange, Enedis et l’Etat lui-même (pour la partie émetteurs de la gendarmerie et de la police partis en fumée), Boris tenait notamment à rappeler un autre aspect de la société du contrôle et de l’enfermement : la marché forcée vers un techno-totalitarisme dystopique « nous isolant derrière des machines, avec des écrans nous rendant aveugles, des oeillères nous rendant sourds face à l’atrocité de ce monde, qui exploite, empoisonne et tue les êtres vivants, humains comme non-humains ». Et en effet, dans cette grande prison à ciel ouvert bardée de laisses électroniques où la connectivité permanente accompagne la restructuration capitaliste et étatique, il est clair que le regard des ennemis de l’autorité ne peut manquer de se tourner vers des infrastructures comme les antennes-relais et les trappes de fibre optique qui pullulent un peu partout. Tout comme il peut aussi s’intéresser de près aux fournisseurs et installateurs de câbles, pylônes et réseaux, comme les différents Axione (Bouygues), Axians (Vinci), Circet, Constructel, Dorsalys (Eiffage), Nexans, SNEF, Sogetrel ou Scopelec, qui ont d’ailleurs déjà reçu plusieurs visites chaleureuses ces derniers mois.

A présent que notre ami et compagnon se trouve dans une situation des plus critiques, retrouvons-nous vendredi 3 septembre à 18h au squat Le Marbré pour échanger sur cette situation et réfléchir à comment continuer de lutter contre ce monde de données, de barbelés, et d’autorité.

[Le Marbré – 39 rue des Deux Communes – Montreuil (93)]