Oise : la permanence du député RN, David Magnier, vandalisée
en pleine nuit
Le Parisien/Oise Hebdo, 19 octobre 2024
Il devait l’inaugurer ce samedi 19 octobre. La cérémonie organisée par le député RN de l’Oise David Magnier pour présenter sa permanence à Clermont devait bien avoir lieu à la date et à l’heure prévue. Elle a finalement pu se tenir, mais dans une ambiance particulière. Les locaux situés rue du Général-de-Gaulle ont fait l’objet d’un acte de vandalisme, dans la nuit du vendredi 18 au 19 octobre. Toutes les vitrines, ainsi que la porte vitrée ont été brisées. Semble-t-il au marteau.
Les faits se sont produits à 4h31, très précises, et n’ont duré qu’une minute. C’est à ce moment-là que l’alarme anti intrusion de la permanence de David Magnier, député Rassemblement national (RN) de la 7e circonscription de l’Oise, a retenti. « Elle était sous vidéoprotection. On voit sur les images un individu (vêtu d’un sweat à capuche) avec une barre de fer ou une batte de base-ball briser une à une toutes les vitres. Il est venu tout saccager », déplore le parlementaire.
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Nous vous avons vu. Nous vous avons entendu. Vous êtes désormais partout. Nous savons qui vous êtes. Vous êtes ces 99 % qui protestent contre les excès du capitalisme et les abus de l’État. Vous êtes les 99 % qui exigent des réformes électorales, des alternatives sociales, des subventions économiques et des mesures politiques. Vous êtes les 99 % angoissés de perdre votre futur, de n’être plus capables de vivre comme vous l’avez fait jusqu’à présent : un boulot, un revenu, un crédit pour la maison, une retraite. Vous laisser vivre, au minimum. Faire carrière, au maximum. Voilà ce que vous demandez. Vous ne voulez pas payer la « crise », vous voulez que tout redevienne comme avant. Que personne n’éteigne les écrans qui ont jour après jour asséché votre vie, la privant de tout sens et de toute émotion, la condamnant à la tristesse de la survie. Et tout cela, vous le demandez aux gouvernements et aux banques, afin que la démocratie soit : des gouvernants non plus intéressés au pouvoir mais au bien commun, des banquiers non plus intéressés au profit mais au bonheur des populations. Comme dans les contes, comme dans les films.
Luigi Galleani, Contre la guerre, contre la paix, pour la révolution sociale, ed. Anar’chronique , octobre 2024, 136 pages
