La Talaudière (Loire) : blocage contre les parloirs avec plexi

Loire : weekend de Pâques tendu à la prison de La Talaudière
France bleu, 10 avril 2021 (extrait)

Le weekend de Pâques a été particulièrement tendu à la prison de La Talaudière, dans la Loire. Samedi vers 17 heures, 43 détenus ont refusé de réintégrer leurs cellules après la promenade. Parmi leurs revendications, la suppression des plexiglass au parloir, installés à cause de l’épidémie de Covid-19, mais que certains détenus et leurs familles vivent mal. Certains ont aussi demandé l’installation de consoles Xbox dans les cellules.

Le blocage a duré plus de trois heures, jusqu’à l’intervention des Equipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS), des surveillants pénitentiaires chargés du maintien de l’ordre en prison. Les détenus sont finalement remontés en cellules vers 21 heures. Les deux hommes considérés comme les meneurs de ce mouvement de protestation ont été transférés, et les membres de ERIS sont restés à la prison tout le weekend, lundi inclus.

Limoges (Haute-Vienne) : les caméras se ramassent à la pelle [mis à jour]

La ville de Limoges porte plainte après la destruction de six caméras de surveillance
France bleu, 8 avril 2021 (extrait)

Des outils de vidéoprotection ont été les cibles de dégradations le week-end dernier à Limoges. Entre le 3 et le 5 avril, un ou plusieurs individus ont détruits six caméras dans le quartier de Beaubreuil, à Limoges. « Toutes les pistes sont ouvertes » nous fait-on savoir du côté du parquet de Limoges, qui précise que le ou les auteurs n’ont pas été retrouvés.

Ce n’est pas la première fois que des caméras sont détruites dans le quartier de Beaubreuil à Limoges. En septembre dernier, des impacts de balle avaient été constatés sur une caméra située sur un lampadaire haut de six mètres, seulement quelques jours après des saisies de stupéfiants. « L’an dernier, nous avons eu 9 caméras de détruites dans ce quartier » rappelle Cyril Sarlin, le directeur de la sécurité, prévention et salubrité à la villede Limoges. Cela coûte néanmoins à la collectivité, environ 5 000 euros par outil détruit.
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Vienne (Isère) : trois ans avec sursis pour le sabotage de quatre antennes

Condamné pour avoir incendié des antennes-relais, il invoque la « solitude » du confinement
France bleu (+20Minutes/Le Parisien), 9 avril 2021

Après des mois d’enquête, les hommes de la section de recherches de Grenoble (Isère)​ ont mis la main sur un retraité, accusé d’avoir incendié plusieurs antennes relais ces derniers mois, a indiqué ce vendredi le parquet de Vienne L’homme, âgé de 62 ans et sans antécédent judiciaire, a été arrêté mercredi à La Chapelle-de-Surieu. Pour détruire les installations de téléphonie mobile, il utilisait le même procédé. Le suspect mettait le feu aux pylônes en brûlant à leur pied des pneus, ce qui avait pour conséquence de faire fondre les câbles et de rendre l’antenne inopérante. Le retraité, qui avait ainsi détruit par le feu de quatre antennes situées à Hauterives, Pact, Assieu et à la Chapelle-de-Surieu avait partiellement avoué [reconnu] les faits au cours de sa garde à vue.
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Italie/CEDH : l’obligation vaccinale au temps du covid

