[La nuit de mercredi à jeudi 27 juillet vers 2h du matin, des inconnus ont brisé plusieurs vitres des bureaux de la Deutsche Bahn [DB, SNCF allemande] et incendié deux véhicules de l’entreprise dans la rue Caroline-Michaels-Straße du quartier de Mitte, à Berlin. Des crève-pneus ont aussi été laissés sur place pour retarder l’intervention des flics, ainsi qu’un grand tag « Stop Tren Maya » sur les vitres défoncées, du nom de ce projet dévastateur de réseau de chemin de fer touristique lancé en 2018 au Mexique, auquel participe notamment la Deutsche Bahn. Plusieurs sabotages contre cette compagnie se sont déjà produits dans ce sens, notamment à Düsseldorf en mai avec 5 attaques incendiaires contre les câbles de signalisation du chemin de fer, à Hambourg en mars avec les vitres brisées de l’entrée de son siège, ou en mars de l’année dernière à Berlin avec le sabotage incendiaire de câbles ferroviaires aux abords de la gare de Berlin-Wuhlheide.
On trouvera ci-dessous un large extrait du communiqué de revendication, traduit de l’allemand et sorti le jour-même.]
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Munich (Allemagne) : feu au chantier du métro du pôle scientifique
Bien qu’il ait passé les dix dernières années de sa vie à Paris, on oublie souvent du côté de la grise capitale française que le célèbre peintre Vassily Kandinsky avait débuté ses recherches picturales en Allemagne. Et plus précisément à Munich, au pied des Alpes bavaroises. De cette période initiale de l’un des futurs fondateurs de l’art abstrait, on retient souvent la toile Der blaue Reiter (le Cavalier bleu, 1903), qui sera aussi le nom du cercle expressionniste auquel il participa un peu plus tard, et forcément beaucoup moins son tableau titré München-Planegg I (1901), qui représente un paysage de campagne plus classique.
Un siècle plus tard, le village de Planegg où Kandisky traîna son chevalet de jeunesse, situé à une dizaine de kilomètres à l’ouest de Munich, a bien évidemment beaucoup changé. Ses champs et ses arbres se sont désormais mués en immenses bâtiments d’acier et de béton, abritant notamment un parc industriel d’entreprises de biochimie, des centres de recherche (comme l’Institut Max Planck pour l’intelligence biologique), ainsi qu’un campus universitaire idoine. Et c’est d’ailleurs pour que tout ce beau monde cauchemardesque n’ait plus à emprunter quotidiennement un vulgaire train de banlieue, que le vaste chantier de prolongement de la ligne de métro U6 a été lancé à Planegg en février 2023, avec une inauguration du nouveau tronçon de plus d’un kilomètre prévue pour 2027. Une ligne de métro qui reliera ainsi directement les deux grands pôles scientifiques de la ville, celui de Garching notamment dédié à la physique (qui abrite un réacteur nucléaire à neutrons destiné à la recherche) implanté au nord de la ville, à celui de Martinsried installé à Planegg, plus à l’ouest et consacré à la biologie. Soit une infrastructure de transport-clé « pour tracer la voie de l’avenir vers la Mecque de la recherche à Munich, et de l’ensemble du Land de haute technologie de Bavière », comme l’a déclaré son ministre régional des Sciences lors de la pose de la première pierre d’un chantier estimé à 212 millions d’euros.
