Dans la nuit du 6 novembre, nous avons saboté les lignes de trains à grande vitesse et des autres trains à différents endroits de la ville [Rome]. Des tags contre le 41 bis ont été laissés sur place. L’objectif de cette action était de donner une visibilité à la lutte d’Alfredo et des autres prisonniers en grève de la faim.
L’action, bien que couronnée de succès (nous avons vérifié que le lendemain, la circulation ait été fortement ralentie), a été passée sous silence par les médias.
L’État et ses institutions sont responsables des conditions et de la santé d’Alfredo, et ces tentatives d’invisibiliser sa lutte ne nous arrêteront pas : nous continuerons à être aux côtés d’Alfredo parce que sa lutte est notre lutte.
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