Début mars, sortait un quatre pages détaillant l’histoire de l’anarchiste bisontin Boris, de son attaque en 2020 dans le Jura contre deux antennes-relais de flics et des opérateurs de téléphonie jusqu’à son incarcération à la prison de Nancy, de sa condamnation à quatre ans de taule dont deux fermes et sa lettre publique écrite depuis l’intérieur dans laquelle il défendra son acte, jusqu’à sa longue hospitalisation suite à un incendie de cellule qui l’a laissé tétraplégique. Et enfin le combat pour sortir du service des soins palliatifs de l’hosto où il avait été enterré. Depuis, la procédure de mise sous tutelle du compagnon lancée contre lui par la médecin de ce service a été annulée suite à des recours juridiques, et Boris a passé ces six derniers mois dans un centre de soin et de réadaptation (SSR) qui lui ont permis d’aller un peu mieux.
Dans ce texte, nous lancions alors un appel à soutien financier, afin d’envisager un retour vers la rue et le soleil pour Boris, loin du lit et des appareillages qui le clouent depuis trop longtemps sous les néons d’une chambre d’hôpital, destiné à l’achat d’un fauteuil électrique verticalisateur sur mesure.
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