Tous les articles par sansnom

Modane (Savoie) : attaque incendiaire contre le chantier du TGV Lyon-Turin | MàJ

{Mise à jour. Un peu plus de quatre mois plus tard, est parue la revendication suivante sur Indymedia Lille le 7 décembre 2023 :
MODANE. SAVOIE. Des incendies ont ravagé cinq engins de chantier du projet Lyon-Turin samedi 29 juillet 2023. STOP AU LYON-TURIN
https://cicles.cisti.org/v/qfe2W4KZzK/ljmWLoyCx58tFxpv]


L’hypothèse criminelle privilégiée après l’incendie
de cinq engins sur un chantier du Lyon-Turin

France 3 , 31 juillet 2023

Cinq engins de chantier ont été dégradés par un incendie volontaire samedi 29 juillet à Modane, en Savoie. Une quinzaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés vers 23 heures sur les lieux du sinistre, un site de la compagnie publique franco-italienne Telt (Tunnel euralpin Lyon Turin) chargée de construire la ligne ferroviaire Lyon-Turin.

Des détonations provenant de l’explosion des pneus des engins ont été entendues. L’origine volontaire de l’incendie ne ferait aucun doute au vu des premiers éléments, a-t-on appris auprès de la compagnie de gendarmerie de Saint-Jean-de-Maurienne, en charge de l’enquête. Quatre points de départ de feu ont été identifiés sur des palettes en bois disposées sous les véhicules incendiés.
Lire la suite

Niort (Deux-Sèvres) : suite des procès contre les manifestants de Sainte-Soline

Le lapin, le moine et le militaire : le procès surréaliste
des manifestants de Sainte-Soline

Mediapart, 28 juillet 2023 (extrait)

Quatre personnes ont été condamnées, jeudi 27 juillet, à des peines de prison à l’issue d’une longue audience sur des faits commis lors de la manifestation contre les mégabassines en mars dernier.

Jeudi 27 juillet avait lieu le premier procès des manifestants de Sainte-Soline – hormis une comparution immédiate le 22 juin à l’issue de laquelle un homme de 42 ans avait été écroué et écopé de dix mois de prison pour avoir jeté des pierres sur les gendarmes. Le procès des organisateurs de cette manifestation interdite par la préfecture aura lieu en septembre . Pour l’heure, ils sont quatre prévenus poursuivis pour des faits commis dans ce champ des Deux-Sèvres où huit mille personnes se sont réunies en mars pour s’opposer à une réserve de substitution creusée au bénéfice de douze agriculteurs irrigants.

Après les mots du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, sur les « écoterroristes » de Sainte-Soline , les voilà devant la justice, du moins ceux que les enquêteurs ont estimé avoir confondus. Et le contraste entre le terme et la réalité est si disproportionné qu’il en est presque parodique. Dans le public de l’audience, toutes les chaises sont occupées. Et quand les portes de la salle d’audience s’ouvrent, les huées et les chants des quelque cinq cents manifestant·es réuni·es dehors inondent la pièce. Le procès va durer près de dix heures et se finir un peu avant minuit

Lire la suite

Barcelone (Espagne) : incendie d’une camionnette de l’industrie de l’armement

A celles et ceux qui allument des incendies et autres individus en affinité : revendication de l’attaque incendiaire contre une camionnette de Indra
(Traduit de l’espagnol de barcelona.indymedia, 27 juillet 2023)

Mardi dernier, le 25 juillet, aux premières heures du jour, nous avons attaqué avec nos matériaux préférés, l’essence et le feu, une camionnette appartenant à l’entreprise Indra près du quartier de Vallcarca [au nord-ouest de Barcelone].