[Sur le fond, rappelons simplement que les vaccins actuels contre le covid (comme la plupart des autres vaccins, qui sont dits « non-stérilisants ») n’empêchent ni les personnes vaccinées d’être porteuses du virus ni d’être contagieuses.
Sans même évoquer les effets secondaires éventuels à court ou long terme de ces mixtures génétiques qui font de nous des rats de laboratoire géant, leur objectif principal tel qu’elles ont été conçues
n’est pas d’empêcher le virus de toucher l’organisme des vaccinés ou que ces derniers ne le fassent circuler à d’autres, mais uniquement de jouer sur les symptômes déclenchés (la maladie), en limitant le risque de formes graves. Et si elles diminuent également en passant la probabilité d’être infecté sans la supprimer pour autant, ce n’est de toute façon que sur un temps limité, et selon les individus et les variants, à tel point qu’on parle déjà de future troisième dose à injecter ou de la nécessité de piqûres de rappel régulières. Enfin, concernant les vaccinés qui continuent de chopper le covid, ils demeurent bien sûr contaminants, avec une contagiosité variable selon l’abaissement de la charge virale (de 3 à 5 fois moins en moyenne d’après leurs études, mais là aussi sans certitude concernant la durée de cette baisse).
Ce qui signifie dans le cas italien ci-dessous, que la partie vaccinée du personnel hospitalier peut comme son homologue qui refusait obstinément de l’être (ce qui est déjà en soi une critique et un affront à la propagande institutionnelle en vigueur),
toujours transmettre le virus aux patients avec lesquels elle est en contact. Mais on sait depuis longtemps que tout rapport de masse ne s’embarrasse ni des individus ni de leur libre arbitre, mais seulement de gestion des grands nombres, qui plus est dans une ignoble logique de risques/bénéfices globale et statistique.]

L’Italie va bien rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 pour les soignants
LCI, 6 avril 2021 (extrait)

Dans un décret publié ce jeudi 1er avril, le gouvernement italien a rendu obligatoire la vaccination contre le Covid pour tous les travailleurs des établissements de santé dans le secteur public ou privé. Et même les pharmaciens. En cas de refus, des sanctions sont prévues. Et pas des moindres. Le décret précise que s’il s’oppose à se faire [vacciner], un salarié risque d’être suspendu au moins jusqu’à la fin de l’année 2021. Il lui est alors interdit d’exercer sa profession en lien avec le public. Le décret précise que l’employeur peut alors l’affecter à d’autres postes « qui n’impliquent pas de risque de propagation du coronavirus ». Lorsque cette solution est impossible, alors le soignant est suspendu, sans aucune rémunération. Il ne toucherait donc plus de salaire jusqu’au 31 décembre. Les sanctions seront levées à partir du moment où l’employé acceptera de se faire vacciner. Évidemment, « en cas de danger avéré pour la santé », la vaccination sera reportée ou rendue facultative.
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Bourgoin-Jallieu (Isère) : visite nocturne chez les pandores

Isère : La caserne de gendarmerie de Bourgoin-Jallieu
cambriolée en pleine nuit

un site policier, 7 avril 2021

Des individus ont cambriolé la caserne de gendarmerie de Bourgoin-Jallieu (Isère) au cours du week-end, en pleine nuit.
Ces derniers sont repartis avec du matériel professionnel appartenant aux militaires, notamment des brassards, des gilets pare-balles ou encore des gyrophares.

L’intrusion a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche. Les gendarmes ont découvert ce qui s’était produit au retour d’une patrouille raconte Le Dauphiné. En rejoignant leur base, la caserne de la gendarmerie départementale située rue de l’Etissey, vers 2 heures, les militaires ont découvert que le garage avait été forcé et que plusieurs personnes s’étaient introduits à l’intérieur.
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Avesnes-sur-Helpe (Nord) : la seule église qui illumine…

Une église du Nord victime d’un grave incendie
Figaro/RTL, 6 avril 2021

Deux départs de feu, un autel latéral brûlé, de grands tableaux de Louis Joseph Watteau partis en fumée. C’est vraisemblablement un incendie volontaire qui a frappé, en ce lundi de Pâques, la collégiale Saint-Nicolas d’Avesnes-sur-Helpe, dans le Nord.

