Archives par mot-clé : Essonne

Paris : mais si, l’art permet de s’évader…

Paris : Un détenu de Fleury-Mérogis s’évade lors d’une sortie
au musée

20Minutes/Le Parisien, 4 février 2024

On dit souvent que l’art permet de s’évader. Un détenu du centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis (Essonne) a profité d’une sortie organisée au musée du Quai Branly-Jacques Chirac à Paris vendredi matin pour prendre la poudre d’escampette, a indiqué samedi le parquet d’Evry. Une enquête de flagrance a été ouverte et un mandat de recherche lancé, a ajouté le parquet.

Ce détenu âgé de 24 ans bénéficiait d’une permission de sortie pour participer à une visite dans ce musée parisien avec d’autres détenus, encadrés par des surveillants pénitentiaires, selon le parquet et une source syndicale.

En fin de matinée, ces agents se sont rendu compte qu’un détenu manquait à l’appel et ont donné l’alerte, selon une source proche du dossier. La police a fouillé le musée et le secteur, en vain. L’homme purgeait une peine de deux ans pour vol aggravé, a précisé cette source.
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Etampes (Essonne) : sabotage nocturne du trafic de marchandises (humaines)

Essonne : trois rames du RER C vandalisées
BFM, 11 décembre 2023 (extrait)

Trois rames du RER C ont été vandalisées en Essonne dans la nuit du mercredi 6 décembre dernier. Des vitres de rames ont notamment été brisées et un tableau de bord incendié.

« Transilien Voyageurs condamne cet acte de vandalisme et a porté plainte », a indiqué la société, qui précise qu’une « enquête de police est en cours ».

Les dégradations ont engendré une perturbation du trafic le jeudi matin sur la ligne du RER C, en raison de « l’indisponibilité des trains », a précisé la SNCF.

Vert-le Petit (Essonne) : sabotage du réseau électrique d’un haut-lieu du nucléaire et de l’armement

« Les câbles sont sous les pylônes »
Indymedia Lille, 25 juillet 2023

A une trentaine de kilomètres au Sud de Paris, en Essonne, sur la commune de Vert-le Petit se trouve le Centre d’étude du Bouchet, un des hauts lieux du nucléaire et de l’armement.

C’est là qu’en 1820 a été créé La Poudrerie Nationale du Bouchet, voilà pourquoi durant la Première Boucherie mondiale 5 000 travailleurs y produisirent des quantités énormes de poudre et de munitions pour les besoins du front.
De 1920 à 1940 sans pour autant interrompre totalement la fabrication de munitions classiques, l’établissement oriente une grande partie de son activité vers de nouvelles technologies liées à l’hypothèse d’un conflit où seraient mis en œuvre des procédés chimiques, biologiques et bactériologiques.
En 1946 une partie du site est affectée au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), qui y installe et fait tourné jusqu’en 1971 la première usine française de traitement de minerai, de raffinage et de conversion de l’uranium, ainsi que de traitement du combustible nucléaire usé. C’est d’ailleurs là que le traitement du combustible irradié de la première pile atomique française, la pile Zoé, permit en novembre 1949 l’extraction des premiers milligrammes de plutonium, étape essentielle pour la fabrication de la bombe atomique française.
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Varennes-Jarcy (Essonne) : les camions-bennes à la ramasse et les syndicats au travail

Île-de-France : la moitié des camions-bennes du Sivom
vandalisés, la collecte des déchets perturbée

Le Parisien, 18 avril 2023

Dans la nuit de dimanche à lundi, 18 camions de ramassage de déchets et 4 véhicules ont été dégradés sur le site du syndicat des déchets à Varennes-Jarcy (Essonne). Les collectes sont réduites en Essonne, dans le Val-de-Marne et en Seine-et-Marne. Un mystérieux incident alors qu’une partie des éboueurs sont en grève depuis plus de deux semaines.

Selon le vice-président du Sivom et maire (LR) de Yerres, Olivier Clodong, 18 camions, deux véhicules légers et deux balayeuses ont été vandalisés. Les pneus des camions ont été crevés et les pare-brise recouverts de peinture. Les fusibles des camions ont été arrachés et des extincteurs ont été vidés dans les habitacles. Le poteau du portail d’entrée sur lequel se trouvait le digicode a également été détruit. Une plainte a été déposée par la direction du Sivom pour ces dégradations. L’enquête a été confiée à la sûreté urbaine du commissariat de police de Montgeron (Essonne). Lire la suite

Et une belle nuit, internet fut coupé dans une bonne partie du pays… [Mis à Jour]