Indra, fabricant d’armes, constitue la partie technique du développement des intérêts géopolitiques et économiques des Etats. De nombreux contrats avec le ministère espagnol de la défense témoignent de son implication dans des projets d’armement militaire, comme son contrôle à 80 % de la société espagnole de missiles Sociedad Española de Misiles, filiale espagnole du premier fabricant européen de missiles.
Lire la suite

Barcelone (Espagne) : incendie solidaire d’un véhicule du géant de l’énergie

Une voiture de Naturgy en moins, en complicité avec Mónica
et Francisco

(Traduit de l’espagnol de barcelona.indymedia, 15 juillet 2023)

Au petit matin du 13 juillet dans le quartier de Horta, un groupe d’insolents a interrompu pendant quelques secondes le temps quotidien pour placer un engin incendiaire contre une voiture de Naturgy [géant espagnol de l’approvisionnement en gaz naturel liquéfié].

Naturgy exploite sans limite les ressources de la terre et utilise avec force les rouages du système capitaliste en laissant derrière elle des fleuves de sang, celui des habitants des villages pillés, des travailleurs – ceux qui protestent et ceux qui ne le font pas – et même des personnes qui lui paient des prix insupportables pour accumuler ses richesses. Pour chaque euro gagné : une voiture en moins ! Il suffit d’un peu de matériel domestique et de s’armer de notre soif de vengeance bien justifiée pour sortir de nuit et causer des dégâts. Lire la suite

Berlin (Allemagne) : attaque solidaire contre la Deutsche Bahn

[La nuit de mercredi à jeudi 27 juillet vers 2h du matin, des inconnus ont brisé plusieurs vitres des bureaux de la Deutsche Bahn [DB, SNCF allemande]  et incendié deux véhicules de l’entreprise dans la rue Caroline-Michaels-Straße du quartier de Mitte, à Berlin. Des crève-pneus ont aussi été laissés sur place pour retarder l’intervention des flics, ainsi qu’un grand tag « Stop Tren Maya » sur les vitres défoncées, du nom de ce projet dévastateur de réseau de chemin de fer touristique lancé en 2018 au Mexique, auquel participe notamment la Deutsche Bahn. Plusieurs sabotages contre cette compagnie se sont déjà produits dans ce sens, notamment à Düsseldorf en mai avec 5 attaques incendiaires contre les câbles de signalisation du chemin de fer, à Hambourg en mars avec les vitres brisées de l’entrée de son siège, ou en mars de l’année dernière à Berlin avec le sabotage incendiaire de câbles ferroviaires aux abords de la gare de Berlin-Wuhlheide.
On trouvera ci-dessous un large extrait du communiqué de revendication, traduit de l’allemand et sorti le jour-même.]

Lire le communiqué

Saint-Herblain (Loire-Atlantique) : le McDo réchappé des émeutes n’y a pas coupé

Un McDonald’s de Saint-Herblain, près de Nantes,
touché par un incendie criminel
France Bleu/Ouest France, 27-28 juillet 2023

Il a été réveillé en pleine nuit, jeudi, peu après 3 h du matin. Le genre de coup de fil qui met immédiatement tous les sens en alerte. « La police m’a prévenu, il y avait un incendie au McDonald’s de la rue de Saint-Nazaire, à Saint-Herblain », raconte Stéphane Lebreton, également gérant des McDonald’s du centre-ville de Nantes, du pont de Cheviré et de Bouaye.

 « Le feu est parti du bureau du directeur et s’est étalé partout dans le restaurant. Tout est détruit à l’intérieur. » Seule consolation : le bâtiment est resté debout. « Il faudra peut-être le démolir parce que les poutres d’acier de la structure ont été déformées par la chaleur », redoute Stéphane Lebreton. Quoi qu’il arrive, le restaurant va fermer ses portes pour de longs mois. « Ils ne nous ont pas eu il y a un mois, et là ça y est », regrette une des salariées, en évoquant les violences du mois dernier. Le fast-food avait en effet été attaqué lors des émeutes urbaines, dans la nuit du 29 au 30 juin, avec notamment des vitres brisées.