Brême (Allemagne) : cramer les bornes de recharge électrique
Les coûts de la transition énergétique … et les bornes
de recharge électrique au feu
L’exploitation de nouvelles sources de matières premières, de mines et d’usines pour mettre en œuvre la prétendue transition énergétique et le passage au transport individuel électrifié bat son plein : Giga-usines exploitant les nappes phréatiques ; nouvelles mines de lithium au Portugal ; nickel et or provenant de terres indigènes volées en Indonésie ; exploitation de gisements de vanadium en Norvège et de terres rares sur le territoire des Samí en Suède ; cobalt provenant du Congo . … l’exploitation industrielle du cuivre, du cobalt et du nickel au fond des mers ; l’approvisionnement en hydrogène à partir d’îles artificielles en mer du Nord ou via des stratégies d’importation néocoloniales de Namibie et du Chili … les coûts de cette transition énergétique et de la poursuite de l’exploitation en toute bonne conscience sont désormais connus de tous. La mutation vers un capitalisme vert s’accompagne inévitablement d’une aggravation de l’exploitation de l’humain et de la nature !
Il existe une infinité de cibles, de moyens et de méthodes pour attaquer, retarder, saboter ce processus. Lire la suite
Hambourg (Allemagne) : les précieux câbles qui courent le long des voies
Mardi 18 juillet vers 3h30 du matin à Elmshorn (20 km au nord de Hambourg), deux gazebos ont été volontairement incendiés à proximité immédiate des voies ferrées. L’incendie a également endommagé des câbles situés le long des rails.
Vers 6h50, l’intervention des pompiers s’est terminée, et le site de l’incendie a été gelé par la police scientifique. Le total des dégâts est estimé à 30 000 euros, tandis que la destruction du câble dirigeant le système ferroviaire a provoqué une perturbation généralisée du trafic des trains non seulement au niveau régional, mais également longue distance entre Hambourg et Kiel jusque dans l’après-midi.
Ce qui a frappé les enquêteurs, est le fait que ces gazebos aient été incendiés dans deux jardins familiaux différents, à la fois à l’est et à l’ouest des voies (soit des deux côtés). A présent, la police criminelle d’Elmshorn est à la recherche de témoins dans une enquête ouverte pour « incendie criminel ».
[Synthèse de la presse allemande (Tag24/Kieler Nachrichten), 19 juillet 2023]
Munich (Allemagne) : une antenne-relais de plus en moins
Dans la nuit de samedi à dimanche 16 juillet, vers 2h20 du matin, une antenne-relais a été incendiée dans le parc Forstenrieder, près de la ville de Pullach (banlieue sud de Munich). C’est en effet à cette heure-là que l’opérateur de téléphonie mobile a perdu tout signal, avant d’envoyer une équipe sur place le lendemain vers 13h (un dimanche), qui n’a pu que constater que son installation avait été cramée dans la nuit avant que le feu ne s’éteigne tout seul, sans toutefois ravager entièrement le pylône.
De son côté, les autorités ne présument évidemment pas d’un défaut technique – elle est désormais éculée, la fameuse thèse policière des auto-combustions d’antennes-relais –, mais plutôt d’une « infraction touchant à la Sûreté de l’État », les conduisant à confier l’enquête au Commissariat K43 (« criminalité politique d’extrême-gauche »). Et ce, d’autant plus qu’une autre antenne de téléphonie était partie en fumée début juin à l’est de la ville, et qu’une intensification d’attaques semble se dérouler à Munich depuis quelques mois, allant de la fibre optique aux câbles de données le long des ponts, en passant par l’incendie de voitures électriques (de la municipalité, ou pas) et de voitures de luxe (deux BMW X5 en fumée chez un concessionnaire de la Landsberger Straße le 10 juillet, dans le cadre de la campagne Switch off the system).
[Synthèse de la presse allemande (Tageszeitung), 17 juillet 2023]
Berlin (Allemagne) : les voitures de matons sous le feu
Dans la nuit de vendredi à samedi 1er juillet à Berlin, vers 2h30 du matin, plusieurs voitures sont à nouveau parties en fumée devant la prison de Moabit (JVA). Si cette fois se sont deux voitures et une camionnette qui ont volontairement flambé dans la rue Alt-Moabit, la police berlinoise déplore le fait qu’ « à intervalles irréguliers, des voitures garées en face de la prison de Moabit prennent feu, dont plusieurs appartenant à des employés de l’établissement pénitentiaire ».