Un des lieux des sabotages, en Ile-de-France ; « Entre 2 heures environ et 5 heures du matin, dans la nuit de mardi à mercredi, des mains expertes et bien renseignées se sont attaquées aux câbles « longue distance » interrégionaux en fibre optique au niveau de quatre « chambres de tirage » isolées, situées à Chalifert (Seine-et-Marne), La Chapelle-la-Reine/Amponville (Seine-et-Marne), Maurecourt (Yvelines) et Génicourt (​Val-d’Oise) ». Source : JDD, 29 avril 2022

« Du sabotage » : plusieurs câbles sectionnés à l’origine d’une importante panne internet en France
L’Obs/Toms Guide, 27 avril 2022 (extraits)

Ce mercredi 27 avril au matin, de nombreux Français se plaignent de difficultés à se connecter. Et pour cause : les incidents se multiplient en France, à la suite d’un important sabotage. Une source officielle étatique confirme à « l’Obs » qu’il s’agit d’un « acte de malveillance coordonné », particulièrement « grave » et « très rare ». Selon l’AFP, plusieurs villes françaises ont connu des coupures de connexion internet dans la nuit après que des câbles ont été sectionnés. Paris, Lyon, Grenoble, Reims, Strasbourg ou encore Lille ont été particulièrement concernées.

Un ingénieur télécom indique que « vers 3h20, 3h40 et 5h20, des câbles de plusieurs réseaux fibre longue distance ont été partiellement sectionnés ». Il s’agirait de câbles « de Paris en direction de Strasbourg, Lyon et Lille ». Ces câbles « longue distance » en fibre optique permettent de relier les grandes villes françaises entre elles, notamment pour les infrastructures, comme les data centers. C’est aussi par ce réseau que circule l’accès internet fixe (ADSL et fibre), et certaines lignes téléphoniques.

Un autre lieu des sabotages (Chalifert, Seine-et-Marne)

La quasi-simultanéité des coupures cette nuit (entre 3h20 et 5h20) semble en effet suspecte, d’autant qu’il ne s’agit pas de simples connexions « grand-publics » qui ont été touchées, mais des liaisons longues distances stratégiques souterraines utilisées pour le peering et le transit IP, reliant Lyon, Strasbourg, Caen, Lille, Rennes à Paris, et sur au moins trois lieux distants de plusieurs centaines de kilomètres.

Par effet domino, ce sont plusieurs opérateurs locaux et (inter)nationaux utilisant ces fourreaux ou louant de la bande passante sur ces liaisons fibres, tels que Sparkle, Alphalink, euNetworks, Colt, F5, Zayo ou Netalis, qui sont concernés par ces évènements. Chez Netalis, la panne a été confirmée dès ce matin via une communication particulièrement transparente, l’opérateur ajoutant que la plaque Bourgogne-Franche-Comté aurait été pendant un moment totalement isolée d’Internet. L’incident majeur a en pratique isolé différents équipements de transmission des dorsales Internet (backbones) d’opérateurs de transport longue distance

Il faut bien comprendre que les emplacements de ces câbles peu accessibles. Il ne s’agit pas d’armoires que l’on peut trouver dans la rue, mais de tuyaux enterrés [sous des trappes, ou le long de voies SNCF, d’autoroutes et de canaux de VNF]. Une source dans les télécoms nous indique que la coupure sur le câble Paris-Lyon se situe au niveau du village de La Chapelle-la-Reine (Seine-et-Marne) et est due à « un acte de vandalisme ». « Le Parisien » évoque lui des câbles sectionnés à Fresnes-en-Woëvre (Meuse), Meaux et Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne), et Le Coudray-Montceaux (Essonne).

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Fleury-Mérogis (Essonne) : saisir la dernière minute pour prendre la poudre d’escampette

Un détenu s’échappe du véhicule de la gendarmerie
devant la prison de Fleury-Mérogis

Le Parisien, 25 avril 2022

Erreur d’inattention ou négligence ? Ce dimanche 24 avril, vers 18 heures, en plein transfert vers la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), un détenu s’est évadé du véhicule de gendarmerie juste avant d’entrer dans l’allée qui mène à la prison. Selon plusieurs sources concordantes, le mis en cause, menotté, est parvenu à soudainement s’extraire de la voiture. Une enquête a été ouverte par le parquet d’Évry-Courcouronnes.

En arrivant sur la route, il s’est fait percuter légèrement par une voiture. Mais cela ne l’a pas empêché de se relever et d’échapper aux deux gendarmes qui le poursuivaient à pied. Avant de rejoindre une autre voiture située sur un parking voisin et de prendre la poudre d’escampette, indique une source proche du dossier.

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Les Ulis (Essonne) : les caméras à coups de masse

Essonne : dégradation de caméras de vidéoprotection
aux Ulis

Le Républicain de l’Essonne, 9 septembre 2021 (extrait)

Ce mercredi 8 septembre au matin, un groupe de 6 à 7 individus ont dégradé quatre caméras de vidéo-surveillance, installées rue du Périgord près de la résidence La Daunière, à l’aide d’un marteau. Les auteurs ont pris la fuite.