L’église est classée monument historique. La structure n’a pas été endommagée mais les dégâts sont importants. Sébastien Seguin est le maire d’Avesne-sur-Helpe, il raconte les dégâts à l’intérieur de l’édifice : « Il n’y a pas d’électricité et de cierge à cet endroit. Apparemment, il y aurait deux départs de feu. Tout le côté droit de l’autel de la Collégiale est parti en fumée, tout a brûlé. Quatre grands tableaux ont brûlé et toutes les chaises et l’autel qui se trouvent à cet endroit. C’est triste de voir ça« .
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Brochure : Face to face. Attacks against power in France

Face à face avec l’ennemi. Un aperçu d’une année d’attaques contre le pouvoir en France (2020-2021), en anglais, 20 pages, avril 2021

Une traduction de l’introduction :

La domination a acquis un rythme de mutation éblouissant. Le voile des avancées technologiques est en train de recouvrir le monde tel que nous le connaissions. Le désastre écologique n’est pas « en train d’arriver », il est déjà là. Tandis que le progrès industriel avance triomphalement, l’instabilité à tous les niveaux (social, politique, économique, écologique) est croissante. Un défi difficile pour ceux qui vont continuer à lutter pour la liberté comme totalité, et pas comme négociation sur la longueur de nos chaînes. Les vieux modèles d’intervention révolutionnaire sont en train de disparaître en même temps que presse l’urgence de nouvelles perspectives.
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Montreuil (Seine St Denis) : poisson d’avril contre Eiffage et toutes les prisons !

Indymedia Nantes, 4 avril 2021

Ce 1er avril un banc de poissons s’est attaqué à un camion benne d’Eiffage à Montreuil. Un poisson marteau a défoncé le pare-brise, un poisson scie s’en ai prit aux pneus et une pieuvre a laissé un message clair : Eiffage, constructeur de tôle, A bas les prisons, Crève la taule.

Eiffage se fait de la tune en construisant des prisons et des centre de rétention (CRA). Ce geste se veut une riposte solidaire avec celles et ceux qui luttent contre ce monde et ceux et celles sur qui la répression s’abat comme dans l’association de malfaiteur de décembre dernier et sur les révoltés du CRA du Menil-amelot en janvier dernier.

Au clair de lune ou en journée il reste plein de camionnettes Eiffage à couler !

Un gang de poisson à contre-courant

Et voici les vaccinodromes gérés par les assassins en uniforme

Covid-19: les armées vont ouvrir sept grands centres de
vaccination permanents

Le Figaro, 3 avril 2021

Les armées vont contribuer elles aussi à la campagne de vaccination. Le ministère a annoncé samedi soir que 7 hôpitaux d’instruction des armées (HIA), sur les 8 de métropole, allaient accueillir à partir de mardi des centres de vaccination permanents : à Saint-Mandé (Bégin) et Clamart (Percy) en région parisienne, à Marseille, Toulon, Metz, Bordeaux et Brest. Seul l’HIA de Lyon n’a pas été inclus dans le dispositif. «Ces 7 hôpitaux militaires devraient à terme être en mesure d’administrer jusqu’à 50.000 doses par semaine», a promis le ministère. Soit plus de 1000 injections quotidiennes par centre, ce qui les place au niveau des dizaines de mégacentres progressivement mis en place par le gouvernement. Jusqu’à présent, le rôle des militaires était resté plus mesuré, avec un total de 10000 civils vaccinés au sein d’HIA lors de précédents week-ends de vaccination.

Alors que les armées européennes sont fortement mobilisées face au Covid-19, les militaires français vont accentuer leurs efforts. «La ministre des Armées a également demandé aux armées de se tenir prêtes à déployer des centres militaires de vaccination en région, en fonction des besoins exprimés par le ministère de la Santé et des Solidarités», a ajouté l’état-major samedi soir dans un communiqué. «La localisation de ces centres sera définie en concertation avec les préfets et les agences régionales de santé (ARS) dans les zones où cette capacité sera la plus utile. Ces centres seront gérés et organisés par le ministère des Armées», a-t-on précisé. Il y a deux semaines encore, on assurait pourtant au ministère «ne pas avoir cette piste dans le radar».
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Villecresnes (Val-de-Marne) : le télétravail part en fumée

Villecresnes : plus de 200 habitants privés d’Internet après
un incendie criminel

actuValdeMarne, 30 mars 2021 (extrait)

Une armoire de raccordement à la fibre optique a été délibérément incendiée dans la ville de Villecresnes (Val-de-Marne), dans la nuit de samedi à dimanche. Un incendie qui n’est pas sans conséquences pour les habitants.