[Traduit de l’allemand du Berliner-Zeitung, 30 juin 2023]
Bassin minier rhénan (Allemagne) : sabotage coordonné de trois mines de charbon
Chaleureux sabotage de chemins de câbles : couper le jus à RWE !
Traduit de l’allemand de de.indymedia, 13 juillet 2023
Dans la nuit du 5 au 6 juillet, nous avons mené des actes de sabotage simultanés avec des engins incendiaires sur trois chemins de câbles dans la zone d’extraction de lignite rhénane. Les câbles attaqués alimentent, entre autres, les silos à charbon des mines à ciel ouvert de Hambach et de Garzweiler, ainsi que le silo à charbon de la mine Fortuna. L’action avait pour but d’interrompre l’approvisionnement en charbon des centrales électriques de Neurath et de Niederaußem et, si nécessaire, de forcer leur arrêt. Malheureusement, selon les articles de presse, nous n’avons pas utilisé assez d’accélérateurs de feu pour causer de sérieux dégâts. Nous en aurons plus la prochaine fois ! Néanmoins, cette action montre que les entreprises d’énergie fossile comme RWE sont vulnérables. Et qui sait, peut-être avons-nous indirectement contribué à l’incendie du transformateur de la mine de Hambach le 11 juillet, qui a paralysé toute la mine.
Les silos à charbon sont notamment une infrastructure très importante pour l’approvisionnement des centrales électriques. La plupart des câbles électriques entre les sous-stations et les silos à charbon sont à l’air libre et facilement accessibles. Nous joignons ci-dessous des cartes montrant en rouge les tracés des câbles qui alimentent ces silos à charbon.
Munich (Allemagne) : cramer les câbles de données le long du pont
A Munich la nuit de vendredi à samedi 8 juillet, vers 4h du matin, deux pelleteuses ont été incendiées sur un chantier à côté du pont Herzog-Heinrich, qui traverse à la fois la rivière Isar et le canal. Et on peut même dire que les engins de chantier enflammés au niveau de leur moteur étaient admirablement positionnés, puisque c’est sous ce pont que passent des câbles de données d’entreprises de télécommunications, qui ont cramé à leur tour, en même temps que la sous-structure du pont. Un expert doit désormais examiner l’ouvrage pour décider si et quand ce dernier pourra être rouvert à la circulation.
Selon la police, les dégâts et l’emplacement plaident pour un incendie volontaire. Notamment parce que le pont Herzog Heinrich ne se trouve qu’à quelques mètres au sud du pont Leinthaler, celui-là même qui avait subi un incendie criminel en décembre 2019. Cette attaque avait alors détruit deux gros câbles à fibre optique de Vodafone situés le long de deux ponts, qui alimentaient les grosses entreprises comme BMW, mais aussi la centrale thermique-nord des services municipaux de Munich. Une attaque solidaire qui lançait alors cette proposition : « Coupons le jus des tueurs du climat ».
Si l’attaque de 2019 avait causé plusieurs centaines de milliers d’euros de dégâts, c’est le même montant qui est à présent avancé par la presse locale concernant l’incendie des câbles de samedi dernier (pelleteuses incluses).
Berlin (Allemagne) : On conspire – mise à jour sur l’enquête en cours
[Traduit de l’allemand de Kontrapolis par le Counter-Surveillance Resource Center, 27 juin 2023]
Introduction
Avec ce texte, on veut donner un aperçu de l’enquête en cours contre deux camarades qui ont été arrêté·e·s le 16 février 2023 à Adlershof, Berlin. On pense que les expériences individuelles peuvent être d’une utilité collective lorsqu’on trouve les bons moyens de les partager. La répression ne doit surtout pas être subie individuellement comme une fatalité, mais doit plutôt être une opportunité de nous rassembler dans un moment d’offensive. Ce texte devrait être un pas de plus dans cette direction.
Qu’est ce qui s’est passé ?