Lire la suite

Hélicon (Grèce) : nouveau sabotage d’un mât de mesure éolien

…après le passage des Loups de l’Hélicon…
… et avant

Sabotage symbolique contre le pillage de la nature

Nous avons décidé une fois de plus de faire un geste symbolique et de plier en deux un mât de mesure du vent au sommet du pic Motsara, sur le mont Hélicon. Rappelons que cette installation vient s’ajouter à une série d’environ 50 éoliennes (certaines d’entre elles sont également visibles dans la vidéo).

Contre le pillage de la nature, lutter pour la terre et la liberté

Des loups de l’Hélicon

[Publié sur Indymedia Athènes le 24 juillet 2023 avec une vidéo de l’environnement éolien du mât de mesure (ici), et traduit de l’anglais via Act for freedom]

Munich (Allemagne) : feu au chantier du métro du pôle scientifique

Bien qu’il ait passé les dix dernières années de sa vie à Paris, on oublie souvent du côté de la grise capitale française que le célèbre peintre Vassily Kandinsky avait débuté ses recherches picturales en Allemagne. Et plus précisément à Munich, au pied des Alpes bavaroises. De cette période initiale de l’un des futurs fondateurs de l’art abstrait, on retient souvent la toile Der blaue Reiter (le Cavalier bleu, 1903), qui sera aussi le nom du cercle expressionniste auquel il participa un peu plus tard, et forcément beaucoup moins son tableau titré München-Planegg I (1901), qui représente un paysage de campagne plus classique.

Un siècle plus tard, le village de Planegg où Kandisky traîna son chevalet de jeunesse, situé à une dizaine de kilomètres à l’ouest de Munich, a bien évidemment beaucoup changé. Ses champs et ses arbres se sont désormais mués en immenses bâtiments d’acier et de béton, abritant notamment un parc industriel d’entreprises de biochimie, des centres de recherche (comme l’Institut Max Planck pour l’intelligence biologique), ainsi qu’un campus universitaire idoine. Et c’est d’ailleurs pour que tout ce beau monde cauchemardesque n’ait plus à emprunter quotidiennement un vulgaire train de banlieue, que le vaste chantier de prolongement de la ligne de métro U6 a été lancé à Planegg en février 2023, avec une inauguration du nouveau tronçon de plus d’un kilomètre prévue pour 2027. Une ligne de métro qui reliera ainsi directement les deux grands pôles scientifiques de la ville, celui de Garching notamment dédié à la physique (qui abrite un réacteur nucléaire à neutrons destiné à la recherche) implanté au nord de la ville, à celui de Martinsried installé à Planegg, plus à l’ouest et consacré à la biologie. Soit une infrastructure de transport-clé « pour tracer la voie de l’avenir vers la Mecque de la recherche à Munich, et de l’ensemble du Land de haute technologie de Bavière », comme l’a déclaré son ministre régional des Sciences lors de la pose de la première pierre d’un chantier estimé à 212 millions d’euros.

Lire la suite

Vert-le Petit (Essonne) : sabotage du réseau électrique d’un haut-lieu du nucléaire et de l’armement

« Les câbles sont sous les pylônes »
Indymedia Lille, 25 juillet 2023

A une trentaine de kilomètres au Sud de Paris, en Essonne, sur la commune de Vert-le Petit se trouve le Centre d’étude du Bouchet, un des hauts lieux du nucléaire et de l’armement.

C’est là qu’en 1820 a été créé La Poudrerie Nationale du Bouchet, voilà pourquoi durant la Première Boucherie mondiale 5 000 travailleurs y produisirent des quantités énormes de poudre et de munitions pour les besoins du front.
De 1920 à 1940 sans pour autant interrompre totalement la fabrication de munitions classiques, l’établissement oriente une grande partie de son activité vers de nouvelles technologies liées à l’hypothèse d’un conflit où seraient mis en œuvre des procédés chimiques, biologiques et bactériologiques.
En 1946 une partie du site est affectée au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), qui y installe et fait tourné jusqu’en 1971 la première usine française de traitement de minerai, de raffinage et de conversion de l’uranium, ainsi que de traitement du combustible nucléaire usé. C’est d’ailleurs là que le traitement du combustible irradié de la première pile atomique française, la pile Zoé, permit en novembre 1949 l’extraction des premiers milligrammes de plutonium, étape essentielle pour la fabrication de la bombe atomique française.
Lire la suite