Selon la Ville de Villecresnes, dans la nuit de samedi à dimanche, l’armoire Valofibre située dans la rue du Lieutenant Dagorno, non loin de la Bibliothèque, a été incendiée. La Ville de Villecresnes expliquait ce week-end suite au sinistre :  « Nous déplorons cet acte inqualifiable qui prive plus de 200 Villecresnois de la fibre à un moment où le télétravail est la solution pour beaucoup de salariés »
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Sabotages d’antennes : ça grimpe !

Appels à dégrader les équipements de télécoms : 174 faits
recensés en un an

FranceInter, 1er avril 2021

« À l’heure où tout le monde ou presque travaille/étudie/partage/se détend/s’instruit/s’insurge/fais du sexe/… face à un écran, que ce passerait-il si quelques câbles de fibres optiques sous une trappe faciles d’accès étaient saboté (sic) ? », interroge l’une des tribunes relayées en avril 2020, intitulée « En mai, fais ce qu’il te plaît : un appel au conflit ». Ses auteurs poursuivent : « Nous ne savons absolument pas ce que cela pourrait produire. Et c’est précisément pour cela qu’il faudrait impérativement le tenter« . Un an après le premier de ces appels, qui invitaient à « renouer avec l’Action directe » en s’en prenant à des infrastructures liées aux télécommunications (antennes-relais, câbles de fibre optique,…), 174 de ces équipements ont été pris pour cible en France, selon les informations de France Inter.

Ces textes, attribués par le ministère de l’Intérieur à la mouvance d’ultragauche, sont accompagnés de manuels et fascicules détaillant les moyens techniques à mettre en œuvre pour dégrader ou détruire le matériel (dans 52% des cas, les auteurs ont eu recours à des incendies). Ils prodiguent également des conseils afin d’éviter toute interpellation, le premier d’entre eux étant d’agir sur des infrastructures isolées, peu protégées et donc facilement accessibles (là aussi, des guides détaillent les endroits sous vidéosurveillance, ainsi que la localisation des postes de police ou des gendarmeries les plus proches). Cette stratégie explique la forte proportion d’infrastructures visées en milieu rural : 137, soit plus du trois quarts des cibles, alors que seules deux l’ont été dans l’agglomération parisienne. Les départements les plus touchés sont la Haute-Garonne, l’Isère, l’Ardèche, la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Ce bilan du ministère de l’Intérieur dit avoir recensé d’importants préjudices liés à ces actions, notamment des coupures de réseau dans de nombreuses communes, ainsi que des conséquences sur le fonctionnement des services jugés d’utilité publique.
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Riedisheim (Alsace) : station 0 – essence 1

Incendie criminel à la station essence du Super U
L’Alsace, 31 mars 2021

Un incendie s’est déclaré lundi soir, vers 22 h, au niveau de la station essence du magasin Super U, à Riedisheim, dans l’agglomération mulhousienne. Le feu a pris au niveau d’une pompe distribuant de l’essence. La police et les pompiers se sont rapidement rendus sur place.

Ces derniers ont déployé une lance du dévidoir tournant pour éteindre les flammes puis, comme le veut la procédure, ils ont fait usage d’une lance à mousse. Leurs opérations ont pris fin vers 23 h 30. L’ensemble de pompes impacté a été complètement carbonisé et devra être changé, mais à aucun moment les réserves d’essence n’ont été mises en danger, a précisé ce mardi la direction du magasin, qui a déposé plainte au commissariat de Mulhouse.

Selon les premiers éléments de l’enquête, cet incendie serait d’origine criminelle. La station essence ne rouvrira pas avant plusieurs semaines, précise encore la direction du magasin.