Dans la nuit du 15 au 16 février, l’hélicoptère de la police fédérale (« Pirol »[1].) effectue un de ses vols de surveillance de routine. À 0h26, l’équipe, à l’aide de caméras thermiques, identifie deux personnes sur les voies de chemin-de-fer au sud de S-Bahnhof Adlershof[2]. Ils alertent le centre de contrôle d’Ostbahnhof[3], qui envoie alors deux voitures de patrouille et une voiture civile (toutes de la police fédérale, puisque le chemin de fer relève de la juridiction fédérale) à Adlershof. Lire la suite
Munich (Allemagne) : une nouvelle antenne-relais part en flammes
Dans la nuit du 9 juin vers 3h, une antenne-relais est partie en fumée dans le quartier de Waldtrudering, à l’est de Munich. Cette antenne de l’entreprise Telekom, qui mesure environ 30 mètres de haut, a été embrasée comme une torche, avec des flammes visibles à des kilomètres à la ronde. Les dégâts matériels sont estimés à environ un million d’euros.
C’est la Sécurité de l’État (Staatsschutz) qui a été chargée des investigations, et en l’occurrence le commissariat K43, responsable de la criminalité organisée de gauche. Ces dernières années, des inconnus ont incendié des antennes relais et des infrastructures de fibre optique à Munich et dans les environs à plusieurs reprises. Dommage total : environ quatre millions d’euros.
[Synthèse de la presse allemande, 9 juin 2023]
Munich (Allemagne) : le camion-TV n’a pas passé la nuit
Dans la nuit de dimanche à lundi 26 juin vers 3h40, un camion de transmission par satellite de la chaîne de télévision ZDF a été incendié dans le quartier de Glockenbach à Munich. La précieuse cargaison technologique du camion spécial est certainement inutilisable, et les dégâts sont énormes : plusieurs centaines de milliers d’euros.
Ce camion-TV incendié faisait partie d’un centre de production mobile, qui avait diffusé dimanche matin en direct de l’église Saint-Maximilien la messe du pasteur de renommée nationale Rainer Maria Schiessler. Après la retransmission, ce véhicule de diffusion par satellite devrait rester devant l’église Saint-Maximilien jusqu’à lundi… sauf qu’il n’a pas passé la nuit.
Les investigations sont menées par le Commissariat n°13 (incendie criminel), qui n’ignore certainement pas que les voies du seigneur sont impénétrables.
[Synthèse de la presse allemande (Bild), 28 juin 2023]
Berlin (Allemagne) : attaque contre la centrale électrique à charbon « Reuter »
[Lundi 12 juin au petit matin, saisissant l’occasion d’un chantier ouvert dans la zone industrielle de Berlin le long de la rivière Spree, le groupe Volcan Lützerath a incendié une douzaine de gros câbles à haute-tension enterrés et désormais mis à nu… câbles qui alimentaient la centrale électrique à charbon Reuter.
On se souvient que les premières attaques de groupes Volcan contre des infrastructures électriques ou de fibre optique (en prenant le nom de volcans islandais comme « Le grondement du Eyjafjallajökull », « Hekla » ou « Grimsvötn ») remontent à mai 2011 à la gare de Berlin-Ostkreuz, provoquant une perturbation de la circulation des trains pendant plusieurs jours, puis en mai 2013 contre un conduit de câbles à Berlin-Zehlendorf, perturbant encore une fois le trafic ferroviaire. En mars 2018, un groupe Volcan avait également incendié sous le pont Mörschbrücke (à Berlin-Charlottenburg) deux grosses liaisons de fibres optiques et de câbles électriques appartenant à différents gros opérateurs civils et militaires, avec des dégâts conséquents. Enfin, le 15 avril 2020 à Berlin-Charlottenburg, un groupe Volcan avait cramé les gros câbles de communication qui alimentaient notamment le «Heinrich Herz Institute », l’institut alors chargé par l’État de travailler sur une application pour smartphone de type pass sanitaire dans le contexte du Covid-19. Ou encore le 26 mai 2021 à Berlin-Grünheide, un groupe Volcan avait incendié avec succès six câbles électriques à haute tension qui alimentaient le chantier de construction de la Giga-Factory de l’entreprise Tesla.