La sûreté urbaine de la circonscription de police de Massy-Palaiseau mène les investigations.

Grigny (Essonne) : jamais deux sans trois ?

Grigny : deux véhicules municipaux incendiés dans la nuit
Le Parisien, 19 juin 2021 (extrait)

Leur carcasse a totalement fondu. Dans la nuit de vendredi à samedi, deux voitures utilisées par la mairie de Grigny dans l’Essonne ont été volontairement incendiées sur le parking de la Ferme Neuve. Selon la mairie, « l’un de ces véhicules livre tous les jours les repas dans les écoles et l’autre est dédié aux fêtes et aux cérémonies ». « Ce véhicule sert également à la municipalité pour accomplir sa mission de service public auprès des retraités ou pour des animations en direction des familles » précise la municipalité.

Une enquête a été ouverte suite à ces incendies, « dont l’origine semble manifestement criminelle », note la mairie de Grigny. Dans la nuit de mercredi à jeudi, un autre véhicule municipal avait été incendié, toujours sur le parking de la Ferme Neuve.
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Evry (Essonne) : régler ses comptes avec la préfecture

divers sites, 25 mars 2021

Il est environ 20h mercredi 24 mars lorsqu’un adolescent est aperçu par des caméras de vidéosurveillance en train de dégrader des voitures. Immédiatement envoyés sur place, des agents de la police municipale ont interpellé le jeune homme. Ce mineur isolé de 17 ans qui est déjà connu des services de police, était en train de dégrader des véhicules sur le parking ouvert situé en face de la préfecture et de l’hôtel de police d’Évry.

Au total, neuf voitures ont été endommagées dont sept qui appartiennent à des policiers. Certaines avaient des vitres latérales brisées, d’autres avaient aussi le pare-brise fissuré. Les policiers ont récupéré différents projectiles ayant servi à commettre ces dégradations. Le mis en cause a été placé en garde à vue.
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Étampes (Essonne) : internet ? simple comme un coup de pince

A Etampes, plus d’Internet après des dégradations
Le Républicain de l’Essonne, 3 février 2021

De nombreux Etampois ont eu une bien mauvaise surprise samedi 30 janvier. En effet, un individu, pour des raisons inconnues, a ouvert une armoire de rue du réseau de fibre optique présent dans la ville et a coupé tous les fils se trouvant à l’intérieur.

Plusieurs dizaines d’abonnés reliés directement à cette armoire située boulevard Saint-Michel, se sont donc retrouvés sans Internet, ni télévision, ni téléphone. Dans une période hivernale et de couvre-feu, pas vraiment une bonne nouvelle pour les habitants. Le rétablissement des services à tous les abonnés a été annoncé à ce mercredi 3 février. En début d’après-midi, les services n’avaient pas encore été tous rétablis confirme la mairie d’Etampes.

Etampes (Essonne) : comment décaler la rentrée

Une nouvelle école incendiée à Etampes, la deuxième en
trois jours

actuessonne, 29 décembre 2020 (extrait)

Deux écoles incendiées en trois jours. Voilà ce que vient de vivre la commune d’Etampes (Essonne). Alors que Louise-Michel venait de brûler le soir du 24 décembre, l’école maternelle Jean-de-La-Fontaine a également été victime des flammes ce dimanche 27 décembre.

En ce dernier jour de la semaine, aux alentours de 21 h, les policiers sont réquisitionnés dans le quartier de La Croix-de-Vernailles, où est située l’école en question, en raison d’un arbre tombé sur la chaussée, relate Le Parisien. Ces derniers se rendent compte que l’obstacle a volontairement été placé à cet endroit, puis s’aperçoivent que l’école est en feu. C’est alors qu’une quinzaine de personnes se mettent à les caillasser, dégradant au passage une voiture de police. L’incendie est finalement maîtrisé par les pompiers.
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Étampes (Essonne) : Louise Michel se venge à l’heure de la messe

Étampes : un incendie ravage l’école Louise-Michel
la nuit de Noël

Le Parisien, 25 décembre 2020 (extrait)

Ravagée par les flammes, l’école maternelle Louise-Michel d’Étampes ne pourra pas accueillir ses élèves à la rentrée. L’incendie, qui s’est déclenché jeudi 24 décembre aux alentours de 23h30, a entièrement ravagé le centre de loisirs, plusieurs salles de classe, le dortoir et le restaurant scolaire. Pour l’heure, aucune piste n’est privilégiée. Une enquête confiée au commissariat d’Étampes a été ouverte.

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