 

Le chiffre du jour : 1276

Les menaces ou insultes contre des élus ont triplé en 2020
Franceinfo/France Bleu, 30 mars 2021 (extraits)

Tags insultants devant leurs domiciles, menaces de mort, agressions physiques, 1.276 actions de toutes natures ont été comptabilisées en 2020 contre les élus. Il s’agit d’une hausse de 200 % par rapport à 2019, où il y en avait eu 421, dont 23% pour les seules atteintes physiques. Certes, les élections municipales sont passées par là, une période où les maires se retrouvent en première ligne, mais ce n’est pas la seule explication.

L’Association des maires de France (AMF) constate que le phénomène augmente depuis plusieurs années déjà. En 2020, 60 parlementaires et 505 maires ou adjoints ont ainsi été agressés physiquement. tandis que 350 maires ou adjoints ont subi des outrages (contre 224 en 2019). Dans ce contexte particulier, les actions se « personnalisent », avec notamment 68 domiciles d’élus et 63 véhicules privés visés en 2020, ce qui inquiète le ministère de l’Intérieur.

Ces dernières semaines, en raison de menaces jugées d’une particulière gravité, deux maires ont été placés sous protection policière, assurée par le service de la protection (SDLP). Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, et le président de l’AMF, François Baroin, ont écrit aux 35 000 maires pour les inciter à suivre une formation. Près de 350 négociateurs de la gendarmerie ont été formés par la cellule négociation du GIGN pour donner des modules de formations aux élus et apprendre aux maires à faire retomber la pression quand ils sont pris à partie.

Châtillon-sur-Chalaronne (Ain) : saisir l’occasion…

À 65 ans, elle chipe le camion des pompiers pour fuir sa
maison de retraite

Le Progrès, 29 mars 2021

C’est ce qui s’appelle prendre la poudre d’escampette ! Samedi, aux alentours de 20 heures, une résidente de la maison de retraite La Montagne, située à Châtillon-sur-Chalaronne, a fui son établissement en improvisant un plan digne de la grande évasion.

Le chant des sirènes ? Toujours est-il que cette pensionnaire, âgée de 65 ans, n’a pas hésité à s’échapper à l’aide d’un véhicule appartenant au corps des sapeurs-pompiers, stationné devant son établissement. Sollicités dans le cadre d’une opération de secours, il était déjà trop tard quand ces derniers ont pris conscience de la situation. La sexagénaire, aussi alerte que déterminée, avait déjà pris le volant de leur ambulance en direction… de son ancien domicile.

C’est là, à Beauregard, après une « course-poursuite » de près d’une demi-heure, que la fugitive a été retrouvée. Prise en charge par les gendarmes de la brigade de Vonnas, la résidente, troublée, a passé la soirée à l’hôpital de Villefranche-sur-Saône après y avoir été évacuée… par les sapeurs-pompiers.

 

Berlin (Allemagne) : ça chauffe la veille de l’expulsion

traduit de l’allemand de chronik, 25 mars 2021

(Berliner Zeitung). La protestation contre l’expulsion programmée du bar de quartier Meuterei a connu une escalade dans la nuit de mercredi 24 à jeudi 25 mars. Des vandales ont mis le feu dans plusieurs quartiers de la ville. Des voitures de luxe ont brûlé, ainsi que des véhicules d’entreprises immobilières, des containers à poubelles et l’entrée d’un poste de police municipale !

► A Lichtenberg, dans la rue Gotlindestraße la Mercedes Citaro d’une entreprise de travaux urbains a brûlé vers 1h.
► A Prenzlauer Berg dans la rue Süderbrokerweg une BMW a entièrement brûlé vers 1h30.
► A Mitte, dans la rue Hannoverschen une Porsche Cayenne tout terrain a brûlé vers 1h30.
► A Reinickendorf, dans la rue Brusebergstraße, une fourgonnette d’une entreprise immobilière a brûlé vers 2h. Une voiture garée devant a aussi été atteinte par les flammes.
► A Reinickendorf, dans la rue Lübener Weg, des inconnus ont placé des pneus de voiture devant la porte d’entrée de la police municipale (Ordnungsamt, OA, voir ci-contre) du quartier. L’entrée a été gravement endommagée et le bâtiment enfumé.
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