Nous livrons ci-dessous la traduction de l’allemand du très long communiqué de revendication de l’attaque du Vulkangruppe Lützerath contre la centrale électrique à charbon berlinoise, paru le 13 juin sur Indymedia allemagne.]
Attaque contre une centrale électrique au charbon à Berlin
Le sabotage comme grève – la vie comme sabotage
Notre action est un salut puissant à l’appui des luttes indigènes en Colombie contre l’exploitation du charbon et un sabotage de la politique climatique et industrielle allemande. Contre l’expulsion de Lützerath, cette action est une forme de facture différée. Et une manifestation de solidarité avec « Dernière Génération ».
Munich (Allemagne) : cramer la fibre optique en amont
26 tourets de câbles pour la fibre optique et leurs gaines ont été détruits sur un chantier dans la nuit du 26 mai, dans le quartier de Harlaching au sud de Munich.
Les flammes se sont étendues sur 40 mètres de long, et les travaux d’extinction des pompiers ont duré jusqu’au petit matin, tandis que les dégâts sont estimés à plus de 200 000 euros.
Selon la formule consacrée, la police munichoise « n’exclut pas la possibilité d’un incendie volontaire, éventuellement motivé par des raisons politiques », et a lancé un appel à témoins. En juillet 2022, 25 tourets de câbles en fibre optique et plusieurs camions d’une entreprise de BTP étaient déjà partis en fumée dans un autre quartier de la ville.
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Munich (Allemagne) : les services municipaux perdent leurs caisses
La nuit du 19 mai vers 2h30 du matin, deux voitures électriques des services municipaux de la ville de Munich ont été incendiées sur leur parking dans le quartier de Sendling, alors qu’elles étaient reliées à leur borne de recharge. Il s’agit de deux E-Golfs, qui ont subi des dommages totaux d’environ 100 000 euros.
Selon la police, les voitures de la ville ont probablement été incendiées de façon volontaire, d’autant plus qu’un tag de deux mètres sur un se trouvait à proximité de l’incendie, avec l’inscription « No HKW » (la centrale thermique municipale d’incinération des déchets), ce qui laisse supposer dans sa novlangue que « l’incendie volontaire est motivé politiquement en relevant du phénomène de l’activisme climatique ».
[Synthèse de la presse allemande (Abendzeitung), 21 mai 2023]
Hambourg (Allemagne) : un tracker trouvé sur le scooter d’une compagnonne
Traduit de l’allemand de de.indymedia, 11 mai 2023
Ces derniers jours, un « AirTag » de la société Apple a été trouvé dans le siège d’un scooter. Le scooter est utilisé par une compagnonne anarchiste de Hambourg, qui a déjà fait l’objet de mesures de surveillance et d’enquête par le passé.
Le petit appareil plat, d’un diamètre d’environ 3 centimètres et d’une hauteur de moins d’un centimètre, a été inséré dans le rembourrage du siège du scooter par une fente apparemment faite avec un cutter ou un outil similaire. On peut supposer qu’un service d’enquête ou de protection de la constitution [anti-terrorisme allemand] est responsable du placement de ce tracker.
Apple commercialise à l’origine les AirTags dans le but de localiser des objets tels qu’un trousseau de clés, un portefeuille ou autre objet « égaré » dans l’environnement immédiat de son propre smartphone. Il fonctionne via Bluetooth et a tout d’abord une portée immédiate et maximale d’environ 100 mètres à l’extérieur.
Il ne devient un instrument permettant de suivre les mouvements d’une autre personne qu’avec la fonction « Find My » des iPhones d’Apple.
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