Montargis (Loiret) : émeute et sabotage font bon ménage

Des infrastructures détruites lors des émeutes,
puis des actes de sabotage sur des armoires [de fibre]
La République du Centre, 26 juillet 2023 (extrait)

Des centaines d’habitants des quartiers de la Sirène et de la Chaussée sont privés d’Internet et de téléphone depuis des semaines maintenant, à cause des émeutes mais aussi de sabotages sur les armoires du réseau fibre.

C’est un type de message récurrent, ces derniers jours, sur les réseaux sociaux, sur des groupes ayant trait à la vie quotidienne à Montargis : nombreux sont les habitants du quartier de la Sirène ou de celui de la Chaussée à souligner qu’ils n’ont plus de réseau Internet et à s’interroger sur la fin potentielle de la panne, liée pour beaucoup aux violentes émeutes qui se sont déroulées les nuits des 29 et 30 juin.

Des matériels ont bien été endommagés pendant ces deux nuits de violences urbaines, dans le quartier de la Sirène notamment et en centre-ville, mais ce n’est pas le seul problème. Selon les services d’Orange, opérateur qui a créé le réseau fibre à Montargis et qui le gère, après les 29 et 30 juin, cinq armoires ont été purement et simplement sabotées : le week-end du 1 er juillet, « rue Villa-Renée-de-France, rue Émile-Moreau et rue Vauban, soit 553 abonnés sans téléphonie à la maison » et le 14 juillet, allée de la résidence de la Roseraie, dans le quartier de la Chaussée, soit 425 autres abonnés. Lire la suite

Brême (Allemagne) : cramer les bornes de recharge électrique

Les coûts de la transition énergétique … et les bornes
de recharge électrique au feu

L’exploitation de nouvelles sources de matières premières, de mines et d’usines pour mettre en œuvre la prétendue transition énergétique et le passage au transport individuel électrifié bat son plein : Giga-usines exploitant les nappes phréatiques ; nouvelles mines de lithium au Portugal ; nickel et or provenant de terres indigènes volées en Indonésie ; exploitation de gisements de vanadium en Norvège et de terres rares sur le territoire des Samí en Suède ; cobalt provenant du Congo . … l’exploitation industrielle du cuivre, du cobalt et du nickel au fond des mers ; l’approvisionnement en hydrogène à partir d’îles artificielles en mer du Nord ou via des stratégies d’importation néocoloniales de Namibie et du Chili … les coûts de cette transition énergétique et de la poursuite de l’exploitation en toute bonne conscience sont désormais connus de tous. La mutation vers un capitalisme vert s’accompagne inévitablement d’une aggravation de l’exploitation de l’humain et de la nature !

Il existe une infinité de cibles, de moyens et de méthodes pour attaquer, retarder, saboter ce processus. Lire la suite

Brochure : Une autre fin de ce monde est possible

[Reçu par mail, 20 juillet 2023]

Cliquer sur l’image pour ouvrir le PDF

Un autre fin de ce monde est possible. La solidarité avec les peuples autochtones et le blocage des infrastructures extractives au Canada, juillet 2023 (traduit de l’anglais, 2019), 36p. A5

« Renverser l’ensemble de l’économie coloniale est une tâche de très longue haleine, mais à moyen terme, nous voulons développer une capacité à bloquer et à détruire les infrastructures et les développements industriels, de la construction de pipelines aux opérations d’exploitation minière et de construction de barrages, en passant par tous les projets d’extraction auxquels les populations autochtones résistent. »


