La nuit du 2 au 3 juin près de l’avenue Jean Rieux à Toulouse, trois véhicules de la ville ont brûlé à l’intérieur d’une enceinte Toulouse Métropole. Un tag a été laissé sur place « ni métro, ni boulot ».
Pourquoi s’attaquer a Toulouse Métropole, une soi-disant instance au service du bien public ?
Parce qu’elle est en premier lieu au service de la marchandisation de la vie. En passant par la troisième ligne de métro jusqu’au projet du Grand Matabiau d’OC, Toulouse Métropole continue surtout le ravage social et écologique de ce système. Un système dans lequel il n’y aura malheureusement pas d’ajustement possible, qu’il soit de droite ou de gauche. Et l’intersyndicale nous a montré encore une fois que la délégation de nos combats nous perdra. Ça sera de notre responsabilité d’oser une autre vie !