Sommaire

Un autre fin de ce monde est possible
Annexe 1: Infrastructures de transport au Canada
Annexe 2: Goulets d’étranglement des infrastructures vulnérables
Annexe 3: Blocage Wildfire pendant la crise d’Oka
Annexe 4: Blocages pendant la journée d’action Idle No More
Annexe 5: Actions anarchistes de solidarité dans le sud de l’Ontario
Annexe 6: Une sélection de communiqués repris de warriorup.noblogs.org
Annexe 7: Les 20 pires goulets d’étranglements du trafic

Hambourg (Allemagne) : les précieux câbles qui courent le long des voies

Mardi 18 juillet vers 3h30 du matin à Elmshorn (20 km au  nord de Hambourg), deux gazebos ont été volontairement incendiés à proximité immédiate des voies ferrées. L’incendie a également endommagé des câbles situés le long des rails.

Vers 6h50, l’intervention des pompiers s’est terminée, et le site de l’incendie a été gelé par la police scientifique. Le total des dégâts est estimé à 30 000 euros, tandis que la destruction du câble dirigeant le système ferroviaire a provoqué une perturbation généralisée du trafic des trains non seulement au niveau régional, mais également longue distance entre Hambourg et Kiel jusque dans l’après-midi.

Ce qui a frappé les enquêteurs, est le fait que ces gazebos aient été incendiés dans deux jardins familiaux différents, à la fois à l’est et à l’ouest des voies (soit des deux côtés). A présent, la police criminelle d’Elmshorn est à la recherche de témoins dans une enquête ouverte pour « incendie criminel ».

[Synthèse de la presse allemande (Tag24/Kieler Nachrichten), 19 juillet 2023]

Riddes (Suisse) : un hectare de vignes au glyphosate saboté dans la nuit

Vigne vandalisée à Riddes: « Il faudra 4 ans pour retrouver
la pleine récolte »
Le Nouvelliste, 18 juillet 2023 (extrait)

Fils cisaillés et ceps coupés. A Riddes [dans le Valais suisse], Zian Monnet a retrouvé un hectare de sa vigne vandalisée. Des tags revendicateurs, mais sans signatures, accompagnent le délit, dont un ciblait directement la Batoue, sa société établie à Isérables, et tracé sur la route (« Le glyphosate tue La Batoue killer »).

Arrivé ce lundi sur sa parcelle, à Riddes, il remarque d’abord une ligne de vigne couchée. «J’ai d’abord cru qu’on l’avait touchée sans faire exprès», raconte-t-il. Mais en revenant sur ses pas, il aperçoit deux messages tagués contre la façade du bâtiment de la centrale des Forces motrices de Mauvoisin situé à côté de sa vigne. « Le glyphosate tue » et « Contre l’agro-industrie et la dévastation des Alpes ». Lire la suite

Belfort (Bourgogne Franche-Comté) : deux nouvelles voitures Optymo en fumée

Une nouvelle voiture en libre-service Optymo incendiée
Est Républicain, 20 juillet 2023 (extrait)

Un feu de véhicule a eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi vers 2h, avenue du Château-d’Eau, dans le quartier du Mont, à Belfort.
La voiture incendiée, une Peugeot 208, issue du service en libre-service d’Optymo , était stationnée le long d’un trottoir. La voiture a été entièrement calcinée.

Ce n’est pas la première fois qu’un véhicule en libre-service Optymo est détruit par les flammes ces derniers mois, et même ces dernières années.


Une voiture Optymo brûlée
Est Républicain, 13 juillet 2023 (extrait)

Un feu de véhicule a eu lieu à Belfort dans la nuit de mercredi à jeudi, rue Jacqueline-Auriol, au Techn’hom. Aux alentours d’une heure du matin, les pompiers sont intervenus pour éteindre à l’aide d’une lance la voiture appartenant à Optymo, le gestionnaire du réseau de bus à Belfort. Pour rappel, en début d’année 2022, trois véhicules Optymo avaient été incendiés à Belfort en moins de deux mois.